jeudi 15 septembre 2016

GROSSE PANIQUE

Je rappel seulement que cela fait depuis plus d'un an que des gens sur internet avait soulevé des doutes sur la santé d'Hillary Clinton. Essentiellement, depuis sa résignation a son poste de secrétaire d'état (l'équivalent d'un ministre des affaires étrangères en France) en 2011, avant la fin du premier mandat d'Obama. La cause étant pour les avertis, un accident d'avion en Iran, ou elle aurait eut des séquelles d'une commotion cérébrale, l'obligeant a se retiré des affaires. Mais depuis, Hillary Clinton a donné des signes de plus en plus flagrant, qui ne sont pas le résultat d'un coup de froid, d'une allergie, ou d'une santé fragile. Mais la bataille argumentaire sur le web, n'avait pas alerté plus que çà l'opinion public. Jusqu'au 11 septembre.
En effet, le "malaise" de la candidate a mis soudainement les projecteurs sur ces antécédents. Même si les médias s'évertuent même maintenant a expliquer au public que la version officielle est la seule (la pneumonie), il y des antécédents qui remonte a la surface. Ses hochements de tête incontrôlées, ses interruptions régulières durant les débats, son refus de s'adonné a des conférences de presse, et toux insistantes. Rien y fait. Une partie de la population américaine doute a juste titre. A tels points que le sondage CBS récemment émis sur la confiance a être sincère envers les américains, pointe à 61% de "non" en défaveur de la candidate. Autre élément et non des moindres, le fait que Trump est insisté sur le fait de ne faire aucun commentaire ni allusion a l'état de santé de la candidate.
Alors le débat est ouvert. On nous donne des exemples de présidents qui par le passé ont été malade, pour démontré que ce n'est pas ce qui fait la qualité d'un président. A ceci prêt que la polio de Roosevelt était officielle, contrairement à l’Alzheimer naissant de Reagan qui était destiné a être caché. Sans parler des coups de chaud ou de froid, virus et compagnies attrapé par le père comme le fils Bush. Mais là, on est devant la volonté de "caché", et donc ne pas être honnête avec le peuple, qui déjà, concernant Hillary Clinton est une erreur stratégique énorme, du fait des casseroles qu'elle traîne déjà derrière elle.
Oui, le américains vont avoir une lourde tâche a désigné leur prochain président. Si tenté que finalement, cette foire aussi improbable qu'ubuesque pour un pays tels que les USA, ne finissent pas par poussé des gens a ne pas aller voté, voir voté blanc. Ce qui dans ce cas là, risque de donner ses chances au candidat républicain. Mais n'ayez crainte, tous sera fait pour ne pas le laisser aller à la Maison Blanche, quitte a triché. Il l'on déjà fait et le referont.

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