LE DIABLE

Le Zemmour est de nouveau sur la sellette. Son analyse fait débat, outrage chez les uns, version chez les autres. Mais finalement en y regardant de plus prêt, n'est ce pas la liberté d'expression qui se révèle a géométrie variable ? Une caricature Charlie émanant d'un dessinateur anarchiste ou d'ultra gauche passe mieux que l'analyse d'un souverainiste d'origine juive algérienne ? Oui, mais là, ce n'est pas pareil. C'est Zemmour, le diable ! Celui qui ne se démonte pas devant les arguments de contradicteur qui à un moment ne savent plus quoi dire si ce n'est aller chercher l'affront émotionnel, le choc affectif de l'inconscient collectif pour s'asseoir sur une légitimité d'être du bon coté de la barrière moralisatrice et bien pensante. Et a ce jeu, notre gouvernement socialiste sait y faire. Car l'art et la manière, c'est d'accentué le trait sur le coté nationaliste de l'auteur, plutot que son coté souverainiste, faisant oublié que là, on ne peu que le mettre dans une position d'islamophobe, en faisant "très" attention de faire oublié ses origines afin d'évité................. l'amalgame. Car dans ce cas, se serait obligé les "amis" de bannir l'un des leurs, reconnaissant que ce contre qui, ils se disent vouloir lutter, sont aussi les mêmes dans leurs propres camps qui font usage des mêmes armes et de la même détermination.
http://www.psmarseille.fr/2016/eric-zemmour-a-marseille-le-racisme-nest-pas-une-opinion-cest-un-delit/