Soudain, on découvre que l'on peu être Grecque comme Français, ou Allemand ou Espagnol, mais que l'origine ethnique fera toujours une différence quelque soit le niveau d'intégration ou d'assimilation. On fera toujours une différence quoiqu'on dise, quoiqu'on fasse. Seul les idéalistes pro multiculturaliste croient au père noel. Si en effet, des individus issus de l'immigration se sont parfaitement intégré et assimilé au fil des générations, çà n'a pas forcément été le cas à l'origine. Et le schéma reste le même avec ceux issus d'une immigration contemporaine, surtout lorsque la culture d'origine est bien plus différente que celle ou ils se sont installé. Si par le passé, des populations de l'Est, des pays latins ou baltes se sont déplacés dans d'autres pays, leurs intégrations ne s'est pas fait sans mal, malgré leurs similitudes de culture judéo chrétienne. Schéma plus difficile pour les asiatiques comme pour les peuples afro africain, arabo musulman, et d'autres contrés encore plus lointaines.
Mais la difficulté devient encore plus flagrante, quand les contextes économico sociaux sont tout aussi difficiles. Si les espagnols, portugais, italiens qui ont immigrés en France durant les trente glorieuses et même avant la seconde guerre mondiale, ont eut plus de facilité du s'intégrés, ce ne fut pas forcément le cas pour l'eldorado promis a des populations des anciennes colonies et comptoirs français. En l'occurrence maghrébines et noire africaine. Et aujourd'hui, il est flagrant que les générations nées françaises sont confronter au choix d'une assimilation qui ne dit pas son nom, et une fierté culturelle parfois dérivées de traditions qu'ils n'assimilent que quand çà les arranges, a défaut d'être vraiment dans ce choix durable d'être avant tous français et non en marche arrière culturelle vers le pays de leurs origines.
Alors que dire de ces populations qui déjà ont un problème d'identité au sein de nos propres pays, peuvent ils se sentirent, européens. Un concept qui en réalité leur parait légitimement abstrait alors qu'ils n'ont pas trouver leurs propres places dans nos nations que leurs parents ou grands parents ont choisit d'habiter et de vivre.
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