On a pas mal de ces comparatifs entre aujourd'hui et il y a 20 ou 30 ans, pour dire "vous voyez, on à perdu en qualité"... Mais le "truc", c'est qu'évidemment, si l'on étale le comparatif sur 40 ou 50 ans, on se rendra compte que c'est un cycle dans lequel il y a des évolutions bénéfiques, comme des conséquences négatives. Mais quant on se remémore ce qu'on disait avec l'Union Européenne, l'Euro, etc... on se rend compte que les arguments qui nous vantait cette construction européenne sont bien loin d'avoir été tenu. Bien sûr, il y a des gagnants.
La finance, les grandes entreprises, qui ont savouré les gains du libre échange, de la libéralisation, de la libre circulation des personnes et des capitaux. Mais a terme, au détriment de plusieurs couches de la société. Plus particulièrement les jeunes, qui aspire a pouvoir avoir les mêmes avantages que nous autres avons eut, mais dont on sait qu'ils n'en auront plus jamais le bénéfice, ni même les avantages, surtout depuis cette "saloperie" de 35 heures, qui fait disparaître bon nombre d'acquis pour ceux qui savait s'investir, qui avaient de la volontés, des ambitions honnêtes. Aujourd'hui, la jeunesse ne peu acquérir un rang social, concrétiser un projet, ou se lancer dans entrepreneuriat, sans devoir obligatoirement être déjà soumit a un endettement énorme, s'étalant sur plusieurs décennies. Encore pire, pour ceux qui n'ont pas de cursus, de niveaux d'études suffisants pour tenter leurs chances dans des sociétés de plus en plus cloisonnées, renfermées, communautarisées, et qui n'ont plus qu'a devenir des dépendants de la subvention, de l'allocation, de la prestations sociale, jusqu'a ce qu'un jour, il n'y aura plus d'argent dans les caisses.
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