Ancien président des USA, Jimmy Carter est à l'aube de sa fin de vie. Et de ce fait ne craint plus de dire certaines choses. Et c'est le cas lors de son passage dans un show radio, le 30 juillet 2015, celui de Thom Hartmann, ou il annonce clairement la couleur. Carter répondait à l'époque, à une question de Hartmann lui avait posé concernant les décisions de la Cour suprême de rendre illimité les niveaux de financements des campagnes politique, tant présidentielle que pour le parlement, ou même les élections pour les gouverneur (sachant qu'aux USA, l'élection présidentielle appel les citoyens a renouveler aussi une partie du parlement mais aussi les procureurs généraux et les gouverneur)
Selon lui, aujourd'hui Washington est devenu une oligarchie dans laquelle «la corruption politique est illimitée», transformant le paysage politique américain et ses institutions, en une immense foire de lobbying, de conflit d'intérêt ou en réalité, le peuple américain n'est plus le centre d'intérêt, mais bel et bien l'enrichissement personnel, les ambitions de pouvoir, et les bonnes places pour satisfaire aux ordres d'un état profond, dont le but à terme et de détruire le pays, le divisé, pour mieux sauver les meubles d'une finance malade et aux aboies (détruire l'état fédérale pour permettre la main mise sur des marchés publics dans les états au bord de la faillite).
" ... Donc, maintenant, nous venons de voir une subversion complète de notre système politique comme un gain pour les contributeurs majeurs, qui veulent et attendent et parfois des faveurs après la fin des élections (les riches donateurs de campagnes qui attendent leurs bénéfices en retour). ... Les titulaires, les démocrates et les républicains, considèrent cet argent illimité comme un grand avantage pour eux-mêmes. Quelqu'un qui est déjà au Congrès a beaucoup plus à vendre à un contributeur avide que quelqu'un qui est juste un challenger....... "
La dernière campagne de 2016 a démontré en effet les aspects néfaste de cet "open bar", surtout du coté des démocrates ou Hillary Clinton avait réussit a engendré plus de 500 millions de dollars, en faisant un record absolu pour une présidentielle.
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