Voici ce qui démontre ce que je dis depuis le début. C'est à dire que nous sommes dans une phase de changement climatique, qui n'est pas le premier ni le dernier. Mais que les dogmes du "réchauffement climatique" permettent de vendre derrière, tout un business, toute une fiscalité, qui permettent d'enrichir les mêmes, sans que cela n'apporte réellement de solution pour "lutter contre le réchauffement climatique". "Lutter" étant évidemment un pléonasme qui pourtant fonctionne très bien auprès d'un certains nombres de gens qui finissent par en être convaincu. Mais en réalité, cela cache la non détermination des politiques, des autorités, des systèmes, a réellement prendre en considération un changement climatique, qui forcément, devrait normalement les pousser à réagir dans nos modèles de société, tant économique, structurelle, qu'urbanistique. Mais évidemment, cela mettrait en péril, tous ce qui a été construit autour du "réchauffement", et plus particulièrement tous les business qui en dépende.
Mais la preuve est aussi dans l'histoire. Car si aujourd'hui, nos météorologistes ont de plus en plus de mal a prévoir les phénomènes changeants de notre climat, c'est parce que les modèles informatiques qui permettent la prévision, ne fonctionnent que sur des données récoltées en partie, que depuis un peu plus d'un siècle. Mais avant cela, notre planète ne nous à pas attendu pour nous soumettre parfois a ses caprices, virulents, brutaux, et imprévisibles. Pourtant, même si l'on a des preuves que des hivers furent terribles, comme des étés caniculaires comme jamais, avec toutes les conséquences environnementales que ceux ci ont influé, il semble qu'on en ait oublié la teneur, pour nous rappeler que le climat n'est pas acquis selon des bases établies depuis prêt d'un siècle. Et que des tempêtes de tous les diables, des canicules arides, des tornades destructrices, des périodes de froid presque polaire, pour ne pas dire Sibérien, ne sont pas une nouveauté, même dans nos contrées considérées comme étant "tempérées". Nous avons juste la mémoire courte, pour nous faire croire que nous sommes responsables, en partie, du changement des normes de nos climats, qui en réalité, ont toujours été cycliques, et parfois dévastateurs sur nos modèles de sociétés qui se sont retrouver inadaptées à les affronter.