Normal, car l'affaire a servit médiatiquement a appuyer le mouvement MeToo. Le procès pour attentat à la pudeur, devant déterminé si oui ou non l'acteur américain Kevin Spacey est un prédateur sexuel, est en train de tourner au vinaigre. La justice américaine a en effet détecté un écueil de taille concernant la victime, qui pourrait en réalité avoir eut un comportement "consentant". Ce qui change évidemment toute la donne sur l'aspect victimaire et tous le concert médiatique qui a été fait autour de l'acteur (qui dans cette affaire à été mit sur liste noire à Hollywood, perdant même l'un de son role important dans la série House of Cards).
Le doute, intervenant sur un téléphone portable, qui contiendrait des informations qui évidemment, ont disparus. Cette élément mettant le doute sur la réalité des faits, pouvant du jour au lendemain faire s'effondrer plusieurs années de vendetta médiatique contre l'acteur. Car dans ce cas, même si Kevin Spacey peut avoir des comportements sexuels qui lui sont propre, ces comportements deviendraient alors non répréhensibles au yeux de la loi.
https://www.wsws.org/fr/articles/2019/07/20/spac-j20.html
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire