Seattle, Portland, Oakland, trois villes qui ont aujourd'hui à affronter un challenge : tenter d'arrêter l'émergence des mouvements contestataires anarchistes et d'ultra gauche qui sont en train de mettre un coup à l'économie de ces villes. Les entreprises commencent à partir, les investisseurs reculent, et des riches bourgeois commencent à ne plus être d'accord avec la politique de municipalité de ces villes, qui non comptant de faire payé le contribuable pour réparer les saccages et destructions commit par ces mouvements, ont fait preuve de laxisme et de complaisance idéologique.
Du coup, il faut reprendre la sécurité des centres villes, qui ont été récemment encore sujet a des troubles que quelques dizaines d'antifas à Seattle, que la police ne peut pratiquement pas toucher, sans prendre les foudres des municipalités. Mais le clientélisme politique commence a se rendre compte que la grande majorité des électeurs ne sont plus d'accord avec le foutoir qu'on mit depuis près d'un an toutes ces mouvances qui se ont profité des BLM pour s'incruster dans le.
La police de Seattle sera plus sévère envers les personnes qui vandalisent et détruisent des biens lors des manifestations, a annoncé samedi le chef de la police par intérim du département avant une manifestation prévue.
L'annonce du chef de la police intérimaire de Seattle, Adrian Diaz, fait suite à une manifestation au cours de laquelle des bâtiments ont été endommagés et vandalisés dans le centre-ville de Seattle, y compris le palais de justice fédéral de la ville, le jour de l'investiture du président Joe Biden.
Le 20 janvier, des personnes vêtues de noir ont été vues marchant dans l'emblématique marché de Pike Place, avec une vidéo des conséquences montrant des vitres brisées dans un Starbucks. Un groupe de militants vêtus de noir a marché le long de la rue portant un drapeau américain en lambeaux à l'envers avec le signe de l'anarchie peint à la bombe et donnant des coups de pied sur des conteneurs à ordures.
La police de Seattle a publié des photos des suites des émeutes qui montrent plusieurs magasins et bâtiments vandalisés . Le département a déclaré à l'époque que la police avait arrêté une personne pour dommages matériels, une femme pour voies de fait et un homme pour cambriolage et dommages matériels.
Plusieurs fenêtres ont été brisées au palais de justice William Kenzo Nakamura à Seattle, Washington, le 20 janvier 2021 (Département de police de Seattle)
Les militants seraient des membres du groupe anarcho-communiste Antifa et d'autres groupes d'extrême gauche. Ces extrémistes ont profité d'un certain nombre de manifestations pacifiques appelant à une réforme de la police en créant une scène de troubles civils et en se livrant à la violence, en allumant des incendies, en pillant et en endommageant des biens au cours de l'été. De nombreux agents des forces de l'ordre ont été blessés lors d'opérations visant à réprimer la violence et à protéger la sécurité publique.
Diaz a déclaré aux journalistes lors d'une conférence qu'il n'était pas sûr de la cause pour laquelle les émeutiers se battaient, ajoutant qu'il ne pensait pas que les manifestants violents et les vandales faisaient la promotion d'une cause.
"Les événements de briser des vitres à différents endroits sans signification", a déclaré Diaz aux journalistes.
«Il n'y a pas eu de discussion sur ce pour quoi ils se battaient, sur quel type de message de justice sociale. Cela ne peut pas arriver. Ce niveau d'action directe ne peut pas se produire. Et nous allons immédiatement résoudre ces problèmes. »
Le contact presse du service de police de Seattle n'a pas immédiatement répondu à la demande de The Epoch Times pour plus de détails sur la nouvelle politique et son application.
La violence et la destruction de biens à Seattle se sont accompagnées de manifestations et d'émeutes similaires à Portland, dans l'Oregon.
À Portland , des militants vêtus de noir, le visage couvert, ont brisé les fenêtres et la porte vitrée du bureau d'affaires du Parti démocrate de l'Oregon, peignant à la bombe un symbole anarchiste sur le panneau du parti, une vidéo publiée sur les médias sociaux. Certains d'entre eux ont renversé des conteneurs à ordures et ont mis le feu au contenu, selon les rapports .
«Nous ne voulons pas de Biden. Nous voulons nous venger des meurtres de la police, des guerres impérialistes et des massacres fascistes », lit-on sur une banderole sous laquelle ils ont défilé , tandis que d'autres arboraient une banderole« Nous ne sommes pas gouvernables », qui était parsemée de symboles d'anarchie.
Huit personnes ont été arrêtées à Portland sur des accusations comprenant des émeutes et des incendies imprudents.
Le sénateur Chuck Grassley (R-Iowa) a exhorté le président Joe Biden à condamner les récentes actions des émeutiers. L'attachée de presse de la Maison Blanche, Jen Psaki , a déclaré samedi qu'elle n'avait pas parlé à Biden des récents troubles.
Le journaliste indépendant Andy Ngo, qui surveille de près et rend compte d' Antifa à Portland, a déclaré que certains des émeutiers arrêtés lors des plus récentes émeutes de Portland avaient été arrêtés lors des précédentes manifestations de Black Lives Matter en 2020 et libérés.
Dans une récente interview avec les «leaders d'opinion américains» de The Epoch Times , Ngo a fait part de ses inquiétudes concernant le manque d'application de leurs politiques par Twitter quand il n'a pas réussi à arrêter la planification et la promotion des émeutes d' Antifa sur sa plate-forme avant les émeutes.
«À Seattle et à Portland, il y a eu des émeutes simultanées qui étaient pré-planifiées et organisées, et également annoncées des semaines à l'avance sur Twitter», a déclaré Ngo.
"Twitter n'a rien fait pour supprimer certains de ces comptes qui faisaient la promotion de ces émeutes."
Certains de ces comptes ont finalement été suspendus à la suite des émeutes du jour de l'inauguration , a déclaré Ngo vendredi.
NDL : Avec les BLM et tout ce qui s'y est rattaché, les progressistes ont ouvert une boîte de Pandore qu'il va être très difficile de refermer désormais.
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