dimanche 21 mars 2021

BAH MERDE ALORS !

 Et ce n'est pas un site complotiste qui le dit, mais bien un rapport validé par le célèbre Lancet, qui a tout intérêt à redorer son image depuis le fiasco du Remdesivir.

En effet, The Lancet tente de démontrer que les critiques envers le  test d'antigène à flux latéral rapide (LFT) pour le SRAS-CoV-2 sont non fondées. Mais donne des éléments d'informations sur le PCR, qui remet en question les choix des autorités a confinés, astreindres des libertés, plus particulièrement en France ou le gouvernement semble vouloir ignorer volontairement ces faits (ou à moins que le Lancet mentirait encore une fois et que toutes les références d'études de professeurs et chercheurs sont des mensonges)


Clarification des preuves sur les tests rapides de l'antigène SRAS-CoV-2 dans les réponses de santé publique au COVID-19.

Les tests de dépistage du SRAS-CoV-2 sont essentiels à la gestion du COVID-19 et reposent sur la technologie quantitative de réaction en chaîne par polymérase de transcriptase inverse (PCR). La PCR recherche le code génétique du virus à partir de prélèvements sur le nez ou la gorge et l'amplifie sur 30 à 40 cycles, doublant chaque cycle, permettant même de détecter des copies minuscules, potentiellement uniques. La PCR est donc un test clinique puissant, en particulier lorsqu'un patient est, ou a été récemment, infecté par le SRAS-CoV-2. Des fragments d'ARN peuvent persister pendant des semaines après l'élimination du virus infectieux,6 souvent chez les personnes sans symptômes ou expositions connues.

Cependant, pour les mesures de santé publique, une autre approche est nécessaire. Les tests pour aider à ralentir la propagation du SRAS-CoV-2 ne demandent pas si quelqu'un a de l'ARN dans le nez d'une infection antérieure, mais s'il est infectieux aujourd'hui. C'est une perte nette pour la santé, le bien-être social et économique des communautés si les personnes post-infectieuses sont testées positives et isolées pendant 10 jours. À notre avis, les tests PCR actuels ne sont donc pas l'étalon-or approprié pour évaluer un test de santé publique SARS-CoV-2.

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La plupart des personnes infectées par le SRAS-CoV-2 sont contagieuses pendant 4 à 8 jours.7 Les échantillons ne contiennent généralement pas de virus à culture positive (potentiellement contagieux) au-delà du 9e jour après le début des symptômes, la plupart des transmissions ayant lieu avant le 5e jour.7,  8 Ce calendrier correspond aux modèles observés de transmission du virus (généralement 2 jours avant à 5 jours après l'apparition des symptômes), ce qui a conduit les agences de santé publique à recommander une période d'isolement de 10 jours. La courte fenêtre de transmissibilité contraste avec une médiane de 22 à 33 jours de positivité PCR (plus longue avec des infections sévères et un peu plus courte chez les individus asymptomatiques). Cela suggère que 50 à 75% du temps qu'un individu est positif à la PCR, il est probable qu'il soit post-infectieux.


https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(21)00425-6/fulltext

Format PDF / https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S0140-6736%2821%2900425-6

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