Nouvelle expérience sur le revenu de base, lancer par la ville d'Utrecht, aux Pays Bas. Sauf que la mesure a du devoir "s'adapter" dans la syntaxe comme sur le fonctionnement. Car oui, on en entend parler, on aimerait le voir arriver. Mais on préfère éviter de parler comment le financer. Car si l'on prend l'exemple de pays qui sont précurseur sur le thème, il n'en reste pas moins des pays dont les populations sont moins nombreuse que dans d'autres pays européens, nettement plus peuplé, et donc, avec une proportion de "potentiels" bénéficiaires plus important. La structure même, les conditions, restent des sujet a polémique, tant certain ne sont pas contre, à condition que cela ne soit pas de l'argent facile, sans contreparties. Mais quelles contreparties ? Donné du temps de travail solidaire, collectif ? Comment, dans quels domaines ? Car très vite, on pourrait y voir des dérapages ou des gens avec des compétences pourraient être utilisé sous le prétexte de cette contrepartie, a des fins de réduction des salaires dans des climats de compétitivité.
Alors, revenu gratuit ? Mais financer comment ? Bien sur, on trouvera toujours des arguments pour dire que ce qui est taxé chez les uns, pourraient aller financer le revenu de base au lieu d'engraissé des hauts fonctionnaires ou des associations de pacotille. Oui, c'est une certitude que dans la gestion de l'état, on pourrait tout à fait trouver de l'argent. Mais on ne change pas des systèmes de rentiers aussi facilement....
Alors après, comment faire ?
LIEN
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire