Sans vouloir faire preuve de paranoïa ou de complotisme, il y a une question qui reste sans réponse concernant les médias et Nuit Debout. Pourquoi faire l'éloge d'un mouvement si bigarré ? Pourquoi l'état caresse dans le sens du poil, plutot que tenté une médiations et retiré son projet de loi ? Pourquoi entend tous et n'importe quoi ?
Et soudain me vient un pensée !
Et soudain me vient un pensée !
Et si Nuit Debout était en réalité un terrain expérimental, un laboratoire de test, pour analysé les potentiels qui pourraient être tiré de cette population bigarré, en cas de victoire de Marine LePen ? Un Maidan à la française ! ! ! ! Après tous, remontez les source de ceux qui tiennent les commandes actuellement et je suis sur qu'on aurait des surprises.....
Rappelons que l'origine de Nuit Debout est du a François Ruffin, qui, un peu médiatisé par son film "Merci Patron" a été l'investigateur d'un rencontre public à la Bourse du Travail le 23 février 2016, inspirant une centralisation des luttes communes contre les systèmes, focalisé à l'instant par la loi du travail nommé El Kohmri, du nom de la ministre en charge de porter cette réforme à l'assemblée. Le 31 Mars, un rassemblement ce concrétise en marge d'une manifestation, mené par Johanna Silva de chez Fakir, Loïc Canitrot, intermittent de la compagnie "Jolie Môme", Leila Chaibi du "Collectif Jeudi noir" et adhérente du Parti de gauche (PG), une syndicaliste d’Air France également au PG, un membre de l'association "Les Engraineurs", ou encore un étudiant à Sciences Po, l’économiste atterré Thomas Coutrot et Nicolas Galepides de Sud-PTT. L'organisation ce mettant en place avec des soutiens et aides associatives, c'est l'économiste Frédéric Lordon qui sera invité par le collectif a ouvrir le bal de la première nuit debout, ou s'organiseront des discours, forums, et discutions, autour de thème qui au fil des jours, vont élargir le mouvement a des luttes qui ne se résumeront plus qu'au retrait de la loi du travail. Sans réel leader, le mouvement va voir s'incrémenté à la fois des groupes anticapitalistes, antifascistes et d'extrême gauche, comme des associations et mouvements de lutte anticapitalistes et de défense sociale. Tentative de récupération politique timide, car au sein du mouvement beaucoup de réfractaires a toutes assimilations politiques.
Les syndicats, eux, arriveront quand même a ce joindre au mouvement dés le 28 avril, permettant ainsi de donner un ton légitime a des luttes communes, sans que Nuit Debout ne puisse être justement récupéré par des leaders syndicalistes proprement dit. Aux différents visages que l'on peu trouver sur le web, articles, critiques et analyses, l'homogénéité et la cohérence du mouvement restent obscures, tant on y trouve à la fois de l'argumentaires de sociaux gauchistes de tous bords, comme du propos totalement abstrait des réalités économiques et sociales du pays. Un mouvement qui devient rapidement problématique pour la classe politiques, ou les sons de cloches diffèrent selon les intérêts idéologiques qui s'y affronte. En résumé, Nuit Debout a perdu de sa cohérence du fait justement qu'il n'y a pas de point fédérateur centrale, qu'il n'y a pas de personnalité pour canalisé les forces de contestations, afin de prendre la tête du mouvement dans une organisation structuré et organisé. Du coup, c'est un enchevêtrement de portes ouvertes ou derrière, tous s'expriment, sans faire ressortir quelque chose de commun, laissant finalement les protes grandes ouvertes a toutes les idées et opinions, qui forcément, arrivent par donner une cacophonie pouvant aller jusqu'a des extrêmes qui desservent l'intégrité et la crédibilité même du mouvement.
Mais l'effets Nuit Debouts, comme les "indignés" (nom du mouvement de 2011) comme des "occupy Wall Street" s'étend en Belgique, départements d'outre mers, jusqu'au Quebec. Beaucoup souhaitent avoir le même effet que Podemos en Espagne, qui a réussit a devenir un mouvement politique qui a tiré son épingle du jeu lors des dernières législatives. Mais rappelons que les Indignés et Occupy, eux, ont finalement été délogés et ont finit par disparaître des médias, du fait qu'ils commençaient a prendre trop d'ampleur, sur lesquels certains organisateurs plus ou moins manipulés, avaient perdu le contrôle.
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