Une fois de plus, il faut bien faire comprendre que les chiffres du chômages américains cachent aussi des situations qui montrent l'évolution d'une partie de la société américaine, qu'on ne présente pas en première page. Une amérique prise à la gorge par la dette, par la facilité, par l'irresponsabilité et l'immaturité.
Il n'est pas rare de voir aujourd'hui des gens qui finalement sont condamné a ne jamais sortir d'une spirale dans laquelle ils se sont laissé enfermer. Femme célibataire avec deux enfants, obliger de vivre en location, parfois en colocation, parce devant à la fois remboursé ses études d'infirmières et payé les études de ses enfants qui ne sont encore qu'au lycée. Les sans qualifications qui jusqu'a présent pouvaient trouver facilement du travail, mais qui ont vu les salaires fondre, les temps partiels remplacer les temps pleins, et être confronté au dumping social face a l'immigration légale des populations essentiellement latines et indiennes. Les indiens et pakistanais, justement, qui commencent aussi a remplacé les médecins, scientifiques, chercheurs américains, qui dans certains groupes et consortium, coûtent trop cher (il n'est pas rare de voir pas mal d'hôpitaux commencer a remplacer des médecins américains par des pakistanais, 25% moins cher) Que dire de ceux, qui ont perdu leurs économies à cause de mauvais investissements, et qui a 72 ans, n'ont plus ou quasiment plus de retraite pour satisfaire leurs besoins essentiels et devoir retrouver un travail..... Ne parlons même plus de ces couples de la classe moyenne qui sont endetté jusqu'au coup au point que si l'un des deux perd son travail, le taux d'endettement est tels qu'ils sont condamné a migré dans des logements locatifs, plus petit, et parfois en grande banlieue, après avoir vendu leurs maisons, parfois a un prix inférieur de celui qu'ils avaient payés il y a 15 ans.
Autant de catégorie sociale pris a la gorge, trahis par les démocrates, déçus par les conservateurs, qui aujourd'hui voit aussi en Trump une alternative a leurs situations. Un paradoxe quant on sait que le personnage en question a construit sa notoriété sur la success story, le rêve américain, crachant au passage sur les "loosers". Il n'en reste pas moins que la situation économique commence a montré auprès de beaucoup d'américain, son vrai visage. Un visage peu glorieux, qu'ils n'avaient pas vu venir, ou qu'ils n'ont pas voulu voir venir, tant pour beaucoup, ils préfèrent souvent se mettre la tête dans le sable, tant que leurs petites vies n'est pas bouleversée (et j'en connais un paquet dans cette état d'esprit).
Pour la petite anecdote, depuis prêt de 10 ans, on a constater une recrudescence de gens mis en handicape ou en incapacité, du fait que par leurs statuts, ils sont sorti des listes des demandeur d'emplois. Socialement, ils ont des assurances maladies qui couvrent leurs handicapes, selon le niveau de cotisation et les contrats qu'ils peuvent payé, avec parfois de l'argent qui vient des aides d'états. Inversement, certains états ont développé des aides et subventions à l'encontre d'entreprises qui prennent dans leurs personnels des handicapés parfois à mobilité réduite, qui permettent, sur des temps partiels, de remplacé des valides en temps pleins.
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