Quasiment peu de média ont relayé que l'ex présidente brésilienne, Dilma Roussef a été finalement destitué pour peu de chose, pour ne pas dire, pour rien. Rien ? Pas vraiment. Car en réalité, même si la collusion avec son prédécesseur Lula était étroite, la présidente a été destitué sous un prétexte et une procédure qui en réalité, cherchait a la dégagé du pouvoir pour permettre de placer le "préféré" de Washington, Michel Temer. Sauf que bon nombre de brésiliens ne sont pas dupe, et il aura suffit que la justice reconnaisse que les fautes n'étaient pas si tangibles, pour qu'une partie du peuple brésilien comprennent finalement ce que certains leurs disaient depuis le début. Que cette opération n'était autre qu'un coup d'état constitutionnelle d'une partie de la classe politique vendu aux intérêts américains.
Car rappelons que le Brésil s'est joint a la coalition clairement anti impérialiste américaine des "BRICS" et que Washington est fermement décidé a faire échouer cette entité, qui menace non seulement sa politiques et ses influences économiques, comme géopolitique, qui a pousser les USA a quasiment mettre un fusil sur la tempe de certains pays du pourtour du Pacifique, pour activé et signé l'accord transpacifique et sauvé les meubles face a l'entité de BRICS qui commence a intéresser d'autres pays qui veulent s'extraire de l'hégémonie occidentale.
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