Vous avez entendu la boulette à "On Est Pas Couché" avec l'ancienne ministre de l'éducation, Najat Vallaud-Belkacem, qui a accusé la chroniqueuse Vanessa Burggraf de relayé une fake news, s'emportant par la suite sur le fait que l'info sur l'arabe à l'école lui avait été aussi incomber alors que selon elle, c'était faux.
Sauf que Najat Vallaud-Belkacem a tous simplement profité de la maladresse et de l'incompétence de Burggraf pour retourner la situation a son avantage. Car oui, la subtilité est dans les mots. Burggraf s'est en réalité emmêlée les crayons en confondant "décret" et "mise en place". Car il s'agit en effet de la mise en place d'un décret de 1990, mais que le Conseil supérieur de l'Éducation avait rejeté en 2015. Mais c'est bien le ministère de l'éducation, sous le régime de Vallaud-Belkacem qui a obliger a mettre en application la loi. https://www.marianne.net/debattons/blogs/lutte-des-classes/oui-le-ministere-de-l-education-nationale-bien-impose-la-reforme
Quant a l'apprentissage de l'arabe, les médias détournent le fond, en rappelant en fait un accord avec la Tunisie et qui n'a rien à voir avec l'apprentissage dés le CP pour les élèves (ou plutôt les parents) qui le souhaite. Pourtant le Figaro en 2016, nous en parle dans cet ancien article :
"Najat Vallaud-Belkacem a annoncé sa volonté de développer l'enseignement de l'arabe dès la classe de CP. Pour Fatiha Boudjahlat, la ministre favorise dans les faits un repli identitaire : les langues font les communautés, mais c'est le français qui fait la nation."
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