QU'ON SE LE DISE

Les français vont se retrouver exactement comme les américains. Un président impopulaire, dont les uns détestes, les autres n'apprécient guère le style mais ont fait le choix de la rupture ou du barrage, et ceux qui restent, on cru a un miracle mais commencent a déchanté. Sauf que les américains, dans leurs véhémences, dans leurs grandes gueules individualistes, n'offrent actuellement pas un visage glorieux d'un peuple qui veut reprendre son destin en main. Car avec ou sans Trump, la vie continue, tant que les dollars tombent dans leurs poches tous les mois. Et le pauvre, le redneck, l'oublié, l'écarté, va continuer a être subventionné, ou crèvera dans son coin, par l'ignorance, la drogue, l'alcool, ou la violence, dans des ghettos ou des bidonvilles, ou il n'y a plus de lois. Car si les autorités américaines repoussent l'indigent, le vagabond, le sans abris hors des villes, elles refont les mêmes erreurs qu'avec les migrants parquet dans des quartiers, qui deviendront des Chinatown, des Little Italy, ou des Harlems.
Par contre, ce sera un test pour la France. Le peuple français, se laissera t-il allé a cette même complaisance qui poussera les uns a insulté les autres, et les autres a giflé les uns, confortant la division d'un peuple qui de toutes les manières, est embarqué dans la même galère. Ou trouvera t-il cet élan de réclamé justice, de reprendre son destin en main, en donnant un signe clair et net, a ces empires qui croient avoir déjà réussit a nous soumettre a leurs pouvoirs, leurs contrôles. Car si aux USA, l'état profond, l'establishment nous prouvent qu'ils sont indéboulonnables et confortent leurs autorités sans que même le peuple ne viennent bronché, ni manifesté (du fait aussi que le 11 septembre a conforté un état policier ou le moindre écart est tout de suite réprimandé) en France ils savent que du jour au lendemain, le peuple pourrait très bien leur botté les fesses aussi vite qu'ils ne pourraient réagir pour l'en empêché. Les Nuits Debouts a bien faillit éveillé cette possibilité, comme le Jour de Colère. Mais ces mouvements ont très très vite été torpillé par l'intégration de mouvement d'extrême gauche radicaux, pour mieux "régulé" et remettre les potentiels dissidents dans le droit chemin (sinon, accusé de fascisme, de racisme, de complice de l'extrême droite, et tous le blablalba habituel).
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