C'est au Honduras que çà gronde dans la rue. Du coup, un état d'urgence a été décrété, pays où le président sortant fomente un coup d’Etat et refuse de reconnaître sa défaite à la présidentielle face à un candidat de gauche. Le gros avantage du Honduras, c’est qu’il ne s’appelle pas le Venezuela. Du coup, peu d'écho dans les médias.
http://www.france24.com/fr/20171202-honduras-etat-urgence-decrete-mettre-fin-manifestations-nasralla-hernandez-fraude-electoral
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