CHEZ LES HAMISH

 

Les Amish officiellement déclarés « enfants les plus sains du monde »

Une nouvelle étude majeure a révélé que les enfants Amish sont exempts des maladies chroniques qui affectent les jeunes enfants dans le reste du monde.
Une nouvelle étude de grande envergure a révélé que les enfants Amish ne souffrent pas des maladies chroniques qui touchent les jeunes enfants dans le reste du monde. Connus pour leur mode de vie simple, leurs vêtements sobres, leur nourriture traditionnelle et leur pacifisme chrétien, les Amish sont un groupe de chrétiens traditionalistes qui rejettent la plupart des technologies modernes et des produits pharmaceutiques et travaillent dur pour maintenir une vie autonome dans leurs communautés locales.

Les Amish chérissent la vie rurale, l'honnêteté, le travail manuel, l'humilité et la « Gelassenheit », qui signifie la soumission à la volonté de Dieu.

Ils privilégient le temps en famille, la nature et les conversations en face à face chaque fois que cela est possible.

Steve Kirsch, directeur de la Vaccine Safety Research Foundation, témoigne devant le Sénat de l'État de Pennsylvanie le 9 juin 2023 au sujet de leur enquête sur le Covid parmi les Amish.

Une étude menée par la Vaccine Safety Research Foundation (VSRF) a révélé que les taux de mortalité liés au Covid dans les communautés Amish sont 90 fois inférieurs à ceux du reste des Américains entièrement vaccinés, portant des masques et confinés. Bien qu'ils rejettent les pilules et les potions de Big Pharma, les Amish sont officiellement le peuple le plus sain du pays.

Que se passe-t-il ici et que pouvons-nous en apprendre ? Les communautés Amish ont rejeté les vaccins contre le Covid, ont refusé de porter des masques et ont poursuivi leurs activités quotidiennes normales pendant que le reste de l'Amérique était bouleversé par Fauci, Gates et la bande de la plandémie.

Selon le CDC et les médias grand public, les Amish devraient connaître une augmentation considérable de la mortalité due au Covid.

Mais en réalité, c’est exactement le contraire qui s’est produit.

Alors que l’Amérique traditionnelle souffrait de la pandémie, les Amish sont revenus à la normale en mai 2020. Permettez-moi de le répéter.

Les Amish sont revenus à la normale en mai 2020. C'est vrai, les Amish ont atteint l'immunité collective avant même que les vaccins ne soient disponibles.

Les médias grand public ne veulent pas aborder cette histoire car elle démantèle complètement le récit de l’establishment. Elle montre que toutes les interventions liées au COVID étaient complètement inutiles.

Les Amish n'ont rien fait d'extraordinaire pour se protéger du COVID : pas de confinement, pas de vaccination, pas de masques, pas de distanciation sociale, pas de mesures obligatoires, pas de fermeture d'écoles... rien. Les Amish ont atteint l'immunité collective et ont protégé la santé de leurs familles en faisant exactement le contraire de ce que recommandait le CDC.

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Si les membres de la communauté Amish tombaient malades, ils utilisaient de l’ivermectine, du zinc, de la vitamine D provenant du soleil et d’autres méthodes diabolisées par le CDC et la FDA.

Même si le vaccin était efficace et sûr, il n’y avait aucune raison pour que les gens se fassent vacciner, car 90 % d’entre eux avaient déjà été infectés en 2020. Se faire vacciner alors que l’on a déjà acquis une immunité naturelle est absurde et contreproductif. Pourtant, aux États-Unis, on nous a dit de nous faire vacciner même si nous étions guéris du COVID. De nombreuses personnes ont perdu leur gagne-pain si elles ne s’y conformaient pas.

Aujourd'hui, plus de trois ans après que les Amish ont rejeté tous les aspects des conseils du CDC, on ne trouve toujours pas plus d'une poignée d'Amish en Amérique qui sont morts du COVID.

Pourtant, l’Amérique traditionnelle refuse toujours d’écouter la sagesse des Amish, préférant placer sa confiance dans Big Pharma et les médias grand public.

La médecine occidentale a quelques points positifs et peut être très utile en cas d'urgence, mais il est grand temps que les gens comprennent que la médecine traditionnelle, qui se concentre sur les médicaments, les radiations, les vaccins, les médicaments et encore plus de médicaments, est à la base une création de Rockefeller qui fait tourner la roue.

De nos jours, les gens vous regardent comme un cinglé si vous parlez des propriétés curatives des plantes ou de toute autre pratique holistique. Comme pour tout le reste, la politique et l'argent ont été utilisés pour déformer l'esprit des gens et les encourager à accepter ce qui est mauvais pour eux.

Références ajoutées par Etienne de la Boetie2 de la Fondation Art of Liberty :

Enquête de 2005 du journaliste de l'UPI Dan Olmstead sur l'autisme chez les Amish

Dan a visité tous les hôpitaux, médecins et églises d'Amish PA et a découvert que, pour l'essentiel, les seuls enfants Amish atteints d'autisme à spectre complet étaient soit vaccinés, soit adoptés par les Amish après avoir déjà été vaccinés.

Article de Counterpunch sur l'enquête

Témoignage de Steve Kirsch sur leur enquête sur les Amish : https://www.thegatewaypundit.com/2023/06/steve-kirsch-during-pa-state-senate-hearing-we/

L'enquête de 2007 de Generation Rescue sur les enfants vaccinés et non vaccinés en Californie et dans l'Oregon a révélé :

Tous les garçons vaccinés, comparés aux garçons non vaccinés :

-Les garçons vaccinés étaient 155 % plus susceptibles de souffrir d'un trouble neurologique (RR 2,55)

-Les garçons vaccinés étaient 224 % plus susceptibles de souffrir de TDAH (RR 3,24)

-Les garçons vaccinés étaient 61 % plus susceptibles d'être autistes (RR 1,61)

Revue internationale de théorie, de pratique et de recherche sur les vaccins, chapitre 2(2), 15 novembre 2022, page 670

https://ijvtpr.com/index.php/IJVTPR/article/view/40

Santé versus désordre, maladie et mort : les personnes non vaccinées sont incomparablement plus saines que celles vaccinées

Par Joy Garner

Données du groupe témoin - Diapositives récapitulatives : https://www.dropbox.com/scl/fi/p92bdnxl83pokrsxgbzsa/2020-Pilot-Survey-Data-Comparison-VACCINATED-VS-UNVACCINATED.pdf?rlkey=2qs0zcsm4e12s3vw1huvddmbp&dl=0


Les résultats de l’enquête nationale 2019/2020 sur le groupe témoin des Américains non vaccinés (CGS) montrent que ceux qui refusent les vaccins se portent bien, tandis que ceux qui les acceptent sont blessés et subissent de multiples blessures graves ainsi qu’une mort subite et inattendue. Cette enquête a quantifié les risques sanitaires à long terme d’un évitement total de la vaccination par rapport aux résultats sanitaires observés dans la population américaine exposée à 99,74 % aux vaccins. Sur la base des tailles d’échantillon des témoins par rapport à la population exposée, les valeurs p et les rapports de cotes mettent en évidence les probabilités astronomiques contre l’innocence des vaccins comme cause réelle de plus de 90 % des maladies chroniques invalidantes et potentiellement mortelles dont souffrent les Américains. Les véritables « témoins » (calculés pour représenter 0,26 % de la population en 2020) ont établi le risque de maladie de base encouru par les personnes non exposées à la vaccination. L’hypothèse nulle, selon laquelle aucune différence significative ne serait constatée entre les personnes vaccinées et non vaccinées en matière de maladies cardiaques, de diabète, de troubles digestifs, d’eczéma, d’asthme, d’allergies, de troubles du développement, de malformations congénitales, d’épilepsie, d’autisme, de TDAH, de cancers et d’arthrite, est rejetée avec une confiance et une puissance statistiques écrasantes dans chaque comparaison. Étant donné que 99,74 % de la population américaine est exposée aux vaccins, les taux de maladie nationaux publiés reflètent invariablement la fréquence des effets négatifs observés résultant de l’exposition aux vaccins. Les graphiques de comparaison du groupe témoin conduisent à la conclusion incontournable, et à une quasi-certitude mathématique, que l’exposition aux vaccins est la cause réelle de la disparité observée dans les résultats de santé entre les populations vaccinées et non vaccinées. Les vaccins ne font PAS progresser la population vers une meilleure santé, comme le suggèrent l’Organisation mondiale de la santé et le ministère américain de la Santé et des Services sociaux, mais plutôt vers des niveaux épidémiques de troubles chroniques débilitants à vie.

L'enquête ici

 

Source

LA RUINE

 

Transport : taxer plus pour détruire un pays

La Grève, la grande œuvre de Ayn Rand, est censée être un roman. Depuis que le budget est en discussion à l’Assemblée nationale, la dystopie devient une réalité. Dans cette fresque américaine, les politiciens s’attaquent au rail, le cœur battant de l’Amérique, car le train permet les transports de marchandises et de personnes, donc la vie. Hank Rearden, l’un des acteurs principaux de la filière train, ne cesse d’alerter sur les conséquences dramatiques que les réglementations et les législations font peser sur le transport et donc, à terme, sur la puissance américaine.

Rien n’y fait. Les réglementations sont toujours plus contraignantes. Et plus il y a d’accidents, à cause de ces réglementations, et plus les règlementations augmentent. Jusqu’au jour où Rearden et les autres font la grève, c’est-à-dire cessent de payer l’impôt, et rejoignent John Galt.

La vie de l’hémicycle, hélas, s’apparente de plus en plus à La Grève, mais en version réelle. Les attaques contre le transport : la voiture, le bateau, l’avion détruisent la compétitivité des entreprises et à terme la puissance française. Tout cela pour combler un déficit sans fin parce que les députés n’ont pas le courage de baisser les dépenses de la France.

Avion : détruire par sadisme

Un petit détour par la théorie géopolitique est nécessaire.

En géopolitique on étudie, notamment, les espaces, les points et les lignes. Les espaces, ce sont les pays, les villes, les lieux. Les points, ce sont les centres de décision : les aéroports, les ports, les usines, les lieux de pouvoir. Les lignes, c’est ce qui relie les points et traverse les espaces. Plus il y a de lignes, plus il y a de puissance. Couper les lignes, notamment en s’attaquant au transport, c’est couper la puissance.

Une anecdote permettra de le comprendre.

Il y a quelque temps je me rendais au Kazakhstan. Pour s’y rendre, la voie la plus directe est de faire Paris / Istanbul, Istanbul / Astana. À Paris, dans l’avion qui reliait Istanbul, les voyageurs étaient essentiellement des Africains. Ceux-ci n’allaient pas en Turquie, mais se rendaient au nouvel aéroport turc pour prendre ensuite une correspondance pour relier la Côte d’Ivoire, le Cameroun ou le Sénégal. Les personnes interrogées m’expliquèrent que ce voyage était certes plus long qu’un vol direct Paris / Afrique, mais moins cher. Autrement dit, Roissy Charles-de-Gaulle, qui tient encore son rang de premier aéroport d’Europe, est en train d’être détrôné par Istanbul dans les liaisons avec l’Afrique.

On le comprend. Le nouvel aéroport d’Istanbul a été conçu comme la vitrine et le levier de la nouvelle puissance turque. Il a vocation à devenir l’un des principaux aéroports au monde, en devenant le hub vers l’Afrique, le Moyen-Orient et l’Asie centrale.

Roissy est ainsi en concurrence non seulement avec Londres, Amsterdam et Francfort, mais aussi avec Istanbul et Dubaï. La décision du gouvernement d’augmenter la taxe sur les billets d’avion de 9,5€ pour les vols en Europe à 120€ pour les vols internationaux est ainsi un coup de poignard planté dans l’industrie aéronautique. Roissy va perdre sa compétitivité au détriment des autres aéroports.

C’est oublier qu’un aéroport n’est pas qu’un lieu de transit de passagers. Roissy, c’est 80 000 emplois directs. C’est-à-dire des hôtels, des restaurants, des boutiques, toute l’activité économique nécessaire au fonctionnement d’un aéroport, mais aussi des sièges sociaux d’entreprise et des emplois indirects. Si à cela s’ajoutent les hausses fiscales prévues sur les entreprises, cela va faire beaucoup de raison de se délocaliser ailleurs en Europe, ou bien à Istanbul.

Dans des propos rapportés par Le Figaro, le ministre des Transports dit ceci :

«Beaucoup de Français ne comprennent pas pourquoi le billet de train est plus cher que le billet d’avion dans le cas d’un certain nombre de compagnies low cost».

Réponse donc du gouvernement : augmentons le prix du billet d’avion afin qu’il soit aussi cher que le train. On pourrait lui répondre que la libre concurrence sur les lignes ferroviaires permettrait une baisse des prix et une amélioration de la qualité, comme c’est le cas avec Trenitalia sur la ligne Paris / Lyon où le billet business est au même prix qu’un billet en seconde de la SNCF (avec en plus un café et un petit-déjeuner offert). Un billet de train Rome / Florence, durée 1h30, est là aussi deux fois moins cher qu’un billet Paris / Angers, dont la durée en train rapide est aussi de 1h30.

Augmenter les taxes va donc non seulement pénaliser le secteur économique et industriel, mais aussi l’ensemble des Français qui prennent l’avion pour leurs vacances. À quoi s’ajoute aussi la politique désastreuse sur les ports.

Ports : la France prend l’eau

Disposer d’un acteur de classe mondiale comme la CMA-CGM est une grande chance. Le transport maritime représente près de 90% des échanges mondiaux. Entre 1970 et 2021, le fret mondial est passé de 2 605 millions de tonnes à 10 985 millions. Dans le même temps, le transit des ports français a stagné. Le livre de Paul-Antoine Martin, Le Clan des Seigneurs, explique très bien comment une caste de hauts fonctionnaires a fait main basse sur les ports de France et a empêché tout développement. À tel point que la France ne dispose d’aucun port de classe mondiale, Marseille et Le Havre étant très loin de Rotterdam et de Singapour.

Là aussi, la modification de la fiscalité en supprimant la taxe au tonnage et en créant un impôt « exceptionnel » sur les bénéfices va laminer les investissements possibles du secteur maritime. Alors que la France, notamment avec ses outre-mer, devrait être un pays maritime de rang mondial.

La même hystérie s’empare régulièrement des autoroutes, que certains voudraient nationaliser, alors que nous disposons, grâce à une bonne gestion des entreprises concessionnaires, d’un réseau de grande qualité, très bien entretenu, disposant d’aires de repos confortables. Ce qui est très loin d’être le cas de l’Italie et même de l’Allemagne. À ceux qui se plaignent des tarifs de péage, il faut rappeler que 50% du prix du péage est composé de taxes. Autrement dit, si ces taxes étaient supprimées, le prix pourrait être divisé par deux. De quoi favoriser les échanges et donc l’activité économique. Toute limitation des transports est une limitation de la puissance.

Jean-Baptiste Noé

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