mercredi 31 janvier 2024

PARLEMENT EUROPEEN BLOQUÉ

 

ON EN PARLE

 

L'Europe éclate dans des manifestations généralisées d'agriculteurs alors que la révolte contre les politiques « vertes » s'intensifie

Les agriculteurs de France, d'Allemagne, des Pays-Bas, de Pologne, de Belgique, de Roumanie et d'autres pays d'Europe protestent contre les gouvernements de gauche radicale en bloquant les principaux réseaux de transport avec des tracteurs. Ce mouvement populiste généralisé balaie l’Europe à un moment où la réglementation excessive, les taxes et l’agenda du changement climatique menacent les moyens de subsistance non seulement des agriculteurs mais aussi de la classe ouvrière et survient plusieurs mois avant le début du cycle des élections européennes en juin. 

Certains pays les plus durement touchés par les manifestations sont l'Allemagne, l'Italie, la Belgique et la France. Les protestations devraient s'étendre à l'Espagne et au Portugal. 

Mardi, le nouveau Premier ministre français, Gabriel Attal, a promis des fonds d'urgence aux agriculteurs et des contrôles commerciaux plus stricts sur les produits étrangers pour garantir une concurrence loyale. 

Cependant, cela n'a peut-être pas suffi, car le syndicat des agriculteurs français n'a pas été impressionné par les concessions proposées par le gouvernement français. Ils ont encouragé leurs membres à poursuivre le combat. 

"Je suis tellement fier de vous", a déclaré Serge Bousquet-Cassagne, président de l'association des agriculteurs du département du Lot-et-Garonne, aux manifestants dans le sud de Paris. 

Bousquet-Cassagne a dit : 

"Vous menez cette bataille parce que si nous ne combattons pas, nous mourrons." 

Parallèlement, le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, a déclaré à la chaîne de télévision locale France 2 que la police se préparait à défendre les zones stratégiques des grandes villes. 

"Ils ne peuvent pas attaquer la police, ils ne peuvent pas entrer dans Rungis, ils ne peuvent pas entrer dans les aéroports parisiens ou dans le centre de Paris", a déclaré Darmanin, ajoutant : "Mais laissez-moi vous répéter que s'ils essaient, nous serons là."

Selon  Armstrong Economics :

Les agriculteurs du monde entier protestent contre la réglementation croissante de l’agriculture. Les  médias couvrent à peine l’affaire et lorsqu’ils en parlent, ils disent que les agriculteurs protestent parce que la Russie bloque les approvisionnements en provenance d’Ukraine. C’est tout simplement faux.  Les agriculteurs  protestent contre la réglementation excessive, les taxes et le programme de lutte contre le changement climatique  qui rend de plus en plus difficile pour eux de réussir leur vie.

Les plaintes des agriculteurs européens sont très basiques :

  • Des prix de l’énergie incontrôlables ( merci à celui qui a fait exploser le Nord Stream ).

  • Désastre les objectifs de réduction des émissions de carbone.

  • Inflation globale.

  • Bureaucratie des radicaux à Bruxelles.

  • Importations de céréales ukrainiennes. 

Les manifestations, qui pourraient bientôt consumer l’Europe, surviennent à la veille des élections européennes de juin. 

Voici des scènes sur le terrain alors que les manifestations se propagent à travers l’Europe :

Les petits agriculteurs sont contrariés par le fait que les élites du WEF telles que Bill Gates, liées au Forum économique mondial, visent à réinitialiser la chaîne d’approvisionnement alimentaire mondiale, une démarche qui pourrait rendre obsolète l’agriculture à petite échelle. 

Et le mécontentement se propage rapidement à travers l’Occident. Comme nous l'avons noté plus tôt cette semaine :  « Désordre en Occident : le convoi de l'« Armée de Dieu » se dirige vers la frontière américaine tandis que les agriculteurs européens bloquent les villes.

Les troubles en Occident sont le symptôme que les politiciens de gauche sont complètement déconnectés de l’homme du commun. Vite, faites la queue pour la prochaine crise. Est-ce l’éruption d’une guerre ou un autre virus ? 

PARAIT IL

  Destruction méthodique de l'assurance chômage : 1 an après la baisse de 25% de la durée des indemnités des demandeurs d'emploi, Mediapart révèle que l'exécutif envisage une nouvelle baisse de 20% pour tous. Sollicité, le ministère du Travail n’a pas souhaité commenter.

 Plus tôt dans la journée, le 1er ministre a annoncé que les chômeurs en fin de droits n'auront plus d'allocation de solidarité spécifique (ASS) et seront basculés directement au RSA. Ils devront alors travailler 15h par semaine pour en bénéficier.

RSA et précarité accentuée pour la retraite : une des différences entre l'allocation spécifique de solidarité (ASS) et le RSA est que les bénéficiaires de l'ASS continuent à acquérir des trimestres pour le calcul de leur retraite, ce qui n'est pas le cas avec le RSA


FIN PROGRAMMEE

 

Révision des normes de commercialisation : la Commission européenne programme la fin de la filière volailles fermières française !

Dans le cadre de la révision en cours des normes de commercialisation européennes, la Commission européenne prévoit de changer les règles concernant l’étiquetage des modes d’élevage des volailles. L’interprofession française de la volaille de chair (ANVOL) alerte le Gouvernement sur ce projet qui fait peser de lourdes menaces sur la production de volailles fermières élevées en plein air et sur la clarté et la véracité de l’information des consommateurs.

En effet, la Commission envisage de supprimer les normes permettant aux consommateurs d’identifier clairement les modes d’élevage des volailles grâce aux cinq seules mentions jusqu’à présent autorisées :

  • « Alimenté avec x % de … »
  • « Élevé à l’intérieur - système extensif »
  • « Sortant à l’extérieur »
  • « Fermier - élevé en plein air »
  • « Fermier - élevé en liberté ».

En lieu et place de cette liste strictement définie, en particulier les mentions relatives à l’extérieur et au plein air, le marché pourrait ainsi voir se multiplier des mentions fantaisistes pour qualifier les modes d’élevages, sans aucun cadre ni contrôle. Cette multiplication de désignations brouillerait l’information des consommateurs, les orientant vers les produits les moins-disants, mais les mieux « marketés ». Les modes d’élevage vertueux seront donc dilués, ce qui entraînera la disparition en France d’ici 5 à 10 ans des productions « fermières - élevées en plein air/liberté », de leurs éleveurs et de leurs emplois dans les régions, soit 5 000 éleveurs et 10 000 collaborateurs à ce jour.

La France au premier rang des victimes de la suppression des règles d’étiquetage

Cet étiquetage est très important en France en particulier où les productions « fermières - élevées en plein air/en liberté » ont une place importante puisqu’elles représentent au moins 20% de la production française, notamment via les productions AOC, Label Rouge et bio.

La France est le pays européen avec la plus grande production de volailles alternatives et donc le pays le plus concerné par l’évolution de l’étiquetage. Le pays compte environ 20% de volailles bénéficiant d’un accès à l’extérieur, loin devant l’Italie qui se place en deuxième position avec 7 %.

ANVOL demande à la France de bloquer le projet de la Commission

Les acteurs de la filière estiment ainsi que le projet de la Commission européenne est une aberration en termes d’information des consommateurs, de protection des agriculteurs et de durabilité. Il va à l’encontre de toutes les annonces faites en France au sujet de « la montée en gamme » et en Europe concernant « le Green deal » et la stratégie « Farm to fork » qui visent à soutenir la production locale et durable.

Ce projet met en danger l’avenir, non seulement des éleveurs, mais aussi de tout le tissu économique qui en découle et qui fait vivre les territoires ruraux : couvoirs, abattoirs, fabricants d’aliments, etc. C’est l’exception et l’excellence gastronomique française qui est en jeu !

La discussion entre la Commission européenne et les états membres prenant fin le 2 février 2023, ANVOL demande à la France d’opposer son veto au changement des règles actuelles.

Éléments complémentaires :

Un étiquetage clair avec cinq mentions autorisées en Europe
Les éleveurs disposent depuis 1991 d’une liste fermée de cinq mentions valorisantes précisément définies pour valoriser leurs produits et faciliter leur identification par les consommateurs. Il s’agit de :

  1. « Alimenté avec x % de … »
  2. « Élevé à l’intérieur - système extensif »
  3. « Sortant à l’extérieur »
  4. « Fermier - élevé en plein air »
  5. « Fermier - élevé en liberté ».

Ces mentions sont exclusives : elles seules peuvent figurer sur les étiquettes en Europe et les opérateurs (éleveurs, abattoirs) sont contrôlés pour vérifier le bon respect de ces règles.

Ces normes ont ainsi établi une segmentation et un étiquetage clairs, et ont permis aux productions de volailles alternatives d’être mieux connues des consommateurs, de trouver une place sur le marché et de se développer grâce à :

  • des conditions de concurrence équitables pour tous les producteurs européens
  • une meilleure visibilité des productions alternatives : elles sont plus chères donc l’étiquetage est nécessaire pour faire connaître leurs spécificités
  • une information claire des consommateurs : ils savent précisément ce qu’ils achètent, les normes évitent la confusion et les abus.

Le projet de nouvelles normes présenté par la Commission européenne fin 2022 change complètement les règles actuelles en supprimant l’exclusivité de cette liste fermée de 5 mentions. Si les 5 modes d’élevage existants deviennent facultatifs, et particulièrement ceux concernant la sortie à l’extérieur et le plein air, tout opérateur européen pourra désormais utiliser n’importe quelle autre mention de mode d’élevage sans aucun contrôle (exemples : « Poulets des champs », « Poulets de plein vent », « Poulets libres », « Poulets à l’air libre » …). 

Source

mardi 30 janvier 2024

PARCE QUE

 Parce que les USA ont le droit d'être ou ils veulent, et on vous emmerde ! ! ! 

Nuland « remet les pendules à l’heure » sur l’occupation définitive de la Syrie par les États-Unis

Depuis plusieurs jours, de nombreux reportages dans les médias indépendants et grand public suggèrent que les États-Unis pourraient enfin retirer leurs troupes américaines d'Irak et de Syrie . Ces informations se sont largement répandues, surtout avant l'attaque de dimanche par drone sur une base américaine à la frontière syro-jordanienne, qui a tué trois soldats américains et en a blessé plus de 40 autres, selon les chiffres révisés des victimes.

Par exemple, Foreign Policy  a rapporté  mercredi dernier que la Maison Blanche examinait et reconsidérait activement la présence des troupes après des années d'occupation de la Syrie , mais le rapport soulignait qu'« aucune décision définitive de quitter la Syrie n'avait été prise ».

Pourtant, il n’y avait eu aucun rapport sérieux ni aucun « débat » sur un projet de retrait de Syrie remontant au milieu de l’administration Trump, lorsque le président Trump avait alors souligné que les troupes étaient là « pour sécuriser le pétrole ». 

Tout comme dans l' article de Foreign Policy susmentionné, les faucons soutiennent que les Américains doivent « maintenir le cap » (sans date de sortie, comme c'est généralement le cas), comme si d'une manière ou d'une autre, l'absence du Pentagone dans la région allait déclencher le chaos et un Iran expansionniste (ou insérez la Russie, la Chine ou n’importe quel « méchant » du moment).

Mais cette semaine, un haut responsable de l’administration Biden a cherché à dissiper définitivement les rumeurs substantielles selon lesquelles un retrait de l’Irak ou de la Syrie pourrait être imminent .

Et ce n'était autre que Victoria "F*ck The EU" Nuland :

"Eh bien, permettez-moi d'abord de remettre les pendules à l'heure, les États-Unis ne se retirent pas de Syrie", a déclaré Nuland, sous-secrétaire d'État américain aux Affaires politiques, à CNN Turk.

Les commentaires de Nuland ont été rapportés dans les médias étrangers mais ont été absents du courant dominant américain, peut-être en raison de l'apathie générale du public américain sur les questions de l'occupation « pour toujours » de la Syrie.

À ce stade, les Américains sont dans l’ensemble conditionnés à supposer que l’Amérique a le « droit » d’occuper indéfiniment des États étrangers souverains au Moyen-Orient et de balayer leurs ressources énergétiques. Et pendant ce temps, la classe dirigeante du périphérique de Washington feint de s'inquiéter des pertes inutiles en vies humaines parmi les troupes américaines placées de manière précaire dans des déserts lointains .

Daniel McAdams, de l'Institut Ron Paul, a décrit avec justesse ce qui se passe réellement, et il n'y a rien de plus à dire...

EAU EN BOUTEILLE

 Eaux en bouteille : des pratiques trompeuses à grande échelle

Pendant des années, des eaux vendues comme « de source » ou « minérales naturelles » ont subi des techniques de purification interdites. Selon une enquête conjointe du « Monde » et de Radio France, un tiers au moins des marques françaises sont concernées, dont celles de Nestlé, qui a reconnu ces pratiques. Informé depuis 2021, le gouvernement a assoupli la réglementation dans la plus grande discrétion.


https://www.lemonde.fr/planete/article/2024/01/30/eaux-en-bouteille-des-traitements-non-conformes-utilises-a-grande-echelle_6213815_3244.html?lmd_medium=al&lmd_campaign=envoye-par-appli&lmd_creation=ios&lmd_source=twitter

Vittel, Contrex, Hépar, Perrier, St-Yorre… Réputées les plus pures et vitrines de la France à l’étranger, les plus grandes marques d’eau en bouteille ont reçu depuis de nombreuses années des traitements non conformes à la réglementation, notamment en raison de contaminations sporadiques d’origine bactérienne ou chimique. Autorisées sur l’eau du robinet ou sur les « eaux rendues potables par traitements », ces techniques de purification sont interdites sur les « eaux de source » ou « eaux minérales naturelles ». Celles-ci sont, en effet, censées provenir de ressources souterraines préservées et ne doivent ainsi pas subir de désinfection.

L’enquête conduite conjointement, depuis plusieurs mois, par la cellule investigation de Radio France et Le Monde met au jour l’utilisation généralisée de tels traitements non conformes, avec des millions de consommateurs non informés voire floués depuis de nombreuses années, et des milliers d’emplois en jeu dans toute la France. Selon nos informations, un tiers au moins des marques françaises d’eau de source et d’eau minérale auraient été, ou seraient encore, en délicatesse avec la réglementation.

Informé depuis août 2021 des pratiques illicites du groupe Nestlé Waters (Vittel, Hépar, Perrier, etc.), le gouvernement a, jusqu’à présent, tenté de gérer la crise avec la plus grande discrétion. L’affaire a été suivie au plus haut niveau, avec la décision prise, le 22 février 2023, au terme d’une réunion interministérielle, d’assouplir la réglementation par voie d’arrêtés préfectoraux. Et ce, afin d’autoriser des pratiques de microfiltration réputées jusqu’ici non conformes et de permettre ainsi la poursuite de l’exploitation de plusieurs sites.

Contaminations délibérément cachées aux autorités

La conformité de ces assouplissements réglementaires à la loi européenne est toutefois sujette à caution. Selon nos informations, la France n’a informé de la situation ni la Commission européenne ni les Etats membres, comme elle était supposée le faire en vertu de la directive 2009-54-CE......

LA FAUTE AU RECHAUFFEMENT

 

Orage en Dordogne : les installations photovoltaïques gravement touchées (20 juin 2022)

Dix jours après le violent orage de grêle qui s’est abattu sur le Ribéracois dans la soirée du lundi 20 juin, les propriétaires de centrales solaires redoutent des délais de réparation à rallonge en raison de la pénurie de matière première.

Une mer de verre constellée d’éclats. Le tableau passerait presque pour une œuvre d’art contemporaine s’il ne reflétait l’état désastreux des ombrières du parking de l’Intermarché de Ribérac (Dordogne). Pas plus qu’il n’a donné de sursis aux toitures voisines, l’orage de grêle qui s’est abattu sur le Ribéracois dans la soirée du lundi 20 juin n’a laissé de chance aux 1 200 m² de panneaux photovoltaïques mis en service en mars 2022.

« Cette production maison était censée nous aider à réduire notre consommation d’électricité auprès d’EDF », explique Thierry Chouffier, le directeur du supermarché ribéracois. Même si le compteur montre que le dispositif ne tourne pas complètement à vide, « il va de soi qu’il faudra plus tirer sur les réseaux pendant quelque temps ». Combien ? « Toute la question est là », enchaîne Thierry Chouffier, qui espérait en savoir plus jeudi 30 juin au matin avec le passage sur place d’un expert.

À Vanxains non plus, les intempéries n’ont pas fait dans la dentelle. Chez Jean-Paul Morillère, les grêlons ont détruit 100 % des panneaux photovoltaïques installés en avril sur son exploitation par la Société d’économie mixte de la Dordogne (SEM 24). « Le vent est arrivé de la façade ouest et les panneaux étaient exposés plein sud. Ils se sont pris les grêlons en pleine face », déplore l’agriculteur. Par chance, seule la moitié de la toiture avait été couverte, faute de panneaux disponibles en quantité suffisante. C’est autant de plaques en moins qui seront à démanteler le jour venu par les agents de la SEM 24. En attendant, Jean-Paul Morillère se rassure en sachant que la sécurité du bâtiment est garantie. « Il est hermétique aux infiltrations par le toit grâce à la couverture en acier qui fait office de toiture », glisse l’agriculteur.

« Parfois, c’est trois panneaux qu’il faut changer, parfois 450 »

« Les installations agricoles, comme celle de M. Morillère, ne sont pas les seules à avoir été touchées », complète Daniel Fenaux, le patron de la SEM 24, qui a axé une partie de son développement sur la promotion des énergies solaires dans le département. Entreprises, industries, bâtiments publics… Au total, pas moins de sept bâtiments ont été laminés avec plus ou moins d’intensité par l’épisode de grêle. « Parfois, c’est trois panneaux qu’il faut changer, parfois 450. C’est très différent selon les installations », concède Daniel Fenaux, dont l’inquiétude porte moins sur la capacité de ses services à réagir que sur les délais à rallonge du passage des experts des assurances.

Les entreprises prises d’assaut

Depuis l’orage de grêle, les installateurs de panneaux photovoltaïques sont très sollicités. « Entre les panneaux et les pompes à chaleur à changer, on a fait partir 50 devis depuis une semaine », fait-on savoir du côté de la société Cerise techniques basée à Ménesplet, à une trentaine de kilomètres de Ribérac. Compte tenu de l’ampleur des dégâts, tous les professionnels prédisent un retour à la normale au mieux dans deux ans. « Sans compter les problèmes d’assurance qui ne vont pas manquer de compliquer la tâche des équipes », laisse-t-on entendre chez Cerise techniques.
 
 
 
Pour ceux qui se posaient la question de savoir si les panneaux résistent à la grêle ! 
Quand aux pompes à chaleur, couvrez les !

DES CLANDESTINS IMPOSÉS

 

Alerte rouge: Arrivage de clandos au Village!

Bonjour tout le monde, c’est Marcel ! Alors aujourd’hui j’en ai appris une bien bonne, et j’ai sonné le tocsin au Village! Tous sont venus devant le bistrot, les plus prévenants portaient leurs 12, les plus timorés une simple fourche! Mais attention, ils savent s’en servir, de la fourche…

Bref ce matin donc je prenais mon ballon de Blanc en écoutant les niouzes de 6 heures (ben oui 6 plombes, on bosse nous les péquenots!) et d’un coup le bigophone sonne! A 6 plombes du mat, vous vous rendez compte? Et au bout du fil mon petit neveu Marco (vous savez, celui qui est dans la police) avec une voix d’outre-tombe.

Il me dit « Marcel j’ai une très mauvaise nouvelle, tu devrais t’asseoir…. ». Ma Germaine qui entend tout se précipite chercher un coussin au cas où je tombe de ma chaise, toujours prévenante ma tendre et douce Germaine! Mais moi j’en ai vu d’autres alors je dis a Marco « allez quoi, dis moi. Macron a cassé sa pipe? »

Grand silence. Plein d’espoir je dis à Germaine « on a combien de boutanches au frais? », pensant à la mémorable beuverie qui s’annonce! Toujours pas de réponse, je commence à m’énerver, faut pas me chauffer au petit matin moi! Alors je somme le Marco de passer à table! Et savez-vous ce qu’il me dit?

Qu’il a lu une note très confidentielle, il est prévu que 14 familles de clandos viennent s’installer au Village, sur ordre de la préfecture. J’en ai même pas fini mon verre, et lui ai demandé des détails. Bref je vais pas vous embêter avec ça mais donc parait que le préfet veut nous envoyer 14 familles, ça fait presque une centaine ça, ils pondent comme des fous les africains! Car oui c’est des africains, parait-il réfugiés de guerre de Côte d’Ivoire et du Mali. Je savais pas qu’il y a la guerre en Côte d’Ivoire et au Mali mais je ne suis qu’un pèquenot alors…

Et donc j’ai dit à la Germaine de me préparer mon sac avec un litron bien frais, moi suis allé chercher mon 12 et mes cartouchières, et j’ai foncé au clocher sonner le tocsin!

On n’avait pas vu ça depuis longtemps! Le maire est arrivé dans les premiers. J’étais passablement en colère, il devait être au courant en tant que maire, non? L’air de rien je lui grattais le bide avec le canon de mon 12 en lui posant la question. Il me regardait pas, il regardait le canon du 12! Mais non non il était pas au courant et a failli tourner de l’oeil en apprenant la nouvelle!

Alors on s’est installé au bistrot et en 20 minutes et 15 litrons à peine on a décidé ce qu’on allait faire si ceci se réalise. Je vous dis pas tout car c’est assez grave quand-même, mais promis je vous tiendrai au courant! On va avoir un gros travail, on s’y est d’ailleurs mis de suite, tous les tracteurs ont été mis à contribution pour creuser des grands trous. La terre est un peu gelée, c’est excellent ça!

A la revoyure, et ne vous inquiétez pas: Pas de clandos au Village, c’est notre devise depuis ce matin!

Marcel Berrichon

Source

RIPOUBLIQUE

Entre temps, ce sont les sénateurs qui eux aussi viennent de s'augmenté de 700 euros ! 


https://www.lefigaro.fr/politique/a-l-assemblee-nationale-l-augmentation-du-budget-des-deputes-provoque-la-colere-de-certains-collaborateurs-20240129

 Face à l’augmentation de 300 euros de l’avance de frais de mandat des députés, un petit groupe de collaborateurs parlementaire s’insurge.

Entre la grève des agriculteurs et celle des taxis, c’est une gronde plus confidentielle et feutrée qui tente de se faire entendre. Alors que la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet doit présenter ce lundi après-midi, ses vœux aux petites mains de la chambre-basse, un mouvement de contestation se dessine. Pour protester contre la hausse de 300 euros de l'avance des frais de mandats des députés(AFM), un certain nombre de collaborateurs souhaitent se rendre sans veste - pourtant obligatoire au sein du Bourbon depuis novembre 2022 - à la cérémonie.

PETIT MALIN

La CGT de la RATP a déposée un préavis de grève permettant de lancer un mouvement jusqu'à une date butoir en Septembre...... Les petits malins, ils commencent déjà a mettre la pression sur les JO 2024.

https://www.lefigaro.fr/conjoncture/ratp-la-cgt-depose-un-preavis-de-greve-jusqu-en-septembre-20240129

LA GUERRE CONTRE LE VIEUX MONDE

 ZFE : Ils déclarent la guerre à la France rurale

Source Le Fil d’Actu – Officiel

[EDIT] Cette vidéo a été écrite et tournée avant que n’éclate le mouvement des agriculteurs. Son sujet restant important, nous avons décidé de maintenir sa publication. Néanmoins, afin de toujours donner du sens à l’actualité, nous travaillons actuellement d’arrache-pied à une vidéo spéciale consacrée aux problèmes touchant le modèle agricole français. Nous mettrons tout en œuvre pour que cette vidéo sorte au plus vite, dans les prochains jours. Merci de votre compréhension.

ANALYSE

 CHAOS : La guerre civile a déjà commencé en France ?

Dimanche janvier à18h30 , Jean-Maxime Corneille sera l’invité principal du Rendez-vous Interdit pour une émission spéciale axée sur le chaos à venir en France .


Jean-Maxime Corneille est un juriste et écrivain, spécialisé dans les questions de géopolitique, de terrorisme et de renseignement. Il a notamment traduit l’ouvrage « Le charme discret du djihad: L’instrumentalisation géopolitique de l’islam radical ».

« Notre but principal sera de comprendre la logique de subversion sous-jacente au mondialisme, qui détourne aujourd’hui lourdement l’Occident contre le reste du monde, à l’insu des Occidentaux eux-mêmes.


Cinq siècles de lourde désinformation nous ont fait oublier les réalités les plus essentielles de la vie en communautés humaines.


Au premier desquelles : le rôle et la légitimité de l’État, devenu l’enjeu d’une lutte idéologique dont l’influence délétère est sous-estimée dans nos sociétés occidentales.


En Occident, l’État a été détourné contre les peuples occidentaux, et organise même la destruction des peuples occidentaux.


C’est une logique de subversion perverse qui n’est que beaucoup trop peu comprise comme telle, mais dont les conséquences sont bien réelles et nous précipitent vers le pire : une logique de guerre civile artificielle, qui met en danger la France, les Français, mais aussi l’Occident tout entier en tant que civilisation respectable et légitime.


Face à ce risque existentiel, il devient urgent de revenir à une vision saine des choses, en inversant des décennies voire des siècles de subversion idéologique nous ayant conduits à l’oubli de concepts essentiels : l’État, sa définition et son rôle concret, le sens de l’État, la Raison d’État, la Politique et l’articulation réaliste de toutes ces réalités.


Ce n’est qu’en revenant à une vision juste de ces fondamentaux, en dépassant les luttes d’influence idéologique qui en ont vicié la compréhension, que pourra être ensuite comprise l’actualité brûlante en France : un État défaillant dans son rôle initial, détourné contre son propre peuple lorsqu’il ose questionner cette défaillance d’ampleur historique. »


Rendez-vous donc le 28 janvier à 18h30, en direct sur GPTV !


Ne subissez plus la stratégie du chaos organisé et émancipez-vous du système dès maintenant :




GÉOPOLITIQUE-PROFONDE

lundi 29 janvier 2024

AGRICULTEURS

 Des « individus cagoulés » venus en #tracteurs ont allumé un incendie dans une plate-forme logistique appartenant au groupe Lidl, à Beaucaire dans le Gard. (Midi Libre)

Sur l'A15 près d’Argenteuil, des agriculteurs installent un campement sous les yeux de la police. Des klaxons de soutien se font entendre.

D’autres tracteurs venus de Moselle se rendent actuellement en direction de la capitale. (Le Républicain Lorrain)

Dans les Bouches-Du-Rhône (13), les chauffeurs de taxi bloquent le péage de la barque. (Témoins)

 Les taxis parisiens bloquent les Champs-Elysées. (Témoins) 



Le convoi d’Agen en direction de Paris est arrivé à Limoges. (France Bleu).

Action coup de poing des #agriculteurs clermontois ce matin avec le Géant Casino visé.

Des agriculteurs allemands manifestent ce soir à Sonneberg.

La frontière francobelge bloquée des deux côtés


ATTAQUE

 Une base américaine en frontière jordanienne avec l'Irak et la Syrie a été attaqué par un drone en provenance d'Irak. Le bilan est pour l'instant de 3 morts et de 40 blessés. Un bilan qui pourrait s'alourdir du fait de certains blessés graves. Immédiatement Washington a communiqué sur cet incident, afin d'expliquer que le système anti drone avait été mis en off sur une identification d'un drone américain qui retournait à sa base. Le système n'a donc pas pu réagir à l'approche d'un second drone.

Evidemment la responsabilité se tourne vers un groupe irakien en lien avec l'Iran. Mais ce qui devient viral c'est "que font encore les américains dans cette région ?". Alors oui, ils ont des accords avec la Jordanie qui pourtant, dans le conflit israélo palestinien met en doute la crédibilité des américains à être prompt en faveur des droits de l'homme. Mais en réalité, la présence américaine est aussi en Syrie, dans une zone soit disant "dissidente" détenue par les rebelles. Cette présence permet de sécuriser les transferts et transports de..... oui, vous avez deviné !

https://www.nytimes.com/2024/01/29/world/middleeast/jordan-drone-strike-us-soldiers.html



Les défenses aériennes n'ont pas réussi à empêcher dimanche une attaque contre un avant-poste militaire américain en Jordanie, qui a tué trois soldats américains, au moins en partie, parce que le drone hostile s'est approché de sa cible au moment même où un drone américain revenait à la base, ont déclaré deux responsables américains. Lundi.

Le drone ennemi a été confondu avec un drone de surveillance américain retournant à la base de ravitaillement éloignée, et les défenses aériennes n'ont pas été immédiatement engagées, selon les responsables, qui ont parlé sous couvert d'anonymat pour discuter des conclusions préliminaires sur une cause majeure de l'épisode. Deux autres drones qui ont attaqué d'autres localités voisines du sud-est de la Syrie ont été abattus, ont-ils ajouté.

Le Wall Street Journal avait précédemment rapporté que la confusion des drones, désormais au cœur d'une enquête menée par le commandement central militaire sur l'attaque meurtrière qui a suscité des vœux de représailles de la part du président Biden, a soulevé des doutes sur les défenses militaires américaines au Moyen-Orient et a de nouveau soulevé des questions sur les efforts de l'administration pour dissuader les attaques des milices soutenues par l'Iran contre les navires marchands, les navires de guerre et les bases militaires dans la région.

L'attaque de dimanche a tué trois soldats de réserve de l'armée américaine, la première victime militaire américaine connue à cause de tirs hostiles dans la tourmente résultant de la guerre entre Israël et le Hamas. Le Pentagone a porté lundi le bilan des blessés à au moins 40, avec un avertissement selon lequel la liste allait probablement s'allonger à mesure que des troupes supplémentaires se présenteraient avec des symptômes de traumatisme crânien suite à l'explosion.


Les responsables de l’administration Biden ont imputé la responsabilité à un drone lancé depuis l’Irak par une milice soutenue par l’Iran, et les soupçons du Pentagone se sont immédiatement portés sur le Kataib Hezbollah, un groupe affilié à l’Iran en Irak. "Il porte les traces du Kataib Hezbollah", a déclaré aux journalistes Sabrina Singh, porte-parole du Pentagone, soulignant que les analystes du renseignement étaient encore en train d'évaluer la frappe.

Le Pentagone a identifié lundi les soldats morts comme étant le Sgt. William Jerome Rivers, 46 ans, de Carrollton, Géorgie ; Spéc. Kennedy Ladon Sanders, 24 ans, de Waycross, Géorgie ; et Spéc. Breonna Alexsondria Moffett, 23 ans, de Savannah, en Géorgie. Les trois ont été affectés à la 718e compagnie du génie, au 926e bataillon du génie, à la 926e brigade du génie, une unité de réserve de l'armée basée à Fort Moore, en Géorgie.

La frappe de drone sur l’avant-poste du nord-est de la Jordanie, près de ses frontières avec la Syrie et l’Irak, appelée Tour 22, a intensifié les hostilités dans la région qui se sont intensifiées depuis l’attaque du Hamas contre Israël le 7 octobre et la guerre qui a suivi à Gaza.

M. Biden a juré de riposter et il a rencontré lundi pour la deuxième journée consécutive ses principaux collaborateurs à la sécurité nationale pour discuter de cibles possibles en Syrie, en Irak et en Iran. De hauts responsables américains ont déclaré qu'une attaque directe contre l'Iran était moins probable, bien que l'armée américaine ait élaboré des plans pour frapper les conseillers et entraîneurs militaires iraniens en Irak et en Syrie au cas où des troupes américaines seraient tuées par des milices soutenues par l'Iran au Moyen-Orient.


Le secrétaire à la Défense Lloyd J. Austin III, lors de son premier jour de retour au travail au Pentagone depuis son opération le mois dernier pour un cancer de la prostate, a condamné les attaques et juré de représailles.

"Permettez-moi de commencer par mon indignation et ma tristesse face à la mort de trois courageux soldats américains en Jordanie et aux autres soldats blessés", a déclaré M. Austin avant de rencontrer le secrétaire général de l'OTAN, Jens Stoltenberg. "Le président et moi ne tolérerons pas les attaques contre les forces américaines et nous prendrons toutes les mesures nécessaires pour défendre les États-Unis et nos troupes."

La frappe de drone en Jordanie a souligné que les milices soutenues par l'Iran – que ce soit en Iran ou en Syrie, ou les Houthis au Yémen – restaient capables d'infliger de graves conséquences aux troupes américaines malgré les efforts de l'armée américaine pour les affaiblir et éviter de sombrer dans un conflit plus large. peut-être avec l’Iran lui-même.


Les troupes américaines en Irak et en Syrie, et maintenant en Jordanie, ont été attaquées au moins 165 fois depuis octobre – 66 fois en Irak, 98 fois en Syrie et l'attaque de dimanche en Jordanie, a annoncé lundi le Pentagone. Plus de 80 militaires avaient subi des blessures, notamment des traumatismes crâniens, avant la dernière salve.

« Nous savons que l’Iran soutient ces groupes », a déclaré lundi John F. Kirby, porte-parole du Conseil de sécurité nationale. « Nous savons qu’ils les ressourcent, nous savons qu’ils les forment. Nous savons qu'ils ne découragent certainement pas ces attaques.»

Mais M. Kirby a ajouté : « Le degré auquel ils ordonnent et dirigent est quelque chose que les analystes du renseignement examineront. »


Pressés à plusieurs reprises lors de points de presse avec des journalistes lundi sur le moment et la manière dont les États-Unis réagiraient, M. Kirby et Mme Singh ont refusé de commenter les options spécifiques. Ils ont souligné que l’administration cherchait à éviter une guerre plus large dans la région, même s’ils accusaient l’attaque d’être à l’origine de l’escalade des tensions.

« Nous ne cherchons pas une guerre avec l'Iran », a déclaré M. Kirby. "Mais les attaques doivent cesser."

Le secrétaire d’État Antony J. Blinken a déclaré lundi qu’il ne « télégraphierait » aucune réponse potentielle des États-Unis, mais qu’une telle action « pourrait être à plusieurs niveaux, se dérouler par étapes – et se poursuivre dans le temps ».

M. Blinken a ajouté : « Nous vivons une période incroyablement volatile au Moyen-Orient. Je dirais que nous n’avons pas connu de situation aussi dangereuse que celle à laquelle nous sommes confrontés aujourd’hui dans la région depuis au moins 1973, et sans doute même avant cela.»

De son côté, l'Iran a nié lundi tout lien avec l'attaque et a accusé Washington d'avoir attisé les tensions dans la région.

Environ 350 membres de l’armée et de l’air sont déployés à l’avant-poste frontalier de la tour 22. Il sert de centre logistique et de réapprovisionnement pour la garnison d'Al Tanf, située à proximité, dans le sud-est de la Syrie, où les troupes américaines travaillent avec des partenaires syriens locaux pour combattre les restes de l'État islamique.

Le drone d'attaque à sens unique a frappé près des quartiers d'habitation de l'avant-poste, causant des blessures allant de coupures mineures à des traumatismes crâniens, a déclaré un responsable militaire américain. Huit militaires américains ont été transportés par avion en Irak pour des soins médicaux, et trois d'entre eux devraient être transportés par avion en Allemagne pour un traitement encore plus avancé, a déclaré Mme Singh.

Les soldats et aviateurs vivaient dans des logements conteneurisés, a expliqué Mme Singh, essentiellement des boîtes en aluminium un peu plus grandes qu'un conteneur de transport commercial. Ils ont un sol en linoléum et des berceaux ou des lits à l'intérieur et peuvent être facilement transportés sur des camions.


"Ce qui était différent dans cette attaque, c'est l'endroit où elle a atterri", a déclaré Mme Singh. "Il était assez tôt le matin, donc les gens étaient dans leur lit lorsque le drone a frappé."


MISE A JOUR / 

La porte parole de la Maison Blanche fait la boulette.....

L'indignation du public et une réaction massive ont suivi après que, dans une interview lundi, la secrétaire de presse de la Maison Blanche, Karine Jean-Pierre, a affirmé que les trois soldats américains tués par la frappe de drone en Jordanie étaient morts "en combattant au nom de l'administration" plutôt que de Amérique.

Sgt. William Rivers, 46 ans, de Carrollton, CPS. Kennedy Ladon Sanders, 24 ans, de Waycross, CPS. Brianna Moffatt, 23 ans, de Savannah.