jeudi 17 octobre 2024

PARLER L'ARABE

 Dénaturer, déconstruire, inverser les valeurs.


ENCULAGE A SEC

 Macron va enculer les agriculteurs !


ILLUSION

 

ESPIONNE ?

 RIMA HASSAN, AGENT IRANIENNE ?

Exclusif : C’est l’une des opérations d’espionnage les plus étonnantes de ces 50 dernières années. Franco-iranien, Matthieu Ghadiri, ancien policier et ex-agent infiltré, a été recruté par les services secrets iraniens dans les années 80, pour espionner et influencer, pendant plusieurs années, le parti socialiste. Ce dont ne se doutaient pas les mollahs, c’est qu’il travaillait pour le contre-espionnage français. Il nous a raconté de quelle façon la République islamique d’Iran fait du recrutement et de l’ingérence auprès de la gauche française....

https://atlantico.fr/article/decryptage/ingerences-iraniennes-en-france-les-confidences-dun-ex-agent-infiltre-matthieu-ghadiri-agent-infiltre-espionnage-iran-emmanuel-razavi

ELIMINATION

 Se réjouir de l'élimination d'une tête, ne veut pas dire qu'on a éliminé le cancer. Ces organisations sont constituer de sorte qu'une tête coupée, est immédiatement replacer. C'est comme les réseaux de trafic de drogue. Elimine un leader, il sera rapidement remplacer.


EN REALITE

 

TUER LA VOITURE

 Pousser les moins riches à l'esclavagisme des transports écolos, en commun, en trottinette, ou piétons.


DELIQUESCENCE

 Police municipale de Saint-Denis (93) : “Les agents ne connaissent pas le code pénal, certains agents parlent à peine français”

ENQUÊTE. Citée en exemple pendant les Jeux olympiques, la commune socialiste de Saint-Denis voit sa police municipale complètement lui échapper, malgré d’importants efforts en matière de sécurité. Les pratiques dangereuses et illégales s’y multiplient.

Valeurs Actuelles

REVERS DE VESTE

 

 Olaf Scholz prêt à discuter avec Vladimir Poutine pour mettre un terme à la guerre en Ukraine

Le chancelier allemand Olaf Scholz a appelé mercredi à "tout faire" pour empêcher la poursuite du conflit en Ukraine, y compris en discutant avec le président russe Vladimir Poutine.

https://www.bfmtv.com/international/europe/allemagne/olaf-scholz-pret-a-discuter-avec-vladimir-poutine-pour-mettre-un-terme-a-la-guerre-en-ukraine_AD-202410160896.html?at_brand=BFMTV&at_compte=BFMTV&at_plateforme=twitter&at_campaign=Fan_pages&at_medium=Community_Management

PANDEMIE

 

Le monde n’est toujours pas prêt à faire face au risque d’une nouvelle pandémie

Alors que 2024 a déjà vu 17 épidémies majeures, un rapport d’experts avertit que le monde n’est toujours pas prêt pour la prochaine pandémie. Celle-ci pourrait survenir à tout moment, amplifiée par des risques croissants dans les domaines sociaux, technologiques et environnementaux.https://www.lesoir.be/629482/article/2024-10-14/le-monde-nest-toujours-pas-pret-faire-face-au-risque-dune-nouvelle-pandemie

LA GUERRE DU SUV

 Omniprésentes et valorisant la puissance et l’individualisme, les publicités automobiles créent un imaginaire obsolète autour des voitures, dénonce Khaled Gaiji de l’association RAP.

LA DERIVE DU RSA

 Allocation contre travail : des associations alertent sur les dérives de la réforme du RSA.

Risque de travail gratuit, accroissement du non-recours… Le Secours catholique alerte, avec plusieurs associations, sur les dérives de la réforme de l’accompagnement des allocataires du RSA, qui impose la réalisation de 15 heures d’activité par semaine, et demande la suspension de sa généralisation, prévue au 1er janvier 2025.

https://www.mercipourlinfo.fr/actualites/aides-et-allocations/allocation-de-la-caf-contre-travail-des-associations-alertent-sur-les-derives-de-la-reforme-du-rsa-1105286

LE MASQUE ET LE MIROIR

Par Amal DJEBBAR pour Nouveau-Monde via l’Échelle de Jacob

Img/Source

L’Hypocrisie et l’Honnêteté se rencontrent au bord d’un lac silencieux, sous un ciel crépusculaire.
L’air est lourd.

Hypocrisie : (souriant doucement) Ah, Honnêteté, toujours aussi droite et rigide. Tu as ce talent unique de mettre les gens mal à l’aise, tu sais ? Ton besoin d’être franche en toutes circonstances, c’est presque… irritant.

Honnêteté : (impassible) Irritant pour toi, peut-être, mais nécessaire. Sans moi, les gens ne sauraient jamais où ils en sont, ni qui ils sont réellement.

Hypocrisie : (en haussant les épaules) Est-ce vraiment important ? Les gens aiment ce que je leur offre. Un petit mensonge ici, un compromis là-bas, et soudain tout devient plus facile. Pourquoi leur imposer la dure réalité quand ils peuvent vivre dans une douce illusion ?

Honnêteté : (ferme) Parce que cette illusion ne dure jamais. Elle finit par s’effondrer sous son propre poids. Ce que tu proposes n’est qu’un répit temporaire, un trompe-l’œil qui, tôt ou tard, mène à la déception.

Hypocrisie : (ricanant) Tu me sous-estimes. J’ai survécu des siècles, à la cour des rois, dans les chambres des politiciens, et même à la table des familles. J’offre aux gens ce qu’ils veulent entendre. Toi, tu ne leur offres que ce qu’ils refusent de voir. Regarde autour de toi, qui de nous est la plus aimée ?

Honnêteté : (calme) Tu confonds être aimé et être nécessaire. Ils peuvent te préférer en surface, mais lorsqu’ils sont seuls face à eux-mêmes, c’est à moi qu’ils se tournent. Ils cherchent la vérité pour se libérer de tes chaînes. Ce que tu appelles facilité n’est qu’une prison déguisée.

Hypocrisie : (sourire en coin) La vérité est souvent trop douloureuse. Tu le sais aussi bien que moi. Que fais-tu quand tu détruis des vies en révélant tout ? Moi, je leur permets de continuer à vivre sans cette douleur. Il y a une sorte de grâce dans l’illusion.

Honnêteté : (réfléchissant) La douleur est le prix de la liberté. Ceux qui choisissent de l’affronter grandissent, se renforcent. Avec toi, ils stagnent, prisonniers d’une mascarade qui les épuise à long terme. Tu les empêches de devenir meilleurs.

Hypocrisie : (malicieuse) Peut-être… mais je les rends heureux, du moins pour un temps. Et qu’est-ce que la vie, sinon une succession de moments ? Les miens sont doux et pleins de réconfort. Les tiens, abrupts et souvent cruels.

Honnêteté : (regardant le lac) La cruauté ne vient pas de moi, mais de la réalité que je dévoile. Je ne la crée pas, je l’expose. Ceux qui affrontent la vérité finissent par trouver une paix plus durable que tes sourires vides.

Hypocrisie : (en se rapprochant) Alors, pourquoi ne puis-je jamais être éliminée ? Pourquoi suis-je toujours présente, à chaque époque, à chaque instant ? Peut-être parce qu’au fond, les gens ont besoin de moi autant qu’ils te désirent.

Honnêteté : (avec une légère tristesse) Peut-être. Mais ils ne doivent jamais oublier que sans vérité, leur bonheur reste fragile. Tu ne fais que leur vendre du temps emprunté. Moi, je leur offre quelque chose de plus, même si cela leur coûte.

Hypocrisie : (riant doucement) Ah, cher Honnêteté, nous sommes condamnés à nous croiser éternellement. Je continuerai à donner des rêves, et toi… tu viendras les réveiller.

Honnêteté : (froidement) Et c’est dans cet éveil que réside leur salut. Souviens-toi de cela.

Hypocrisie : (renforçant son sourire) Voyons, regarde autour de toi. Ce siècle, cette époque, tout ce que les gens font et disent. Ils n’ont jamais autant adoré l’illusion qu’aujourd’hui. Les réseaux sociaux, les apparences, les filtres… Tout est soigneusement calibré pour que chacun se sente bien dans ses mensonges. Ce n’est pas moi qui les force à se voiler la face, ce sont eux qui me réclament à corps perdu.

Honnêteté : (inflexible) Ce n’est qu’un masque temporaire. Ils finiront par comprendre que la vérité est indispensable, même si elle est difficile à accepter. Personne ne peut échapper à la réalité éternellement.

Hypocrisie : (doucement) Ah, mais ils n’ont jamais eu autant de moyens pour fuir ! Tu parles comme si les gens cherchaient encore la vérité… mais regarde ! Ils s’entourent de distractions constantes : divertissements, mensonges partagés, likes et faux sourires. Pourquoi se tourneraient-ils vers toi quand je leur offre tout ce qu’ils désirent ? C’est bien plus agréable de me suivre. Pourquoi affronter la réalité quand on peut simplement la contourner ?

Honnêteté : (plus calme) La vérité finit toujours par les rattraper. Les illusions, aussi séduisantes soient-elles, ne durent pas éternellement. Elles s’effritent, et lorsqu’elles s’écroulent, les gens sont laissés face à une douleur encore plus grande.

Hypocrisie : (faisant mine de réfléchir) Oui, peut-être, mais combien sont prêts à le reconnaître ? Combien sont réellement prêts à se confronter à cette douleur ? Dis-moi… ne vois-tu pas que même les plus fervents défenseurs de la vérité plient sous le poids de leurs propres contradictions ? Regarde-les, ces penseurs, ces intellectuels… Ils prônent la transparence, mais dans l’ombre, ils se couvrent de mes voiles. Ils m’utilisent, parce qu’au fond, personne ne veut vraiment tout voir, tout savoir.

Honnêteté : (réfléchissant) Ce sont des faiblesses humaines. Mais je crois toujours que certains cherchent quelque chose de plus profond, quelque chose qui va au-delà de tes illusions.

Hypocrisie : (souriant plus largement) Peut-être… mais ces quelques individus ne changeront pas le monde. La masse ne cherche pas l’éveil. Elle cherche le confort, la tranquillité. Qui veut se remettre en question constamment ? Qui veut souffrir en se regardant dans le miroir sans fard ? Ils préfèrent un reflet embelli, une douce fiction plutôt qu’une dure vérité. C’est là que j’interviens, et c’est pourquoi je triomphe.

Honnêteté : (abasourdie) Mais… ils ne peuvent évoluer sans affronter la vérité !

Hypocrisie : (en haussant les épaules) Évoluer ? Mais qui te dit qu’ils veulent évoluer ? Ils veulent survivre. Trouver un sens dans un monde devenu trop complexe, trop oppressant. La vérité ne leur offre que plus d’angoisses. Moi, je leur donne une sortie de secours. Un doux sommeil où ils n’ont pas à penser aux décombres de leurs propres échecs.

Honnêteté : (se sentant dépassée) Tu ne fais que les maintenir dans une stagnation, une paralysie.

Hypocrisie : (avançant doucement) Et cette paralysie, cette torpeur… elle est si séduisante. Regarde-les, accrochés à leurs écrans, à leurs fausses certitudes. Ils préfèrent ne jamais se réveiller, car le rêve est tellement plus confortable. Et moi, je suis la gardienne de ce rêve. Sans moi, ils sombreraient dans une panique que tu ne saurais jamais apaiser. Alors, Honnêteté… dis-moi encore, qui de nous deux est vraiment le plus nécessaire ?

Honnêteté : (observant le lac) Tu as peut-être raison… Ce siècle ne semble pas prêt à accepter la vérité. Peut-être même que je suis devenu un fardeau.

Hypocrisie : (avec un sourire triomphal) Voilà… Tu le sens, n’est-ce pas ? Ils ne te veulent plus, pas maintenant. La vérité est trop brutale pour cette époque. Ce qu’ils cherchent, c’est une manière de continuer sans jamais se regarder en face. Et moi, je leur donne exactement cela.

Honnêteté : (soupirant) Peut-être que mon rôle n’a plus sa place ici. Peut-être que je dois reculer… pour un temps.

Hypocrisie : (doucement) Exactement. Laisse-les se reposer, se perdre un peu plus dans mes bras. Et quand ils seront prêts, vraiment prêts… tu reviendras. Mais pour l’instant, c’est moi qu’ils choisissent.

Honnêteté : (douloureusement) Je ne peux que m’incliner.

Amal DJEBBAR

AUTORISER A TUER

 L’IA sera-t-elle autorisée à tuer ?

Par Monique Savoie pour Observateur-Continental

Img/O-C

Un débat s’est enflammé dans la Silicon Valley sur l’aspect moral de doter l’IA intégrée dans l’armement de la capacité de prendre des décisions de tuer. 

Dans la Silicon Valley, les fondateurs d’entreprises développant des technologies militaires utilisant l’intelligence artificielle (IA) ont débattu de l’acceptabilité de franchir une limite critique, à savoir autoriser les technologies d’IA à prendre des décisions autonomes de tuer. 

En septembre, le cofondateur de Shield AI, Brandon Tseng, a déclaré que les armes aux États-Unis ne deviendraient jamais complètement autonomes où l’IA prendrait la décision finale de tuer. Il était convaincu que ni le Congrès ni le public ne soutiendraient une telle idée. Cependant, quelques jours plus tard, le cofondateur de la société Anduril, Palmer Luckey, a remis cela en question, soulevant l’aspect moral de l’opposition aux armes autonomes. Il a affirmé que les mines incapables de distinguer les civils des soldats ennemis pourraient être plus dangereuses que les systèmes contrôlés par l’IA. 

Lorsqu’on lui a demandé des éclaircissements, l’entreprise a précisé que Luckey ne préconisait pas que les robots prennent eux-mêmes des décisions de vie ou de mort, mais exprimait son inquiétude quant à une possible mauvaise utilisation de l’IA. Son collègue Trae Stephens avait précédemment souligné l’importance du contrôle humain dans la prise de décisions concernant l’utilisation d’armes létales. Anduril affirme que les deux positions sont alignées, car la responsabilité est importante, même si chaque décision n’est pas prise directement par un humain. 

La position du gouvernement américain sur les armes autonomes est également ambiguë. Les militaires américains n’achètent pas d’armes létales entièrement autonomes, mais n’interdisent pas aux entreprises de les développer ou de les vendre à l’étranger. Les États-Unis ont introduit des recommandations volontaires sur l’utilisation de l’IA à des fins militaires, nécessitant l’approbation des plus hauts gradés militaires pour les nouveaux systèmes autonomes, mais ces règles ne sont pas obligatoires. Les responsables américains déclarent constamment que “Not the right time” (ce n’est pas le moment) d’envisager une interdiction obligatoire des armes autonomes. 

Joe Lonsdale, cofondateur de Palantir et investisseur chez Anduril, a critiqué les discussions actuelles sur une interdiction totale des armes autonomes, proposant ce qu’il considère comme une approche plus flexible. Il a appelé les politiciens à mieux comprendre les nuances de l’IA dans les systèmes militaires avant de prendre des décisions qui pourraient affaiblir les capacités de défense des États-Unis. 

Sachant qu’Anduril et Palantir insistent sur le fait que la politique doit être déterminée par des élus, et non par les entreprises elles-mêmes. Cependant, ils soulignent également que les législateurs doivent comprendre la complexité de l’IA dans les conflits militaires. Beaucoup dans la Silicon Valley et à Washington craignent que la Chine ou la Russie ne commercialisent en premier des armes entièrement autonomes, forçant les États-Unis à faire de même. 

Des activistes et des groupes de défense des droits de l’homme ont longtemps essayé, sans succès, d’établir des interdictions internationales sur les armes létales autonomes, des interdictions que les États-Unis ont refusé de signer. La guerre en Ukraine a probablement fait basculer la situation contre les activistes, fournissant à la fois une source de données de combat et un champ de bataille pour tester les technologies de défense. Actuellement, les entreprises intègrent l’IA dans les systèmes d’armement, bien qu’elles exigent toujours qu’un humain prenne la décision finale de tuer. 

Pendant ce temps, les responsables ukrainiens insistent sur une plus grande automatisation des armements, espérant que cela leur donnera un avantage sur la Russie. 

“Nous avons besoin d’une automatisation maximale. Ces technologies sont fondamentales pour notre victoire”, a déclaré le ministre ukrainien de la Transformation numérique, Mykhaïlo Fedorov, dans une interview au New York Times.

Monique Savoie

mercredi 16 octobre 2024

AU CHÔMAGE

 Qu'est ce que la définition d'un bon à rien ?


P.DIDDY

 Très discrets, sont actuellement les médias américains sur l'affaire P.Diddy. Et pour cause, des révélations se font dans les couloirs, et tous les médias alignés se doivent de ne pas divulguer, voir d'éttoufer sous le coup de l'étiquette "fake news".

P. Diddy : l'affaire qui pourrait faire tomber les Démocrates ?

TERREUR DE BAC A SABLE

 

L’Ukraine demande l’aide des Alliés pour contrer l’hypothétique menace de soldats Nord-Coréens

L’actuel dirigeant de l’Ukraine, l’ancien président Vladimir Zelenski, a un besoin urgent de troupes supplémentaires. Les récentes modifications apportées aux lois sur la mobilisation n’ont pas vraiment amélioré l’arrivée de nouvelles recrues. Les quelques personnes qui ont été prises au piège et envoyées au front sont souvent des personnes souffrant de troubles médicaux ou sociaux ou des personnes âgées inaptes à tenir la ligne de front. Beaucoup désertent dès qu’ils le peuvent :

Comme l’indique la réponse du bureau du procureur général à la demande du « Conseil de l’intégrité publique », pour les huit mois de cette année, 29 984 procédures ont été ouvertes pour abandon non autorisé d’une unité et 15 559 pour désertion. Au cours de la première année de guerre, il y avait eu respectivement 6 641 et 3 442 cas de ce type. Ces deux indicateurs ont donc été multipliés par cinq.

« Puisque les déserteurs seront considérés comme étant sous les drapeaux (sans toutefois recevoir d’indemnité monétaire), on crée ainsi sur le papier l’illusion d’une dotation en personnel pour les unités militaires de combat. Quant aux conséquences de cette folie, elles sont évidentes : en octobre-novembre, plusieurs dizaines de milliers de soldats supplémentaires déserteront le front, et la prochaine ville forteresse sera Pavlograd », affirme M. Boyko.

Les récents raids dans les salles de spectacle et les concerts de Kiev n’arrangent rien non plus. Il s’agit essentiellement de poudre aux yeux destinée à montrer que même les Ukrainiens aisés tombent sous le coup de la loi.

Mais la plupart des personnes arrêtées lors de ces descentes ont les moyens de corrompre les recruteurs (traduction automatique) :

Les raids sont effectués dans presque toutes les régions et, surtout, dans les plus grandes villes, telles que Lviv, Odessa et Kiev.

Il n’y a pratiquement pas eu d’actions démonstratives de masse de ce type pendant cette guerre. Et à en juger par les commentaires des responsables gouvernementaux, cette campagne a été sanctionnée au plus haut niveau.

Le blogueur de Kharkiv, Yevgeny Zub, a publié des messages de personnes racontant comment elles ont été libérées du centre commercial où elles avaient été emmenées au cours des derniers raids.

Ainsi, un habitant de Kharkiv écrit qu’il a été libéré du centre commercial pour 5 000 dollars, à condition de verser 1 000 dollars par mois au commissaire militaire. Un autre citoyen de Kharkiv a été libéré pour 2 500 dollars. « Imaginez combien d’argent sera récupéré pendant les raids ? C’est difficile », a commenté Evgeny Zubov à propos de cette information.

Pourquoi les descentes dans les bureaux d’enrôlement sont-elles devenues plus actives ? Strana s’est entretenu à ce sujet avec des sources des bureaux d’enrôlement militaires et du ministère de la défense.

Selon elles, il faut distinguer deux processus.

Le premier consiste en des « événements » au centre commercial lors de concerts, de boîtes de nuit et de restaurants. Comme nous l’avons déjà écrit, ces événements sont principalement de nature informative et de relations publiques. Elles sont conçues pour montrer à l’armée et à la société qu’il n’y a pas d’intouchables. En réalité, comme l’indiquent les sources, l’effet de ces événements sur la reconstitution des effectifs de l’armée est minime – ce sont surtout les hommes qui sont « récupérés » de cette manière qui se rachètent. En outre, les commissaires militaires, grâce à ces raids, suppriment la « double caisse » – ils « soignent » à la fois les détenus et les institutions. Il y a toujours eu des frais pour s’assurer que les bureaux de recrutement ne dérangent pas les clients des restaurants et des boîtes de nuit. Mais aujourd’hui, on a ordonné d’oublier les anciens « rachetés » sur ordre d’en haut. Mais cela ne signifie pas qu’il n’y aura pas de nouveaux accords. Il y en aura. Mais ils seront plus coûteux.

Toutefois, selon certaines sources, ces « événements », bien qu’ils attirent l’attention de tous, sont de nature auxiliaire. Leur tâche est de fournir une couverture de relations publiques pour le deuxième et principal processus – une forte augmentation de la mobilisation dans les rues et des raids sur tous les lieux fréquentés : marchés, centres commerciaux, tous les événements populaires.

La raison de cette agitation est l’échec total (jusqu’à 70%) des plans de mobilisation.

Une deuxième façon d’obtenir de nouvelles troupes pendant que les troupes actuelles meurent est de demander aux puissances étrangères d’envoyer leurs hommes. Le « plan pour la victoire » de Zelenski prévoit cette mesure. Mais ses tentatives pour le faire accepter ont échoué.

Depuis, il a trouvé une idée pour justifier l’entrée de troupes étrangères de son côté.

Depuis plusieurs jours, Zelenski et ses journalistes affirment que des troupes nord-coréennes combattront bientôt aux côtés de la Russie. Il espère ainsi inciter les forces occidentales à envoyer leurs propres troupes en Ukraine, ne serait-ce que pour contrer les Nord-Coréens.

La première version de cette campagne médiatique a été publiée le 4 octobre :

Un tir de missile près de Donetsk élimine 6 officiers nord-coréens – Intel – Kyiv Post

Six officiers nord-coréens figurent parmi les 20 soldats tués lors d’un tir de missile ukrainien sur le territoire occupé par la Russie près de Donetsk, selon des sources de renseignement.

Plus de 20 soldats ont été tués lors d’un tir de missile, le 3 octobre, sur le territoire occupé par la Russie près de Donetsk, dont six officiers de Corée du Nord, qui étaient venus s’entretenir avec leurs homologues russes, selon les sources de renseignement du Kyiv Post. Trois autres militaires nord-coréens ont été blessés.

Selon les médias sociaux russes, avant le tir de missile, les Russes montraient aux représentants nord-coréens la formation du personnel pour les actions d’assaut et la défense.

Après l’échec de sa campagne « Plan pour la victoire », l’ancien président a repris le thème :

La Russie envisage d’impliquer la Corée du Nord dans la guerre en Ukraine cet automne, selon Zelensky – Kyiv Independent

La Russie prévoit d’impliquer directement la Corée du Nord dans sa guerre à grande échelle contre l’Ukraine cet automne et cet hiver, a déclaré le président Volodymyr Zelensky le 14 octobre, citant des données des services de renseignement.

Cette annonce intervient au lendemain de l’annonce de M. Zelensky mettant en garde contre une « alliance croissante » entre Moscou et Pyongyang.

Selon les services de renseignement militaire ukrainiens, les plans de la Russie pour l’automne et l’hiver comprennent « l’implication réelle de la Corée du Nord dans la guerre », a déclaré M. Zelensky.

Le 13 octobre, M. Zelensky a averti que la Russie et la Corée du Nord renforçaient leur alliance, affirmant que le partenariat s’était intensifié au point que la Corée du Nord envoyait du personnel sur les lignes de front ukrainiennes, ainsi que des armes.

Cette mise en garde fait suite à des rapports du ministre sud-coréen de la défense, Kim Yong-Hyun, selon lesquels la Corée du Nord est susceptible de déployer des troupes régulières en Ukraine pour aider la Russie sur le front.

Ces derniers jours, des informations ont également fait état de la mort d’officiers nord-coréens lors d’un tir de missile ukrainien en territoire occupé par la Russie. The Kyiv Independent n’a pas été en mesure de vérifier ces informations, qui n’ont pas été confirmées au-delà d’une seule source de renseignements.

Depuis lors, les médias ukrainiens ont ajouté des éléments à l’histoire, tous basés sur les mêmes « sources de renseignements ».

La Russie forme un « bataillon bouriate » composé de Nord-Coréens : 18 soldats ont déjà fui leurs positions – Pravda.ua

Les Russes ont constitué un « bataillon spécial bouriate » recruté parmi les citoyens de la République populaire démocratique de Corée, tandis que 18 Nord-Coréens se sont déjà échappés des positions situées le long de la frontière des oblasts russes de Briansk et Koursk.

Source : Ukrainska Pravda, sources des services spéciaux ukrainiens

Détails : Selon Ukrainska Pravda, l’incident s’est produit à 7 kilomètres de la frontière avec l’Ukraine.

Auparavant, des informations ont circulé sur la constitution d’un « bataillon spécial bouriate » au sein de l’armée russe.

Les effectifs de cette unité sont estimés à 3 000 personnes.

Le bataillon devrait être impliqué dans des activités de combat autour des localités de Sudzha et de Koursk.

3 000 hommes constitueraient six bataillons d’infanterie à part entière, et non un seul.

Il serait peu logique que des Nord-Coréens se battent en Russie contre l’incursion ukrainienne à Koursk. Cette incursion est déjà en grande partie vaincue.

En outre, les problèmes linguistiques et culturels rendraient l’intégration de ces forces dans les opérations militaires russes pratiquement impossible. Je suis certain que les militaires russes s’y opposeraient fermement.

Les affirmations de Zelenski ont été amplifiées par l’intermédiaire de divers mandataires et par des apparitions dans les médias (traduction automatique éditée) :

L’armée russe veut obtenir un maximum de résultats avant l’hiver et ne se prépare pas aux gelées. C’est ce qu’a déclaré l’oratrice du groupe « Lugansk » Anastasia Bobovnikova sur l’antenne du téléthon.

Par ailleurs, Suspilne, citant une source des services de renseignement, rapporte que la Russie veut envoyer du personnel militaire nord-coréen dans la région de Koursk.

L’armée russe serait en train de former un bataillon spécial de 3 000 personnes, composé de citoyens nord-coréens, sur la base de 11 ODSHBRS.

Le processus de fourniture d’armes légères et de munitions au bataillon est déjà en cours.

Je considère l’allégation de la présence de troupes nord-coréennes en Russie comme une fausse nouvelle et je suis sûr que la plupart des experts me suivront dans ce jugement.

Cependant, les médias américains parviennent aujourd’hui à donner de l’importance à cette absurdité :

Pourquoi la Corée du Nord envoie des soldats sur le front russe – Washington Post

L’envoi de soldats pour participer à l’effort de guerre de la Russie contre l’Ukraine pourrait rapporter de précieuses devises au régime de Kim Jong Un et renforcer les liens entre les deux pays.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a confirmé cette semaine les informations selon lesquelles des troupes nord-coréennes soutiennent les Russes à l’intérieur de l’Ukraine, avertissant que l’alliance entre Moscou et Pyongyang se renforce et évolue au-delà du transfert d’armes.

Un responsable du renseignement militaire ukrainien, s’exprimant sous le couvert de l’anonymat pour discuter d’une question de sécurité sensible, a déclaré la semaine dernière au Washington Post que « plusieurs milliers » de soldats d’infanterie nord-coréens suivaient actuellement un entraînement en Russie et pourraient être déployés sur la ligne de front en Ukraine d’ici à la fin de l’année.

La semaine dernière, le ministre sud-coréen de la défense, Kim Yong-hyun, a qualifié de « très probables » les informations selon lesquelles des militaires nord-coréens aideraient la Russie. Le Kremlin a qualifié cette affirmation de « canular ».

Je ne pense pas qu’un politicien ou un militaire occidental croira à ces absurdités qui, une fois de plus, proviennent uniquement des services de renseignements militaires ukrainiens. Mais il est clair que le gouvernement ukrainien mène une campagne pour que la question reste d’actualité. Quel est son espoir ? Inciter la Corée du Sud à envoyer ses forces combattre les Nord-Coréens à la frontière ukrainienne avec la Russie ?

Un autre moyen d’amener les forces étrangères à se battre du côté ukrainien est de leur faire échanger leurs uniformes actuels contre des uniformes ukrainiens. Une nouvelle loi ukrainienne a récemment facilité cette opération :

Les citoyens étrangers et les apatrides ont été autorisés à occuper des postes d’officiers au sein des forces armées ukrainiennes, du service de transport spécial de l’État ukrainien et de la garde nationale ukrainienne. La Verkhovna Rada a adopté la loi en la matière rédigée par le ministère de la défense de l’Ukraine.

Auparavant, les étrangers et les apatrides étaient limités à des rôles au niveau du personnel enrôlé et des sous-officiers.

La nouvelle de ce changement est tombée au moment même où le Royaume-Uni réfléchit à l’envoi d’instructeurs militaires en Ukraine. L’échange des uniformes des instructeurs pourrait rendre cet effort moins dangereux.

Moon of Alabama

DESTRUCTION

 

Pénurie de médicaments: Sanofi (dirigé par l’Oudéa de Castéra) bazarde aux Yankees une filiale qui produit des dizaines de médicaments

La filiale de Sanofi produit une centaine de médicaments sur ordonnance !

PARIS (Agefi-Dow Jones)–Exit l’introduction en Bourse, le laboratoire Sanofi choisit un fonds américain pour Opella, sa branche de santé grand public. Après quelques semaines de réflexion, le conseil d’administration de Sanofi a tranché en faveur du fonds Clayton Dubilier & Rice (CD&R), a-t-il annoncé vendredi matin.

Ce dernier était, selon nos informations, en concurrence avec le fonds de capital investissement français PAI Partners, allié pour l’occasion au fonds souverain d’Abou Dabi, Adia, et au fonds de pension canadien British Columbia.

CD&R propose de reprendre « une participation de contrôle de 50% » du capital de cette filiale qui fabrique le Doliprane, indique Sanofi sans plus de détails financiers. Des informations de presse évoquaient une valorisation globale de 15 milliards d’euros pour Opella ces derniers jours.

Le poids des Etats-Unis

La force de frappe de CD&R, qui a levé l’an dernier un fonds record de 26 milliards de dollars, ainsi que son origine américaine ont pu compter dans le choix du laboratoire de le retenir.

Les Etats-Unis constituent en effet le premier marché d’Opella, où le groupe a enregistré l’an dernier 24% de ses 5,2 milliards d’euros de chiffres d’affaires. Son second marché, la France, arrive loin derrière, avec environ 10% des ventes.

« Le projet potentiel d’indépendance d’Opella s’inscrit dans la stratégie de Sanofi de se concentrer sur les médicaments et les vaccins innovants. Opella fonctionne déjà aujourd’hui comme une entité autonome au sein de Sanofi, avec des ressources dédiées pour la R&D, la production, le digital, et avec sa propre feuille de route en matière de développement durable », a indiqué le groupe dans un communiqué.

Source

RIEN NE VA PLUS

 

Le système social allemand est-il sur le point de s’effondrer ?


Par Ulrike Reisner- Journal de l’Empire des Habsbourg : les caisses d’assurance sont menacées par un manque massif de liquidités. En fait, les cotisations devraient être augmentées comme jamais auparavant au cours des 20 dernières années. Mais les représentants des employeurs et des salariés s’y opposent. Les uns parce que cela augmenterait encore les coûts d’implantation ; les autres parce que de nouvelles charges fiscales pèseraient surtout sur la classe moyenne qui travaille. Celle-ci est sous pression, car la population allemande est de plus en plus âgée. Et comme de nombreuses personnes ne peuvent plus être placées sur le marché du travail, le nombre de bénéficiaires de l’aide sociale augmente.

Actuellement, des experts se réunissent à Bonn pour prévoir l’évolution financière de l’assurance maladie obligatoire pour 2025. Les signes avant-coureurs n’annoncent rien de bon, car les caisses évoluent au bord de la liquidité. On s’attend à une augmentation sans précédent depuis 20 ans. Apparemment, il n’y a pas d’autre solution. En 2023, les caisses d’assurance maladie allemandes ont dû enregistrer un déficit de 1,9 milliard d’euros. Les dépenses ont augmenté de 7,2 %.
Trop cher et inefficace

Près d’un tiers de toutes les dépenses, soit 94 milliards d’euros, sont consacrées aux traitements hospitaliers. Le ministre de la Santé Heiner Lauterbach a présenté un paquet de réformes qui a déjà été mis en pièces avant même d’être mis sous presse : le fonds de transformation prévu, avec 50 milliards d’euros pour dix ans, serait loin d’être suffisant, le double serait nécessaire. Les caisses critiquent le fait qu’elles doivent contribuer pour moitié via les cotisations de sécurité sociale. Le changement structurel serait une tâche qui incombe à l’ensemble de la société et ne relèverait pas de l’assurance maladie.

La structure fédérale de la République fédérale d’Allemagne ne facilite non plus la réforme du système social. Les plans de Lauterbach prévoient des fermetures d’hôpitaux, ainsi que des spécialisations. Les Länder se mobilisent contre ce projet. Ils craignent une réduction de l’offre de soins, notamment dans les zones rurales.

La faiblesse de la conjoncture met actuellement en évidence de manière drastique le coût et l’inefficacité du système social. Au total, l’Allemagne dépense environ 1,2 billion par an. Le budget social a ainsi presque triplé ( !) au cours des 30 dernières années. Le poste le plus important est l’assurance retraite, qui représente près de 30 % du budget. La démographie aggrave la situation : la part des plus de 65 ans est passée de 15 % en 1991 à 22 % en 2022. Et les seniors allemands s’appauvrissent : selon les derniers chiffres de l’Office fédéral des statistiques, de plus en plus de personnes dépendent de l’aide de l’État à l’âge de la retraite.

Le nombre de personnes bénéficiant de l’aide sociale en Allemagne augmente. Sur les quelque 5,6 millions de bénéficiaires, environ 2,7 millions n’ont pas de passeport allemand. Cela a récemment donné lieu à des débats houleux, notamment sur la question de l’immigration. En effet, des centaines de milliers d’Ukrainiens, de Syriens et d’Afghans compteraient également parmi les bénéficiaires.

Une charge pour les classes moyennes

Il y a quelques jours seulement, le gouvernement fédéral a dû revoir nettement à la baisse ses prévisions conjoncturelles. Au lieu de la croissance minimale de 0,3 % attendue, le produit intérieur brut se contracte cette année de 0,2 %. Le projet de budget 2025, actuellement en discussion au Bundestag, doit être adapté à cette situation dégradée.

Mais cela signifie que les recettes fiscales diminuent et que les dépenses sociales augmentent. C’est un très mauvais cadre pour l’assainissement urgent des dépenses sociales. Si nous nous remémorons les chiffres cités ci-dessus, une chose devient claire : de moins en moins de personnes doivent supporter une part toujours plus importante de la charge fiscale. Prochainement, les charges sociales dépasseront leur niveau historique de 42,5 % atteint en 2005. Les représentants des employeurs préviennent que la forte hausse des taux de cotisation entraînera des répercussions sur l’évolution du marché du travail. Pourtant, un marché du travail solide joue un rôle central dans le financement du système social. Le travail en Allemagne, selon la critique de base, devient de plus en plus cher et de moins en moins attractif.
 
Source : https://lecourrierdesstrateges.fr/2024/10/14/caisses-vides-le-systeme-social-allemand-est-il-sur-le-point-de-seffondrer/

NIVEAU 6EME

 

96 % de réussite au bac, 95 % d’échec à l’examen pour devenir diagnostiqueur immobilier et faire un DPE !

 

Le réel mes amis est une chose terrible.

C’est l’ennemi mortel de tous les idéologues du monde à travers les âges.

Le problème avec le réel, c’est qu’on peut tout imaginer, tout fantasmer, mais il vous rattrape.

Toujours.

Cela peut mettre du temps.

Mais il vous rattrape.

Toujours.

Vous avez entendu parler de l’effondrement des résultats de la France dans le classement Pisa. Pas grave. On ne voit pas les conséquences. Pas grave.

Et puis un jour, brutalement on se rend compte que les moteurs des avions tombent (aux Etats-Unis où 35 % des salariés de Boeing sont sous cannabis), que les trains n’arrivent plus à rouler, ou demain vous verrez qu’on n’arrivera plus à ramasser les poubelles, à soigner dans les hôpitaux ou à lutter contre la prolifération des rats qui mangent désormais les enfants dans leur sommeil. D’ailleurs autrefois, dans ma Normandie reculée, on emmaillotait les gosses et on les pendait aux chevilles qui dépassaient des poutres des maisons pour les mettre en hauteur hors de portée des rats… c’était il y a 2 siècles.

Aujourd’hui je voulais partager avec vous deux chiffres.

Deux résultats à des “examens”. 

Le premier c’est les résultats du bac 2024.

“Le taux de réussite au baccalauréat général est de 96,1 %, en hausse de 0,4 point par rapport à la session de juin 2023.” source Education nationale ici.

Le second c’est le taux symétrique d’échec aux examens pour devenir diagnostiqueur immobilier et faire un DPE.

“Alors que les taux de réussite aux épreuves de certification DPE et audit énergétique ont connu une forte chute depuis l’entrée en vigueur des nouvelles modalités d’examen au 1er juillet 2024, les organisations des diagnostiqueurs alertent sur l’urgence de la situation. Cela fait un peu plus de deux mois que les règles pour obtenir les certifications diagnostic de performance énergétique (DPE) et audit énergétique ont changé : augmentation de la durée de formation initiale, évolution des modalités d’examen… Or, le taux de réussite des candidats a fortement baissé suite à l’entrée en vigueur de cette nouvelle formule, au 1er juillet 2024. Dans un courrier envoyé le 2 octobre 2024 aux pouvoirs publics, l’association des organismes de certification de personnes (AOCP) déclare en effet estimer “un taux d’échec sur la partie théorique à plus de 80 % pour le domaine audit énergétique et de 80 à 95 % pour le domaine DPE”.

96 % de réussite au Bac, pour un taux d’échec de 95 % aux DPE !

Et là le réel vous revient en pleine figure.

Voilà ce que donne 20 ans de démagogie, de classe “inclusive” et de médiocrité institutionnalisée.

Cela ne fonctionne pas.

Nous ne sommes plus capables de former.

Vous savez je fais partie de ceux qui pensent que tout le monde a sa place et que chacun doit avoir sa place dans la société. Mais je peux vous affirmer pour recueillir de très nombreux témoignages que l’enseignement n’est plus possible aujourd’hui avec l’hétérogénéité des élèves que l’on impose dans les classes. C’est sur l’autel du mieux pour certains et d’un tout petit nombre, la destruction des capacités intellectuelles et cognitives du plus grand nombre. C’est l’illusion de croire que 96 % des gamins peuvent avoir un “bac”. C’est faux.

Et d’ailleurs le Bac, n’est qu’un examen sanctionnant des connaissances à un instant. Cela n’a rien à voir avec les talents de l’individu.

Pour autant, vous ne pouvez avoir ces deux chiffres sans les mettre en relation.

Il faut les lier.

Il faut les relier entre eux.

Nous savons tous que le bac ne vaut strictement plus rien.

Nous savons tous que le niveau s’effondre.

Nous savons tous que les jeunes utilisent massivement Chat GPT et ne lisent plus, ne travaillent plus, n’apprennent plus.

Nous assistons à un effondrement intellectuel du pays.

Et pourtant… nous avons des usines à faire tourner, des centrales nucléaires à surveiller, des avions à faire voler, des DPE à réaliser.

Nous n’arrivons plus à rien.

Nous nous effondrons sous deux grands poids.

Le poids de la complexité.

Le poids de la médiocrité généralisée, du manque d’ambition, des mensonges, de l’idéologie et de la démagogie.

Sauvez vos enfants de cela.

Cultivez chez eux la connaissance, la lecture, le savoir, le langage, les mots, la pensée.

Vous êtes certain d’en faire les leaders de demain, car il y aura tout un monde à reconstruire.

Imaginer un seul instant que l’IA sauvera le genre humain de sa propre inculture crasse est une illusion.

A un moment dans la vie, il faut travailler.

Quand on n’a pas travaillé pendant 20 ans, il devient difficile de former des gens à devenir diagnostiqueur immobilier.

Sans gars et autres gattes pour nous faire des DPE point de “transition écologique” dans le bâtiment.

Et encore, je ne vous ai pas parlé des gars et des gattes qui ne savent plus réparer les chaudières au gaz… qui pètent chez les locataires dans les logements.

Une société ne peut bien tourner que quand les gens sont bien formés.

En France et pas que, nous “déformons” nos gosses. Ne cédez pas à cela. Résistez. Préparez l’avenir en préparant vos enfants.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT