mercredi 6 novembre 2024

PLEURNICHARDS

 On en rigole, mais a terme, je vous assure, c'est épuisant de devoir vivre avec des gens comme ça !


MILICE

 

USA : les milices trans surarmées qui se préparent à la guerre civile

CONCEQUENCES

 

USA : les professionnels de santé refusent le vaccin COVID

Les professionnels de santé refusent davantage les injections COVID. Une enquête des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) américains révèle une baisse des taux de vaccination COVID chez les travailleurs de la santé. Moins de 15 % des professionnels dans les hôpitaux et maisons de retraite ont reçu le dernier rappel pour la saison 2023-2024, malgré les recommandations des autorités de santé publique.  A cause des éventuels effets secondaires, leur confiance à l’égard des vaccins a beaucoup diminué.

Selon une nouvelle enquête menée par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), seulement 15,3% parmi les quelque 8 millions de professionnels de santé dans les hôpitaux (soit un individu sur 6) ont reçu la dernière dose de rappel du vaccin contre le Covid-19 pour la saison 2023-2024 des virus respiratoires. Le taux de couverture est aussi faible chez les praticiens indépendants agréés. 

Une couverture vaccinale faible chez les professionnels de santé

Les CDC ont mené une nouvelle enquête pour identifier le taux de couverture vaccinale contre le Covid-19 parmi les professionnels de santé aux Etats-Unis pour la saison des virus respiratoires 2023-2024.  Selon l’enquête, sur les 8 millions de professionnels de santé dans les hôpitaux, seulement 15,3 % des professionnels de santé hospitaliers ont reçu le dernier rappel. Ce taux est encore plus bas parmi les praticiens indépendants agréés, avec une couverture de 12,7 %. Dans les maisons de retraite, seulement 10,5 % des 1,8 million de soignants ont été vaccinés, un recul par rapport à l’année précédente, selon les CDC.

Pour rappel,  pendant la saison 2022-2023, le taux de couverture vaccinale était plus élevé selon les CDC. Il était à 17,8 % chez les professionnels de santé des hôpitaux et à 22,8 % chez les soignants dans les maisons de retraite.  

Les causes de cette baisse

Les CDC ont associé cette baisse du taux de vaccination à deux évènements majeurs. Tout d’abord, l’administration Biden annoncé la fin de l’obligation vaccinale en mai 2023. Puis, l’automne, la même année, on a annoncé que les vaccins contre le Covid-19 seront désormais commercialisés. Les coûts supportés par les établissements et le personnel de santé ont donc augmenté. .

« Ces facteurs ont probablement eu un impact sur les campagnes de vaccination dans les maisons de retraite », analyse le CDC. Ces raisons financières s’ajoutent aux réticences croissantes au sein de la communauté des soignants.

Toutefois, une enquête récente réalisée auprès des professionnels de la santé a mis en évidence une autre raison à cette baisse. Cette étude publiée dans Vaccine en avril a révèlé l’hésitation à la vaccination contre le Covid-19 chez les professionnels de santé. Cette enquête menée auprès de plus de 4 100 membres du personnel de santé d’un système de santé new-yorkais entre 2021 et 2022 a révélé une inquiétude significative quant aux rappels de vaccin COVID-19 recommandés, ainsi qu’à la vaccination des enfants des professionnels de la santé. Selon l’enquête, les professionnels de la santé noirs, hispaniques, amérindiens, blancs et asiatiques étaient les plus réticents aux vaccins COVID. Ces travailleurs de la santé avaient peur des effets secondaires des produits.

Pour mémoire, durant la crise COVID, aux USA, des médecins ont été suspendus pour avoir critiqué le vaccin , et accusés d’avoir  répandu de “fausses informations”. Par ailleurs, depuis le lancement des vaccins contre le Covid-19, en 2021, le plus grand flou règne sur l’ampleur des effets secondaires de ces injections. Cela ne fait qu’accroître le doute de la population américaine .Les Républicains ont récemment contesté les statistiques sur le nombre de vies sauvées par les vaccins contre le Covid-19, remettant en question l’expertise médicale de la FDA américaine.

Source

IDIOT

 

Macron. « Quand un type dit intelligent prend une décision totalement absurde, c’est un problème psychologique » selon Alain Minc

Le moins que l’on puisse dire c’est qu’Alain Minc n’y va pas par le dos de la petite cuillère, lui qui avait encensé Macron comme l’un des plus géniaux chefs d’Etat que la France ait porté au pouvoir.

Un homme si brillant.

Un homme si génial.

7 ans après, il ne reste pas grand chose de l’action du président Macron si ce n’est 3 250 milliards d’euros de dettes et une dissolution totalement ratée.

Du côté d’Alain Minc, la critique est aussi dure que les compliments passés avaient été outranciers.

Charles SANNAT

CONSEQUENCES

 Présidentielle américaine : une élection lourde de conséquences pour les économies européenne et française.

 Si la victoire revient à Donald Trump ou Kamala Harris, les perspectives commerciales ne seront pas les mêmes pour l’Union européenne. Dans tous les cas, un nouveau paradigme se dessine, estiment des experts.

https://www.lefigaro.fr/conjoncture/presidentielle-americaine-une-election-lourde-de-consequences-pour-les-economies-europeenne-et-francaise-20241105

TENDANCE

 Berkshire Hathaway, la holding de Warren Buffett, a annoncé samedi ses résultats du troisième trimestre. Si les bénéfices ont chuté, la trésorerie a atteint un nouveau record historique de 325 milliards de dollars, un montant encore jamais enregistré pour une entreprise privée. Mais pourquoi Warren Buffett garde autant de cash ?

https://www.zonebourse.com/cours/action/BERKSHIRE-HATHAWAY-INC-11915/actualite/Warren-Buffett-se-prepare-au-pire-48242064/

ESPRIT CRITIQUE

 Existe-t-il une conscience critique dans la société actuelle ?

Germán Gorraiz López, analyste politique pour Observateur-Continental

Selon Wikipedia.org, le «galop de Gish» ou la mitrailleuse fallacieuse est «une technique de débat qui vise à submerger l’adversaire avec autant d’arguments que possible, sans égard à leur précision ou à leur force, et l’effet collatéral serait l’impossibilité de tenir» un débat serein et constructif car toute stratégie a minima rationnelle de l’adversaire serait démantelée. 

Le terme a été inventé par Eugénie Scott et nommé d’après le créationniste Duane Gish, qui utilisait fréquemment cette technique contre les partisans de l’évolution. Au cours du «galop de Gish», «un débatteur confronte son adversaire à une succession rapide d’arguments trompeurs, de demi-vérités et de fausses déclarations dans un court laps de temps. Une telle technique fait perdre du temps à l’adversaire et peut remettre en question sa capacité à débattre contre un adversaire» public qui n’est pas familier avec la technique (surtout s’il n’y a pas de vérification indépendante des faits ou si le public a une connaissance limitée des questions)». 

La technique manipulatrice susmentionnée aurait trouvé son habitat naturel sur les sites Internet numériques et les réseaux sociaux. Ainsi, une fois truquées les fausses informations, les demi-vérités ou les fausses déclarations, elles sont envoyées simultanément à l’ensemble des sites numériques qui deviendront ensuite viraux sur les réseaux comme le «silence» des médias, atteignant leur objectif de transmettre à l’opinion publique les idées concoctées dans les laboratoires de désinformation.  

De même, l’apparition successive et ininterrompue de canulars ou de fausses nouvelles démantèle toute stratégie minimalement rationnelle pour les réfuter, puisque de facto, chaque point soulevé par le «galop de Gish» demande beaucoup plus de temps pour être réfuté ou vérifié que pour être affirmé. 

Si l’on ajoute à cela une pratique journalistique dangereusement médiatisée par l’absence d’exégèse ou d’objectivité dans les articles d’opinion, ainsi que par la fin du code de déontologie journalistique, nous avons comme résultat une boucle de rétroaction positive qui parvient à inoculer le canular ou la désinformation dans l’encéphalogramme plat de la conscience critique de la société actuelle. 

Germán Gorraiz López, analyste politique

NEGOCIATIONS

 Négociations secrètes entre la Russie et l’Ukraine ?

Souhaitons que cette tuerie cesse vite !

Par Pierre Duval pour Observateur-Continental

Moscou et Kiev mènent des négociations non publiques pour déterminer d’éventuelles concessions mutuelles. Des négociations sont en cours au niveau des conseillers politiques, écrit Die Zeit, citant des sources bien informées. 

Les Russes et les Ukrainiens ont déjà conclu des accords diplomatiques dans de nombreux domaines. Selon des sources citées par Die Zeit, la question d’éventuelles négociations de paix entre les deux pays est pratiquement résolue, et Moscou et Kiev discutent actuellement du format, du lieu et de la date d’un tel dialogue. 

Des négociations fermées sont en cours entre l’Ukraine et la Russie sur d’éventuelles concessions mutuelles. Les principaux sujets de discussion comprennent les accords de non-agression sur les infrastructures énergétiques, les échanges de prisonniers, la reprise de l’accord sur les céréales, le retour des enfants ukrainiens et l’avenir possible de la Crimée. 

Die Zeit a évoqué le sujet en faisant référence à des interlocuteurs bien informés. Les parties discutent de l’absence d’attaques mutuelles contre les infrastructures énergétiques, de l’échange de prisonniers, de la reprise des accords céréaliers et du retour des enfants ukrainiens, ainsi que du sort futur de la Crimée. Des réunions ont eu lieu à Kiev, à Davos, à Copenhague, à Djeddah et dans d’autres villes. Des représentants des pays du G7 et de la Chine y ont participé. Le conflit a, certes, créé un fossé entre l’Ukraine et la Russie, cependant, les négociations se déroulent encore aujourd’hui entre les deux pays, à l’abri du public. 

Selon des sources de Die Zeit, le format et les modalités du futur dialogue sur les négociations de paix sont en cours de discussion et les négociations ont été menées au niveau des conseillers d’État. 

Pour l’hebdomadaire de Hambourg qui invite le gouvernement allemand a, enfin, agir et faire pression pour utiliser la force de la diplomatie pour «arrêter les combats et pousser à négocier», «un engagement clair en faveur du cessez-le-feu en Ukraine et une initiative diplomatique» sont nécessaires. Die Zeit martèle que «la diplomatie est le seul moyen», rappelant que les négociations entre l’Ukraine et la Russie à Istanbul au printemps 2022 ont failli mettre fin au conflit. Pour le média germanophone, «c’est possible, il suffit de le faire et il suffit de le vouloir». 

Die Zeit donne une voix différente dans le paysage médiatique en Occident qui continue de jouer au porte-parole de la continuation des combats alors que le journalisme a pour fonction de s’engager pour la paix. Inviter constamment — toujours aujourd’hui — des «experts» devant les caméras des télévisions françaises et occidentales, qui vantent la capacité des bombes à tuer des individus (soldats) — au lieu d’engager un discours pour la paix et l’arrêt des combats — est un scandale qui ne dit pas son nom.  

La diplomatie la plus réussie et celle qui se tient en secret. «Ces questions sont abordées loin des regards indiscrets et non au plus haut niveau. Imaginez ce qui se serait passé en Ukraine s’il était soudainement connu que le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, était prêt à céder le territoire», questionne Die Zeit, stipulant: «Mais lorsque les responsables ukrainiens et russes et les conseillers politiques en parlent de manière confidentielle, l’autre partie sait où il y a de la place pour la manœuvre, et où non». 

Les journalistes du Die Zeit estiment que la question n’est plus de savoir si les négociations de paix auront lieu, mais quand et comment, tout en dénonçant le comportement du gouvernement allemand à l’image des Occidentaux comme la France qui fournissent des armes à l’Ukraine. 

Enfin, les journalistes occidentaux d’un grand média européenn se réveillent et prennent position pour arrêter les combats en Ukraine. À quand une telle prise de position de la part de LCI ou de BFMTV

Pierre Duval

mardi 5 novembre 2024

AND THE WINNER IS ?

 


SACRIFICE

 Les mêmes qui se prétendre défenseur des minorités et des gens dans le besoins..... Clairement, ces gens détestent les français.


FIN DE VIE

 

EMPECHEMENT

 

PROFITABLE

 Business lucratif sur le dos des migrants.

Le « roi des hôtels pour migrants » récolte 4,8 millions de livres sterling par jour

Le « roi des hôtels pour migrants » qui a profité de la crise des demandeurs d'asile a récolté 4,8 millions de livres sterling par jour et est en passe de devenir le premier milliardaire du secteur de l'immigration !

Le « roi » des hôtels pour migrants de Grande-Bretagne engrange 4,8 millions de livres sterling par jour et pourrait devenir milliardaire grâce à l'argent gagné en hébergeant des immigrants au Royaume-Uni.

Graham King, ancien magnat des parcs de caravanes et des discothèques, a été catapulté sur la liste des riches cette année après avoir tiré profit de l'hébergement et du transport des arrivants en raison de la crise des migrants au Royaume-Uni.

L'homme de 57 ans, dont la valeur nette est estimée à 750 millions de livres sterling, possède une entreprise dans l'Essex qui a reçu 1,74 milliard de livres sterling l'année dernière et a affirmé que cela était dû à l'augmentation du nombre de réfugiés.

Il devrait devenir le premier milliardaire britannique issu du secteur de l'immigration car il a un contrat avec le ministère de l'Intérieur qui durera jusqu'en septembre 2029.

Clearsprings Ready Homes, qui héberge des migrants dans des hôtels, des casernes militaires inutilisées et des appartements, a enregistré une augmentation de ses revenus de 400 millions de livres sterling en seulement 12 mois.

Graham King, un ancien magnat des parcs de caravanes et des discothèques qui a fait fortune grâce à un contrat du ministère de l'Intérieur pour héberger des demandeurs d'asile

Graham King, un ancien magnat des parcs de caravanes et des discothèques qui a fait fortune grâce à un contrat du ministère de l'Intérieur pour héberger des demandeurs d'asile

Des migrants sont amenés à Douvres, dans le Kent, à partir d'un navire de la Border Force en mai

Des migrants sont amenés à Douvres, dans le Kent, à partir d'un navire de la Border Force en mai

Un groupe de manifestants devant l'un des hôtels King's de Londres en janvier, après qu'environ 400 demandeurs d'asile devaient être déplacés

Un groupe de manifestants devant l'un des hôtels King's de Londres en janvier, après qu'environ 400 demandeurs d'asile devaient être déplacés

Selon le Times, un rapport de l'entreprise montre qu'elle a réalisé un bénéfice de 91,2 millions de livres sterling l'année dernière et a versé 90 millions de livres sterling de dividendes à une société contrôlée par King, « principalement pour la fourniture d'hébergement, de soutien et de transport aux demandeurs d'asile ».

image de l'article

Les contrats d’hébergement des demandeurs d’asile sont devenus beaucoup plus coûteux en raison du manque de logements.

Les contribuables paient entre 127 et 148 £ par jour pour les loger, ce qui représente un total de 8 millions de livres sterling par jour.

Mais le gouvernement a déclaré qu'il réduirait les dépenses consacrées aux « hôtels d'asile », ce qui pourrait avoir un impact sur les activités de King.

Certains titulaires de contrats ont également été critiqués pour l'état des propriétés qu'ils occupent.

Cela inclut Clearsprings : en 2021, deux de ses sites ont été critiqués pour être « décrépits », « appauvris » et « délabrés ».

En 2023, 70 personnes, dont des enfants, ont dormi dehors en guise de « protestation » après avoir affirmé avoir été placées dans de petites chambres sans suffisamment de lits dans deux hôtels gérés par Clearsprings dans la capitale.

Graham King a remporté des contrats du ministère de l'Intérieur pour fournir un hébergement aux réfugiés

Les inspecteurs ont précédemment décrit l'un de ses sites, Penally Camp au Pays de Galles, comme « décrépit » et sale.

La fille du roi vend des œuvres d'art en promettant : « Elle échangera des racistes contre des réfugiés »

Au tournant du siècle, King dirigeait un parc de caravanes à Canvey Island, dans l'Essex, avec son frère.

Il a diversifié son activité après qu'une discothèque qu'il dirigeait a perdu sa licence et il a suggéré qu'il pourrait utiliser le bâtiment - un ancien cinéma - pour héberger des réfugiés à la place.

Depuis le lancement de sa société immobilière en 1999, King a remporté une série de contrats gouvernementaux lucratifs pour fournir des logements à court terme, principalement aux demandeurs d'asile.

Son entreprise a fait la une des journaux lorsqu'une municipalité a décidé d'héberger des demandeurs d'aide sociale dans ses caravanes. Elle s'est également retrouvée dans la ligne de mire lorsque des inspecteurs ont découvert qu'elle hébergeait des demandeurs d'asile dans des conditions « décrépites » et « délabrées » dans une ancienne caserne du Kent et un camp militaire du Pembrokeshire.

Les inspecteurs ont déclaré qu'environ un tiers des résidents consultés ont affirmé souffrir de problèmes de santé mentale et ont constaté des « échecs fondamentaux de leadership et de planification ». 

La richesse du roi a permis à son fils et à sa fille de payer leurs études dans un pensionnat de 44 000 £ par an et de financer les vacances de la famille autour du monde et les voyages de ski alpin.

Des migrants sont photographiés arrivant à Douvres après avoir été ramenés à terre par des fonctionnaires britanniques

Des migrants sont photographiés arrivant à Douvres après avoir été ramenés à terre par des fonctionnaires britanniques

Sa fille Catalina étudie pour devenir artiste et ses créations comprennent des tirages à 10 £ portant le slogan « Nous échangerons les racistes contre des réfugiés ».  

King a été classé 173e personne la plus riche de Grande-Bretagne dans la liste des riches du Sunday Times pour 2024 - mais a promis de grimper encore plus haut d'ici l'année prochaine.

La famille King vient de Canvey Island, dans l'Essex, où le père de Graham, Jack King - un vendeur de hangars de Romford - a déménagé sa jeune famille au début des années 1960.

L'entrepreneur et fan de football Jack a acheté un parc de caravanes en faillite au conseil et l'a transformé en une entreprise de maisons mobiles prospère, Kings Park, qu'il a vendue pour 32 millions de livres sterling en 2007, a rapporté le Times.

King a suivi les traces de son père et a passé de nombreuses années à travailler pour Jack - qui possédait également une compagnie de taxi, un concessionnaire automobile et des boîtes de nuit accueillant des artistes tels que Shirley Bassey et Tommy Cooper - avant de lancer Clearsprings.

La plupart des Kings ont quitté l'île de Canvey. La mère de King est décédée dans les années 1970 tandis que son père est décédé en 2016.

Source

POUR MEMOIRE

En 2019, 8 mois avant le début de la pandémie.


DEFAILLANCES

 « Un record » : la grande inquiétude face aux 66 000 défaillances d’entreprises en un an

Le nombre de sociétés qui ont mis la clé sous la porte est remonté au plus haut avec la fin des aides publiques liées à la crise du Covid. On en dénombre 66 000 sur un an, selon le cabinet Altares. « Un record », qui fait « craindre à terme des conséquences sur l’emploi ».

https://www.leparisien.fr/economie/la-grande-inquietude-face-aux-66-000-defaillances-dentreprises-en-un-an-04-11-2024-BIMUB4XQ7FBIRPW6A4JWJB5E2A.php#:

L'ILLUSION

 Trump ou Harris? (Comment le système organise l’illusion du changement).

Certes, même si Monsieur Trump aura été toute sa vie favorable à l’avortement  https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2099712/trump-interdiction-avortement-veto-vance

et aura seulement changé d’avis sous les conseils de son staff républicain juste avant sa première investiture d’il y a quatre ans, et même s’il a déclaré récemment qu’il n’avait aucun problème avec le mariage gay https://www.swissinfo.ch/fre/trump-ne-veut-pas-contester-le-principe-du-mariage-homosexuel/42590104 , j’ai moi aussi davantage de sympathie pour lui que pour Mme Harris ; cela est une évidence.

Pour autant ne perdons pas de vue l’essentiel. Et cet essentiel, c’est que de même que Hollande, Macron, Sarko and Co, les présidents américains sont eux aussi des pions interchangeables sans le moindre vrai pouvoir quant à la dictature du politiquement correct et quant au nouveau normatif diffus et satanique qui règne désormais dans tous les pays développés.

Pour nous en convaincre observons les 20 ans d’histoire récente des États-Unis. Nous avons eu des démocrates comme Clinton et Obama (favorables à la culture de mort) et des  républicains qui y étaient vigoureusement opposés (les deux Bush et Mr Trump). Avons-nous noté un réel changement d’orientation civilisationnelle selon que les uns ou les autres étaient au pouvoir ? Le mariage contre nature et le meurtre des enfants à naître (au-delà des vœux pieux-et des lois inapplicables car rejetées par l’état fédéral) ont-ils cessé sous les administrations républicaines? Les censures dans les réseaux sociaux, ont-elles diminuées ? Les Américains, comme nous, n’ont-ils pas été obligés de porter sous Trump leur torchon de soumission pour se protéger de la « pandémie » ? Sont-ils devenus davantage libres?

Non bien sûr que non. C’est que le vrai pouvoir que certains nomment « the deep state » (état profond) est insaisissable (« Deep state » étant d’ailleurs un terme inapproprié car trop réducteur et renvoyant directement à des personnes comme Bill Gates et Soros, alors que ce pouvoir satanique du nouveau normatif « de l’ombre » reste, au fond, un mystère qui les dépasse eux-mêmes. Voir à ce sujet mon essai «le complot inconscient »).

C’est que ce pouvoir est à la fois partout et nulle part, il est une infestation ambiante des esprits (peut-être par ces démons invisibles dont parlait St Paul….). Certes nous savons que ce sont les lobbys féministo-maçonniques-LGBT qui le propagent le plus, mais cette seule explication reste insuffisante pour appréhender son succès; succès qui va jusqu’à abrutir les populations du monde au point qu’elles consentent docilement à mettre leur serpillière de la honte et de servitude sur le nez (masque) pour se protéger d’un virus de la grippe ou encore à percevoir la légalisation du meurtre d’un enfant à naître comme «progrès» prouvant la tolérance de nos sociétés. Car sans le consentement de la multitude, ces forces de l’ombre n’auraient pas autant de puissance. En cela, il faudrait peut-être poser la question à l’envers et dire que le vrai mystère ne vient pas des scélérats qui nous dirigent mais plutôt de notre propension à les croire…

Mr Trump, comme les autres (et comme les nôtres en Europe) avait accédé au pouvoir dans le cadre d’une république et donc dans le cadre d’un système maçonnique. Un système est-il prévu pour se détruire lui-même? Non, bien sûr que non; cela n’est pas dans sa nature. Aucun système n’est conçu pour s’auto-anéantir.

Aux États-Unis comme ailleurs, tout vrai changement est nécessairement conditionné à un changement radical de régime; cela en est la condition «sine qua non». L’Amérique, dont la constitution, comme en France a été écrite par des francs-maçons, n’échappe pas à la règle. https://youtu.be/y0ZH3J7WJVI

Après deux-cents ans d’occupation maçonnique et de génocide culturel, les occidentaux sont déchristianisés. Ils n’ont plus ce point d’appui éthique qui jadis leur permettait d’être capables de discernement et de lutter contre le mal. Dans les sociétés modernes, construites sur l’athéisme, donc sur le sable, c’est donc l’information la plus visible, la plus criarde et la plus répétitive qui finit par imposer sa norme. C’est donc au final les médias et de plus en plus les réseaux sociaux (dont la censure exercée par leurs modérateurs montre chaque jour davantage leurs vrais visages de soumission à la pensée unique antichrétienne) qui définissent le bien et le mal.

Quand twitter (maintenant X) se permettait, comme ce fut le cas avant son rachat par Elon Musk, d’effacer un texte du président des États-Unis, cela nous montre qui détient les manettes du normatif. Mais cela, comme déjà vu plus haut, ne répond pour autant toujours pas à l’essentiel: pourquoi ce normatif est-il satanique ? La seule réponse habituelle du capitalisme apatride, du gouvernement mondial et des lobbys à sa solde, pour ma part, ne me satisfait pas. Il y a autre chose…Tout le débat est là.

Alors, Trump ou Harris? Fausse question, car en toute dernière analyse cela n’a strictement aucune espèce d’importance; pas plus d’ailleurs que n’en avait jadis et chez nous l’élection de Jacques Chirac,  Hollande ou encore  Macron et tartempion. Cela est essentiel à comprendre. Quant  à nos « rebelles » de la droite nationale (Marine Le Pen et clique) dont certains ne sont même pas de confession chrétienne et qui tous «ne veulent pas toucher» à la loi Taubira (mariage contre Dieu et nature) et à la loi Veil (meurtre des enfants-à-naître), peut-on sérieusement penser qu’ils changeraient l’orientation civilisationnelle à long terme de notre pays s’ils accédaient au pouvoir? Non, en réalité, ils parviendraient simplement à faire retomber un peu la pression et le mécontentement populaire, chose qui paradoxalement conforterait la dictature culturelle qu’ils font semblant de combattre.

Enfin, cette dramatisation des élections américaines, comme si l’avenir du monde en dépendait (alors que le monde, dans ce qu’il a d’essentiel, c’est-à-dire l’éthique et la norme, ne cesse d’être depuis deux cents ans sous la botte maçonnique), n’est une diversion nécessaire et même vitale pour le système qui ainsi parvient régulièrement à faire croire aux peuples à la possibilité d’un choix qui en réalité n’existe pas.

Jean-Pierre Aussant

lundi 4 novembre 2024

LICENCIEMENTS

 

LA FEMME EST UN HOMME

 Et "BOOM"......

Un nouveau rebondissement choquant est survenu dans l'affaire de la boxeuse algérienne Imane Khelif, après qu'un journaliste français a eu accès à un rapport médical accablant révélant que Khelif avait des « testicules ». Cette nouvelle survient quelques mois après que Khelif a remporté une médaille d'or en boxe féminine aux Jeux olympiques de Paris.

Le rapport a été rédigé en juin 2023 grâce à une collaboration entre l'hôpital du Kremlin-Bicêtre à Paris, en France, et l'hôpital Mohamed Lamine Debaghine à Alger, en Algérie. Rédigé par les experts endocrinologues Soumaya Fedala et Jacques Young, le rapport révèle que Khelif est touché par un déficit en 5-alpha réductase , un trouble du développement sexuel qui ne se rencontre que chez les mâles biologiques.

https://reduxx.info/algerian-boxer-imane-khelif-has-xy-chromosomes-and-testicles-french-algerian-medical-report-admits/

ENSAUVAGEMENT


 

DE FAIT

 

L'ÉTAT DILAPIDE 155 MILLIARDS ET POUTINE FRAPPE GOOGLE AVEC UNE AMENDE RECORD

TOURNURE

 Quand une partie de l'amérique n'a plus aucune confiance envers l'état fédérale.

Le véritable objectif de la FEMA : supprimer les Américains et empêcher l’organisation civile

L’Agence fédérale de gestion des urgences (FEMA) a été créée le1er avril 1979 sous l’administration de Jimmy Carter, au plus fort d’une crise stagflationniste de près de dix ans et de la crise pétrolière iranienne. En vertu du décret 12127, son objectif déclaré était de centraliser tous les efforts liés aux catastrophes au sein d’une seule entité de haut niveau. Plus précisément, la FEMA a mis fin à l’Agence de défense civile, plus localisée, qui se concentrait sur les interventions d’urgence au niveau local, et a fédéré toute la coordination des catastrophes sous un système unique de haut en bas contrôlé par le Bureau ovale.

La FEMA a finalement été placée sous la responsabilité du ministère de la sécurité intérieure, ce qui a renforcé la centralisation. Selon le gouvernement, la raison d’être de la FEMA est d’aider les Américains pendant et après une catastrophe nationale, qu’il s’agisse d’un tremblement de terre, d’un ouragan ou d’une attaque terroriste.

Cela dit, il convient également de noter que la FEMA a été officiellement créée le jour du poisson d’avril.

La véritable raison d’être de la FEMA a longtemps été occultée, mais certaines vérités troublantes ont été révélées par le passé. La déclassification d’un programme appelé Rex 84 (lié à l’opération Garden Plot) a révélé que la FEMA travaillait directement avec le ministère de la défense sur une stratégie hypothétique visant à rassembler et à détenir un grand nombre de civils considérés comme une « menace pour la sécurité nationale ». En d’autres termes, la FEMA devait servir d’outil pour aider à réprimer les troubles civils, mais elle n’était pas nécessairement conçue pour aider les Américains en cas de besoin.

C’est probablement l’intention qui a toujours présidé à la création de la FEMA, mais George H.W. Bush et Oliver North sont cités comme les hommes qui ont véritablement militarisé la FEMA au début des années 1980. L’objectif d’établir un mécanisme de contrôle de la dissidence politique intérieure et de suspendre les libertés constitutionnelles a été révélé peu de temps après la création de la FEMA. Oliver North était visiblement furieux lorsque le sujet a été abordé lors d’une audition au Congrès pendant le scandale Iran/Contra.

Il convient de mentionner que les documents REX 84 ne mentionnent pas la FEMA en tant qu’agence principale chargée de la réponse aux troubles civils. C’est de là que viennent généralement les accusations de « théorie du complot » : la FEMA n’est pas l’agence toute désignée chargée de verrouiller la rébellion américaine. En fait, le rôle de la FEMA est étrangement ambigu et n’est pas clairement défini. Tout ce que l’on sait, c’est qu’elle est effectivement un élément de l’opération Garden Plot et qu’elle a participé aux exercices REX.

Il est indéniable que le secret qui entoure les programmes de perturbation civile est pernicieux et suggère qu’il se passe bien plus de choses que notre propre gouvernement ne veut l’admettre. Pour découvrir les véritables intentions de la FEMA, il suffit d’examiner son comportement.

Le récent désastre de l’ouragan Hélène et la gestion de la réponse de la FEMA sur la côte Est font écho aux crimes commis par l’agence après l’ouragan Katrina à la Nouvelle-Orléans en 2005. Leur « aide » d’urgence sert à dissimuler les efforts déployés pour empêcher les communautés de s’entraider et les fournitures financées par des fonds civils extérieurs d’atteindre les habitants dans le besoin.

Pendant Katrina, les habitants désespérés ont été traités comme des prisonniers plutôt que comme des citoyens, les armes à feu ont été confisquées dans de nombreuses régions et certaines personnes ont été abattues parce qu’elles tentaient de quitter les quartiers verrouillés. (Pour l’anecdote, c’est la raison pour laquelle vous ne devriez JAMAIS laisser quelqu’un confisquer vos armes à feu, surtout si ces personnes sont envoyées par le gouvernement).

CNN a rapporté en 2008 que la FEMA avait confisqué au moins 85 millions de dollars de biens donnés et les avait empêchés de parvenir aux victimes de Katrina. Il s’agissait notamment de vêtements, de literie, de nourriture et de fournitures médicales. Elle a stocké ces produits pendant des années et les a ensuite DONNÉS bien après la fin de l’ouragan Katrina. La FEMA a prétendu que les fournitures étaient « en excès par rapport à leurs besoins ». Ce rapport et tous les articles qui s’y rapportent semblent avoir disparu des archives de CNN.

Nous venons d’assister à une répétition de ce comportement de la part de la FEMA et des agences affiliées qu’elle supervise. Nous avons vu les services médicaux d’urgence locaux se faire conseiller d’empêcher les civils d’aider leurs communautés. Les approvisionnements ont de nouveau été bloqués, les personnes possédant des drones se sont vu dire de ne pas aider à trouver des survivants, les personnes possédant des hélicoptères ont été menacées pour avoir aidé à sauver des survivants et peu d’aide est parvenue aux victimes d’Hélène pendant des semaines. La société Starlink d’Elon Musk a même été empêchée de fournir des services Internet par satellite aux régions touchées jusqu’à ce que l’histoire devienne nationale et que le ministère des transports soit contraint de s’attaquer au problème.

C’est à nouveau Katrina, et la FEMA semble toujours avoir des excuses.

Mais pourquoi ? On pourrait penser qu’à quelques semaines des élections, Biden et Harris sauteraient sur l’occasion de paraître compétents et utiles. Au lieu de cela, ils n’ont rien fait d’autre que d’offrir un chèque de secours de 750 dollars aux survivants (ce qui pourrait les aider à survivre pendant une semaine), puis d’orienter les gens vers des programmes fédéraux dont il faut attendre de nombreux mois avant de pouvoir en bénéficier.

Je soutiens que tout cela est délibéré. La FEMA et le gouvernement fédéral dans son ensemble continuent d’utiliser des protocoles semblables à ceux de l’opération « Garden Plot » avec deux objectifs en tête…

Premièrement, ils essaient d’acclimater la population à l’idée que les civils ne peuvent pas s’aider eux-mêmes et qu’ils ne doivent rien faire. Ils y parviennent en interférant constamment avec les efforts des civils et en perturbant les dons. Si les civils travaillent de leur propre chef pour sauver les communautés américaines des catastrophes, ils pourraient un jour se rendre compte qu’ils n’ont pas besoin du gouvernement fédéral pour quoi que ce soit. L’establishment a BESOIN que les gens croient qu’ils ne peuvent pas survivre sans l’aide et la protection du gouvernement. Heureusement, au moins dans la foulée d’Hélène, il semble que de nombreuses communautés travaillent de leur propre chef pour remédier à la situation.

Si les civils commencent à faire les choses par eux-mêmes, la machine de l’establishment devient obsolète.

Deuxièmement, je soupçonne la FEMA de tâter le terrain pour voir jusqu’où elle peut aller. Katrina a été un bêta test clair pour la loi martiale déguisée en réponse d’urgence. Katrina a été l’occasion de réaliser Garden Plot et Rex-84. Ils veulent voir ce que les Américains sont prêts à supporter. Hélène est une nouvelle occasion pour ces agences d’appliquer un contrôle manifeste et de voir si les Américains se conformeront ou se rebelleront.

Si la FEMA est vraiment sincère dans ses efforts pour aider les Américains, elle n’agit certainement pas comme telle. Les critiques autour d’Hélène s’intensifient et l’attitude indignée de la FEMA face à ses propres échecs est inacceptable. Elle devrait être punie pour avoir manqué à ses devoirs. En supposant qu’ils échouent réellement.

Peut-être considèrent-ils la tragédie de l’inaction gouvernementale autour d’Hélène comme un succès ? Ce qu’il faut retenir, c’est qu’en cas de catastrophe, il ne suffit pas de compter sur la FEMA comme source d’aide. C’est évident. Mais vous devrez également envisager la possibilité que l’agence travaille directement contre vous et vos voisins si vous essayez de vous aider vous-mêmes.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone