Ça risque en effet d'être une confrontation inévitable. D'un, parce que maintenant qu'il y a un état d'urgence pour 3 mois, le préfet de Paris n'osera pas faire exception au risque de voir son fauteuil éjectable activé par un premier ministre qui va tous faire pour interdire TOUTES manifestations contre l'intérêt de l'état et de sa politique. Et de deux, la détermination de ces groupes va devoir se convaincre qu'ils vont devoir en découdre avec l'autorité.
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