On peu y croire ou pas, mais la capacité médiatique a caché volontairement des faits est flagrante. Non seulement en Europe, en France, comme aux USA, aucun médias dit "meanstream" ont relayé ce qui vient de se passer à Washington. Une preuve de plus, que le système financier a bel est bien intérêt a renforcé son hégémonie sur les pouvoirs politiques, afin de pondre des lois qui enfermeront dans un esclavage absolue les peuples. Et plus particulièrement le peuple américain, qui ne sait toujours pas que le CISA, ce protocole de sécurité sur la transparences et la récoltes de données dans le cadre de la cybersécurité, a été non seulement reconduit, mais renforcé.
En effet, depuis 2004, dans le cadre du Patriot Act, des conditions législatives avaient été établies afin de collecter des données, non seulement aux USA mais également dans d'autres pays étrangers. A titre d'exemple, le bras de fer qui eut lieu entre les USA et la Suisse pour que ce dernier soit obliger de fournir aux agences américaines concernées, des données bancaires dans le cadre de sa croisade anti Al Quaida. Un bras de fer dans lequel la Suisse a été obliger de céder, par la force qu'a les USA de s'être doté d'outils de renseignements qui ne font plus dans la dentelles. A titre de preuve, les révélations d'Edward Snowden sur les potentiels de surveillance et de récolte de données de la NSA, qui eut même par collaborations d'autres agences de renseignements européennes, la possibilité d'écouté des dirigeants, qui, après les révélations, ont fait preuve d'une grande largesse d'esprit pour ne rien faire......(exemple d'une des dernières révélations concernant Facebook) Un comportement qui en dit long sur la main mise de Washington sur les pouvoirs politiques européens qui, s'ils ne suivent pas les ordres, peuvent s'attendre a ce que des scandales soient volontairement laisser en fuite dans la presse, afin de briser leurs carrières.
Mais dans cette prise de pouvoir, il y eu des résistances. Des organisations, supporter par des grosses multinationales plus particulièrement liées aux mondes de l'internet, se sont opposé aux institutions américaines, faisant valoir non seulement l'aspect constitutionnel, mais aussi les récents déboires qu'on subit les agences de renseignements occidentales, plus particulièrement la NSA. Du fait que les révélations de Snowden ont interpellé des sénateurs, qui ont oeuvré a vérifier l'authenticité de ces informations, qui au final, se sont avérer exactes, du fait que la NSA n'a absolument pas nié les faits. Mais d'administration américaine a jouer des coudes pour faire valoir l'acte de Snowden comme une traîtrise et de ce fait, focaliser l'attention médiatique sur ce traître a la nation, qui de part ses actes, menace aussi la sécurité du peuple américain. Mais cela n'a pas suffit a dissuadé des élus américains de demander des comptes à Washington. Du coup, le CISA fut remis en question, et l'administration Obama se plia au sentiment ambiant que la NSA avait sans doute été trop loin dans ses prérogatives. Preuve en est, un rapport récent, qui mit en évidence que, sur la totalité des informations récoltées, la proportion de celles qui ont permis de cerner des menaces, était ridicule par rapport aux tonnes d'informations récoltés, parfois même sans liens avec la lutte contre le terrorisme. Car non comptant de récolté des données bancaires d'un peu partout à travers le monde, ce furent aussi des données privées, non seulement sur des dignitaires, des personnalités de haut vol, comme sur des citoyens lambda, vous, moi. Ce qui évidemment a dérangé pas mal de monde.
Mais voilas, les événements récents concernant l'Etat Islamique, les relations tendues avec la Chine et la Russie, et les attentats en France, ont permis de dissuader la maison blanche de, non seulement faire volte face sur son orientation a remettre en question le Cisa, mais également promouvoir non seulement son renouvellement, voir, son renforcement.
C'est le site de mise en alerte Wired qui révélé le pot aux roses, insistant sur le fait que des sénateurs se sont opposés violemment a cette loi, sans avoir ni soutiens, ni échos de leurs homologues lors du passage au vote.
"Dans une session de fin de soirée du Congrès, le président de la Chambre, Paul Ryan a annoncé une nouvelle version du projet de loi «omnibus», un morceau massif de la législation qui bénéficie d'un financement du gouvernement fédéral relativement massif. Elle comprend maintenant une version amélioré de CISA. CISA, avec le projet de loi omnibus, réduira encore plus les chances de débat sur ses dispositions en matière de surveillance de l'environnement, ou d'un droit de veto de la Maison Blanche. Et la dernière version va encore plus loin dans les autres branche de protections des renseignements personnels, que les défenseurs de la vie privée avaient combattu dans la version du projet de loi adopté par le Sénat."
C'est donc officiellement dans un silence absolue que les USA viennent de réitéré et relancer leurs outils de surveillance, voir même élargis, pour pouvoir continuer a collecté des données de toutes formes, sans que personnes ne puissent maintenant s'y opposé, pas même les multinationales qui vont sans doute être mis au pas. Pour preuve, actuellement et certainement à l'avenir, des attaques en règles contre s des grandes enseignes qui sont soupçonnées de fraudes et d'évasions fiscales, dont personne n'a bizarrement la curiosité de se poser la question, "d'ou viennent les informations".
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire