Cela fait depuis 2008 que les matières premières sont les dernières valeurs sur lesquelles ont peu encore placé de l'investissement. Même si les rendements sont limité, du fait qu'on ne peu tous naturellement pas faire monté les prix sans risqué à un moment des révolutions partout dans le monde. Mais là, çà commence a être évident que certains sont de plus en plus démangé par jouer la loi du marché, en cas de raréfaction, du a des conditions climatiques qui font perdre des ressources d'offres, par rapport à la demande. Sauf que le problème, c'est qu'a force de "sur produire" on ne peu pas justifier l'augmentation sur le simple argument du perte de production. Alors on augmente, progressivement, en parallèle de l'ouvrage de la nature a détruire des récoltes, et de l'autre, tuer des pans entiers d'agriculteurs dans certaines régions du globe afin de maintenir des prix qui justifient de conservé les niveaux du marché, et la confiance de l'investisseurs.
Rappel que la plus grosse part de marché sur les matières premières agricoles était détenu par la JP Morgan, sous la direction de Blythe Masters, avant que la JP Morgan ne soit en difficulté et finalement vendre son département a une filiale de Goldman Sachs, et Blythe remercié.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire