Entre les licenciés, les suicides, les condamnés, sans parlé de la ville d'Amiens qui a aussi ressentis la fermeture du site, bilan désastreux d'une crise qui soit disant devait être traité, mais qui finalement a été lâcher. Mais dans l'histoire, le pire, c'est que la leçon n'a pas été apprise par les français qui pensent encore à l'interventionnisme d'état, qui va les sauvés de ce que bon nombre d'entreprises ont déjà subit.
http://www.humanite.fr/goodyear-le-vrai-bilan-dune-fermeture-1-143-licencies-12-deces-dont-3-suicides-596638
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