dimanche 1 mai 2016

ASSANGE, PAS TENDRE

Julian Assange n'est pas tendre avec la France. Selon lui, les français semblent devenu des moutons a force de ne pas réagir à l'enfoncement du pays dans une servitude de plus en plus évidente a l'empire, comprenez, Washington et les sbires de l'ultra capitalisme. Depuis Sarkozy, ce qui faisait l'exception de la France a finit par s'amoindrir petit a petit. A tels point qu'on y voit bientôt pointé le souhait des américains de nous voir quitter le conseil de sécurité de l'ONU, du fait qu'ils n'ont jamais digérer le refus de la France de suivre la croisade de Bush en Irak. Depuis, ces élus de la république au plus hautes fonctions de l'état, n'ont eu de cesse que de casser nos protections, jusqu'a nous réintégré à l'OTAN, que DeGaulle avait légitimement quitter pour donner a la France sa souveraineté totale envers l'hégémonie américaine en matière de géopolitique. Si bien qu'aujourd'hui, nos forces de dissuasion vont être intégré à l'OTAN, n'offrant à la France plus aucune souveraineté militaire, jusque sur son territoire ou les américains vont pouvoir se réinstaller.
Mais évidemment, pendant qu'on focalise l'opinion public sur les migrants, les Nuits Debouts, et la claque de Joe Star, nos élus, nos dirigeants continuent de réduire la France a l'état de sous état, asservit indirectement aux américains, qui vont certainement attaqué en force très prochainement du fait que des politiciens français commencent a s'opposer au TAFTA et au TTIP, ainsi qu'a la politique téléguidé de Bruxelles, dont la tournée des popottes d'Obama n'était pas qu'une simple visite de courtoisie.
Rappel que lorsqu'on parle des américains, cela sous entend l'état profond de Washington, celui non élu, souvent lié et financé par les multinationales et la finances, qui depuis 40 ans a aussi façonné l'amérique d'aujourd'hui, tant sur le plan sociale que politique, ou le fossé se creuse de plus en plus dans la classe moyenne, dont le destin est de s'appauvrir, à défaut de s'enrichir sur le dos des autres.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire