Montré du doigt est une chose. Le prouvé en est une autre. Et a force de martelé que la Russie est derrière les piratages qui ont influencé l'élection américaine (ce qui en réalité n'est pas vrai puisque selon beaucoup d'experts, c'est plus les mensonges d'Hillary et la remise en question du FBI en fin de course qui ont été en réalité déterminant), certains médias et politiciens américains réclament maintenant les preuves. Sauf que là, çà coince ! ! ! ! !
Le sénateur Lindsey Graham a promis à Jim Sciutto sur CNN lors de l'émission " The Situation Room " mardi que les législateurs devraient tenir des audiences sur la question, lors de la réouverture des sessions du Congrès (actuellement en vacances de fin d'année) en Janvier. Sauf qu'Obama ne fait que promettre un dossier complet, qui se fait attendre. D'autant plus que la crédibilité même des démocrates est en jeu, tant les américains attendent d'avoir des "faits" plutot que des "dires". Ce qui, consciemment, est actuellement un enjeux capitale dans les sphères médiatiques qui peine a maintenir le propos, auprès d'une opinion américaine qui tente a voir si encore une fois, l'administration Obama n'aurait pas surestimé ses positions et son administration a "prouvé" plutot qu'a "accusé à tord". D'autant plus que le nombre de jours se réduit peu à peu avant la fin de mandat d'Obama et de ce fait, des engagements envers le parlement.
http://www.zerohedge.com/news/2016-12-29/obama-under-intense-pressure-release-evidence-proving-russians-hacked-election
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