La ministre du travail a son expérience.
"Muriel Pénicaud a touché la somme de 1.13 millions d'euros de stock-options à l'époque où elle était DRH chez Danone."
Bien sûr, c'était avant ! Peut on condamné une personne d'avoir tiré des bénéfices dans un système qui offre ce genre d'opportunité. Mais moralement ? Peut elle être en considération des aspects sociaux et des droits des salariés, quant on a essentiellement été de l'autre coté de la barrière. C'est comme demander a un prêtre catholique, de devenir conseiller en avortement... ethniquement, çà ne peu pas coller.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire