On veut vous les imposés, pour trois raisons. Un, parce qu'ils permettent a terme de faire du dumping sociale, lorsqu'ils seront intégré au marché du travail (même si on vous dit qu'a terme ils rentreront chez eux, sachez que ceux qui sont arrivé l'année dernière et qui ont été régularisé, font valoir le droit au regroupement familiale) dans certains secteurs. Deux, parce que parmi eux, certains sont sources de criminalités et de délinquances qui alimentent le marché de la sécurité (on devrait se penché sur les résultats du secteur depuis 2015 pour constater que c'est un secteur porteur, et très profitable, surtout quand des promoteurs commencent a développer des lotissements fermés, ces quartiers résidentiels clôturés et sécurisés, qui vont être forcément l'avenir de l'immobilier de la maison individuelle). Et trois, parce qu'ils contribuent aussi au métissage culturel, dans le cadre de destructions des sociétés européenne, dilué dans des valeurs et traditions contradictoires aux leurs. De quoi généré le conflit civilisationnel voulu dans des sociétés ou l'on ne veut pas voir les peuples s'unir contre leurs maîtres et leurs ultras libéralismes asservissants. On pourrait même ajouter une quatrième raison, qui consiste a dire que c'est une façon d'augmenté la population fiscale de l'Europe, et diluer toujours plus de dette, mais cet argument ne tiens pas dans la mesure ou cela ne concerne qu'un quart de ces migrants qualifiés, quand ceci préfèrent rejoindre des pays anglos saxons pour des raisons de langues et de rémunérations. Du coup, on se retrouve avec des populations qui fiscalement sont exonérés. Preuve en est, l'Allemagne en est réduit a créer des mini jobs a 80 centimes de l'heure, sous le prétexte que cela reste dans des secteurs liés a l'accueil, l'aide, l'enseignement solidaire, dans des cadres associatifs, sachant que derrière l'extension a des secteurs privés n'est pas exclus.
http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/migrants/20170727.OBS2644/macron-sur-les-migrants-je-ne-veux-plus-personne-dans-les-rues-dans-les-bois.html
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