- Terroriser la population avec le COVID-19 pour bloquer la réouverture de l’économie et empêcher Trump de faire campagne en public, tout en protégeant Biden de ses gaffes.
- Intimider les partisans de Trump, physiquement (dans la rue) ou financièrement (annonceurs publicitaires). le meeting du 20 juin, à Tulsa (Oklahoma) a été précédé de manifestations antifas, qui probablement ont eu un effet aggravant sur la faible participation du meeting.
- Twitter et les médias sociaux ont mis le turbo dans la censure.
- Disloquer le début d’adhésion afro-américaine que Trump commençait à coaguler; la communauté noire est sujette à un réflexe ancien. Elle semble décrocher.
- Lâcher les bouledogues néoconservateurs pour faire fuir la part de la droite « modérée » qui votait pour Trump....
Tous semble aller dans le sens d'une opération d'envergure prochaine, pour renforcer la candidature de Biden, qui bat de l'aile. Dans les rumeurs, une coalition autour d'Obama, pour supporter et structurer l'attaque contre Trump. On peut le dire, aujourd'hui Trump, c'est "seul contre tous". Mais est ce que cela ne va pas en faire un martyre aux yeux d'une amérique conservatrice qui, sans particulièrement apprécier Trump, est en train de voir un "coup d'état politique" contre les fondamentaux même de la démocratie américaine. Et de ce fait, renforcer les rangs de Trump.
Oui, l'Amérique n'a jamais été autant diviser au point qu'envisager une nouvelle guerre civile, ou une secession d'état ultra conservateur, n'est plus du domaine du fantasque.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire