Si dans l'autorité et dans les milieux clairement liés aux intérêts des labo pharmaceutiques, il y a encore une soutenance à prendre le rapport Lancet comme référence, le fameux rapport lui, se fait attaquer de tous les côtés. Entre des membres de son personnel et de ses filiales ou l'on y trouve des personnages plutôt anodins et surprenants (référence a une conseillère en communication qui se trouve être le sosie parfait d'un modèle de charme), des incohérences de données, des orientations thérapeutiques incompréhensibles au vu des acquis scientifiques sur la chloroquine,... bref, une étude qui au départ nous a été présenté comme "sérieuse" mais qui s'avère prendre l'eau de toute part.
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