Les grands acteurs de l'immobilier locatif de la ville de New York sont en train de pleurer, font pression sur les acteurs économiques pour "obliger" les entreprises à faire revenir leurs salariés dans les bureaux. Car depuis quelques mois, le marché est en train de se transformer en peur, du fait que des entreprises, résilient leurs bails ou attendent la fin de celui ci, sans le renouveler.
Désertion en vue non seulement des espaces de bureaux, mais aussi sur le marché locatif du particulier, et avec toutes les conséquences en "effets dominos" que la "la grosse pomme" est en train de voir émerger. Car en effet, moins de populations employés dans la ville, moins de besoins de logements, de transports, de restaurants, de bars.... Une études a révélée que la demande en logements locatifs dans la pointe nord du Rhodes Island (l'état à l'Est de New York) était en train d'exploser, très souvent des personnes qui sont désormais en télétravail.
Clairement, si pour le moment la valeur immobilière de New York reste stable et l'un des endroits les plus cher du monde, il n'est pas dit qu'un désertification des entreprises n'ait pas à terme, un impact sur la fiscalité de la ville, directement ou indirectement. Car la petite et grande classe moyenne n'a pas les moyens de vivre ne serait ce même à moins d'une heures de Manhattan et de ce fait, tous les employés de bureaux qui sont aujourd'hui au télétravail, savent que la conjoncture économique post Covid, ne les fera certainement pas revenir dans un bureau d'ici l'année prochaine.
NDL : Quasiment tous les salariés des entreprises qui ont été mit au télétravail à travers le pays, savent déjà qu'on ne les rappellera pas aux bureaux avant la fin de l'année. Il y a fort à parier que c'est une stratégie pour les entreprises qui vont faire leurs comptes au bilan pour savoir si finalement, le télétravail ne sera pas appliqué définitivement, à terme.
https://www.zerohedge.com/markets/nyc-landlords-wage-war-against-remote-working
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire