La Californie, et aujourd'hui le Texas, ou comment les éléments climatiques rappellent que l'homme, quelques soient ses technologies, ses développements, ses urbanismes, sera toujours tributaire des déchaînement de la nature. Mais dans une Amérique hypersensibilisé, hyperconsumériste, l'incompréhension s'ajoute à la colère d'usagers, de consommateurs, de contribuables, de voir leurs vies modernes perturbées par des événements climatiques. La faute au réchauffement, au changement ? En partie. Car si les intempéries sont plus courts dans le temps, mais plus rigoureux et violents, les infrastructures développées selon des normes, deviennent évidemment obsolètes face à la violence des éléments. Mais autrement, ce sont aussi les manques de certaines municipalités, collectivités, administrations, états, a avoir pris au sérieux les risques de laisser des compagnies privées, avoir les monopoles, l'hégémonies dans un libre marché ou l'on cherche le profit, au détriment de la qualité, de la responsabilité. Les incendies en Californie ont soulevé se lièvre de maintenances approximatives sur des relais, transformateurs, ou des lignes électriques qui finalement auront coûté la presque quasi faillite d'une importante compagnie californienne qui a voulu faire des économies de bout de chandelles et de fait, a été tenue pour responsable de départ d'incendies parfois mortels, sans parler des millions de dollars de dégâts qui même encore aujourd'hui, font l'objet de guerre juridique entre assurances, collectivités locales, et compagnies électriques, pour savoir qui va devoir payer la facture.
Mais au delà de l'irresponsable ou du manque de maturité des élus, comme c'est le cas en Caroline du Nord ou personne n'ira à l'encontre de propriétaires de maisons en bord de plage, de zones inondables pour interdire de continuer a construire sur le littorale, , c'est l'urbanisme et le libéralisme qui sont à revoir. Mais çà, on touche un totem qu'il faudra encore des milliers et des millers de morts, des millions et des millions de dollars de pertes, pour qu'enfin des américains comprennent le fond du problème. Car bien sûr, certains s'empresseront de mettre ça sur le dos du réchauffement climatique, pour vendre plus de taxes, légitimer des augmentations de tarifs, la réduction de services et de prestations parce que trop émettrice de CO2, et on laissera le consommateur a son propre sort, coincer entre l'impossible respect de ses droits par des compagnies qui arrosent en dessous de table, et la prochaine catastrophe climatique qui leur fera tout perdre, comme ces habitants prés de Houston, ou de la Nouvelle Orléans, qui ont tous perdus parce que n'ayant pas le moyen de se payer une assurance, ou parce que leur assurance ne les couvrait pas pour des ouragans ou des inondations.
https://www.theguardian.com/environment/2021/feb/19/power-outages-texas-california-climate-crisis?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire