La ministre de l’Enseignement supérieur a clairement mit les pieds dans le plat. Car au delà de l'islamo gauchisme, c'est en réalité une façon d'attaquer les mouvances politiques de gauche dans les universités, qui depuis des décennies, se sont emparé du pouvoir idéologique universitaire, allant même jusqu'a une propagande assumée, pour milité contre tout contre pouvoir, encore plus si ce sont des idéologies de droite ou d'extrême droite. S'attaquer à l'islamo gauchisme dans les universités, c'est clairement déclencher une guerre idéologique qui va au delà de l'islam radical et de sa propagande soutenue par une forme de gauche clientéliste.
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