Selon une enquête publiée dimanche par un consortium de 17 médias internationaux, le logiciel Pegasus, élaboré par l’entreprise israélienne NSO Group, aurait permis d’espionner les numéros d’au moins 180 journalistes, 600 hommes et 65 chefs d’entreprise.
La présidente de l'Union Européenne considère que "si l'affaire est évérée" (on laisse quand même une option d'oublier l'affaire entre temps) ce serait inacceptable...... et alors ? Qu'est ce que l'Union pourra faire le cas échéant ? Rien ! Comme d'hab !
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