Macron demande pardon aux Harkis. Sauf que cette mise en scène arrive trop tard, car les principaux concernés se font de plus en plus rare. En revanche, les descendants, eux, vont ils avoir plus de reconnaissance ? Pas certain. On à l'impression d'une repentance tardive, comme celle qu'on fera dans dix ans, pour les victimes du glyphosate qu'on a pourtant remis en service "temporairement" pour des histoires de business !
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