3 ans après le scandale qui a secoué l'Elysée, le procès de l'ancien chargé de mission Alexandre Benalla, jugé pour les violences du 1er mai 2018 et pour l'utilisation frauduleuse de passeports diplomatiques, s'est ouvert en sa présence cet après-midi.
Là aussi, comme pour Buzyn, la justice ne sera pas rendu. Le bonhomme en sait trop. Il sera condamner à une petite peine symbolique, un avertissement, un rappel à la loi !
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