C'est exactement le discours d'un gouvernement qui n'admet pas qu'elle est en face de gens du peuple qui conteste son autorité.
Gabriel Attal dénonce une « minorité récalcitrante » et « violente » qui prend l’île « en otage ». Le porte-parole du gouvernement a affirmé que la mobilisation des forces de l’ordre se poursuivrait pour protéger les Guadeloupéens.
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