Le Canard Enchainé est aujourd'hui l'un des rares journaux qui reste encore libre de balancer ce qu'il veut (non sans aussi être en accord de ne pas toucher certains sujets, au risque de s'attirer des foudres). Mais voilà, toutes les bonnes choses ont une fin.
Le journal vient d'être infiltré par "la bien pensance syndicale de gauche" pour mettre le brin dans le journal.
Au « Canard enchaîné », une cellule syndicale jette un pavé dans la mare. La moitié des journalistes en CDI ont pris leur carte au SNJ-CGT, au grand dam de leur direction, pour qui cela heurterait la culture d’indépendance de l’hebdomadaire satirique.
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