Crise qui ne dit pas son nom dans l'amérique de Biden. Le choix de l'ex vice président d'Obama pour rassembler un vote anti-Trump n'était pas le bon choix. Kamala Harris commence à couler elle aussi avec le Titanic Biden. Au point que le scénario de la succession assurée de Biden par Harris, vient de s'effondré à peine deux ans après l'élection.
Crise identitaire d'une amérique fracturée par ses propres excès.
Et comme si cela ne suffisait pas, voilà que désormais c'est la cour suprême qui met son grain de sel dans un pays qui n'en est pas un, car en réalité, un conglomérat de 50 états, qui malgré la sacro sainte "union", pourraient bien demain provoquer une nouvelle secession par trop de divergences d'opinions et de cultures, pour ne pas dire de conflits d'intêrets. Car sinon, pourquoi une partie de la grande classe moyenne commence à partir dans des états plus ou moins conservateurs, car trop ponctionner fiscalement pour payer les délires ultra libéraux et progressistes des états démocrates historiques, qui en réalité ne défendent pas le social et la classe populaire, sur laquelle ils reposaient très souvent leurs électorats.
La guerre en Ukraine, la relation extrêmement tendue avec la Russie et la Chine, la perte de terrain dans son empirisme de la région pacifique, sa discorde avec le monde arabe, son ton discordant avec Israël - Biden et son administration viennent encore de mettre le brin - et surtout, l'apparent sacrifice de l'Europe pour son profit, sont en train de montrer les signes apparents, d'un déclin américain.
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