Il ne fallait pas touché au patron du FSB, les services secrets russes. Le site d'information Russiagate vient d'en faire les frais.
"Le site d’information Russiangate a brutalement mis un terme à ses activités le 24 janvier 2018, au lendemain de la publication d’une enquête sur le chef des services secrets russes (FSB). Reporters sans frontières (RSF) condamne un nouveau coup porté au journalisme d’investigation en Russie."
NDL ; on se rend compte que la liberté de la presse est a double tranchant. Quand la censure tombe en Russie, c'est de la dictature. Quand elle tombe en France, c'est lutter contre les fakes news, et l'extrême droite conspirationniste..... Question de point de vu..... Car si l'on condamne la censure sous toutes ses formes, autant être honnête dans la pratique tant ailleurs que chez nous. Rappelons que la France détient le record de demandes de retraits de tweets et de post sur les réseaux sociaux. Certains diront que c'est la preuve que la justice et l'administration française sont efficaces contre la diffamation, le racisme, l'antisémitisme, et les complots. A ceci prêt que lorsqu'on en fait l'usage pour faire taire des médias ou des gens, ça sort du cadre. N'oublions pas que l'Union Européenne a bien tenté d'envoyer en prison des journalistes pour avoir révélé les combines financières de Bruxelles avec certaines multinationales et banques.
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