dimanche 20 mai 2018

COUCOU, LA VOILA !

On l'attendait lorsque l'affaire de la demande auprès de la FISA avait été révélé. Puis finalement, rien. Mais s'était sans compté sur le Trump, qui en réalité s'était gardé ce joker au cas ou. Et bien çà y est, il a sorti sa carte, et dés lundi, l'annonce sera officielle. Ce qui ne va pas manqué d'emmerder royalement les médias, qui ne savent pas encore comment ils vont tourné çà pour que les américains ne comprennent pas la subtilité de la situation. Et ne parlons pas des démocrates, qui eut, vont tous faire pour interféré dans l'affaire.... Mais au fait vous allez me dire "mais de quoi il parle ?" 

Vous vous souvenez que le département de la Justice américaine avait été obligé d'admettre qu'il avait bien eut une demande auprès de la FISA, le service qui valide les demandes de surveillances pour le comptes des agences de renseignements, sur les allégations de ce britannique concernant des liens avec les russes et la campagne de Trump. Mais on attendait que Trump se saisisse de l'occasion pour demander une enquête, afin de déterminé sur quelle base, et pour qui, cela avait été commandé. Les yeux se tournant évidemment vers la maison blanche et l'administration Obama. Mais du coup, il n'a rien réclamé. Mais voilas qu'on apprend que dés lundi, Trump dépose une demande d'enquête pour savoir qui et pourquoi, cette surveillance avait été commandé. Ce qui juridiquement risque de poser un gros gros souci, car cette enquête pourrait lever le voile sur une décision qui en réalité, n'avait rien à voir avec la sûreté nationale, mais bien une volonté politique de nuire à Donald Trump durant sa campagne. 

"Mise à jour: Quelques heures seulement après que le président Trump ait "demandé" que le DoJ enquête si le "FBI / DOJ infiltré ou surveillé la campagne Trump à des fins politiques" , Jonathan Swan d'Axios rapporte que la Justice a confirmé qu'une enquête a commencé. Sarah Isgur Flores du DoJ:

« Le ministère a demandé à l'inspecteur général d'élargir l'examen continu du processus de demande de la FISA pour déterminer s'il y avait des irrégularités ou des motivations politiques dans la façon dont le FBI menait son enquête de contre-espionnage des personnes soupçonnées d'être mêlées aux agents russes. Élection présidentielle 2016.

Comme toujours, l'inspecteur général consultera le procureur des États-Unis approprié s'il existe des preuves d'un comportement criminel potentiel. "

Le sous-procureur général a fait la déclaration suivante:

"Si quelqu'un a infiltré ou surveillé des participants à une campagne présidentielle à des fins inappropriées , nous devons le savoir et prendre les mesures appropriées. "

Les médias libéraux sont en pleine panique, en mode fusion, s'exclamant que Trump a "interféré" avec l'enquête.

Et le New York Times ... "... en ordonnant une nouvelle enquête, M. Trump est allé au-delà de sa tactique habituelle de suggérer des actes répréhensibles et des préjugés politiques de la part de ceux qui l'ont enquêté. pour faire son offre, un royaume extraordinaire où les anciens présidents ont hésité à marcher ...

Les experts juridiques ont dit qu'une telle intervention présidentielle avait peu de précédent, et pourrait forcer un conflit entre le président en exercice et son ministère de la Justice qui rappelle celui de Richard M. Nixon pendant le Watergate, quand une série de hauts fonctionnaires ont démissionné plutôt que de Nixon. ordre de licencier un procureur spécial qui l'enquête. "

"Je ne peux pas penser à un exemple précédent d'un président en exercice ordonnant au ministère de la Justice de mener une enquête comme celle-ci", a déclaré Stephen I. Vladeck, professeur à la faculté de droit de l'Université du Texas.

"C'est un peu plus qu'un effort transparent pour miner une enquête en cours."

Et The Deep State est furieux ... (ou inquiet, ils sont sur le point de se faire casser)"


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