Pour celle qui se dit défendre l'intégrité et l'égalité des femmes, dommage qu'elle n'applique pas dans ses jugements la notion de présumé innocent, tant qu'on a pas déterminé la véracité des accusations portées contre l'accusé. Alors qu'aux USA, on voit plané la haine plutôt que le combat contre le harcèlement sexuel avec intelligence et bon sens, au point de tomber dans les clichés, et prendre comme argent comptant des accusations qui, même devant une commission, ont un arrière goût de doutes absolues, nous avons en France une secrétaire d'état qui accuse, sans vraiment savoir, juste parce que pour elle, Kavanaugh est un juge, blanc, républicain, et proposer par Trump. Les deux étant indissociables d'un comportement étiqueté comme "harceleurs par défaut" sans même devoir apporter des preuves, des enquêtes solides, et non influencées par l'idéologie dominante du "me too", afin de confirmer les accusations tenues contres les deux hommes.
Je remarque souvent, qu'on entend des "on dit que" plutôt que des preuves et témoignages solides de réputations, pour confirmer les accusations qui sont tenues le plus souvent contre des gens qui, comme par hasard, font partis des mêmes bords politiques, idéologiques, ou religieux. Un pur hasard, sans doute...... !
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