Le socialisme latino américain en prend plein la poire. En effet, au vu des difficultés qui s'accumule dans ses pays qui pourtant étaient en voie de se redresser (surtout le Venezuella et l'Argentine), la crise de 2008 a redistribuer les cartes. Là ou certains ont pu se maintenir, d'autres sont en train de se voir pousser vers la sortie, non sans derrière sentir un petit souffle en provenance d'une grande capitale du continent nord américain. Kirchner, Maduro, Morales, autant de nom qui ont pourtant fait de la résistance a l'impérialisme américain, finissent par céder petit a petit du terrain. Cette fois ci, c'est la Bolivie, qui pourtant avait redresser la barre avec Morales, qui avait renationalisé et mit au pied du mur les empires privés qui s'étaient accaparé les richesses du pays, est en train de remettre en question le président sortant, qui n'a pas obtenu la réforme de la constitution pour permettre de briguer un 4ème mandat. De ce fait, Morales devra céder la place en 2020, sans trop savoir si sa politique va être maintenu, tant d'un coté, une certaine partie de la population a pu bénéficié de retombés économiques de sa politique, tant une autre partie fait la pression pour revenir a un peu plus de libéralisme.
Il faut savoir que la Bolivie est un des pays ou la criminalité est la plus élevé, du fait justement que pour tenter de déstabilisé le régime, un grand nombre de réseaux criminels sont plus ou moins aidés de l'extérieur.
http://www.bvoltaire.fr/breves/bolivie-evo-morales-admet-avoir-perdu-la-bataille-pour-sa-reelection,240921
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