La résistance s'organise.
Problème de constitutionnalité, Bob Ferguson, procureur général de l'état de Washington, a annoncé lundi qu'il allait déposé une plainte pour un procès fédéral contre le président Donald Trump, ainsi que certains hauts responsables administratifs et le ministère de la Sécurité intérieure. Le bureau du procureur général a dit que la plainte demande à la Cour de district des États Unis de déclarer les dispositions clés du décret de Trump, comme étant "anticonstitutionnels". Une action qui fait suite à la première décision d'un juge de Brooklyn, Ann Donnelly à émettre une ordonnance empêchant l'administration Trump de faire respecter l'ordre exécutif de restreindre certaines personnes de se rendre aux États-Unis. Depuis, 16 procureurs généraux des États ont appelé a une action contre la politique d'immigration de Trump comme étant "non-américaine et illégale."
Parmi eux, Bob Ferguson procureur général de l'état ed Washington, qui a déclaré que son état était le premier à poursuivre l'administration de Trump sur l'ordre exécutif décrié. Il demande au tribunal de tenir une audience dans les 14 jours. Les fonctionnaires ont annoncé qu'une copie de la plainte serait disponible sur le site Web du procureur général plus tard dans la journée. Attendez-vous à un flot supplémentaire d'actions d'autres états qui pourrait embourbé Washington et l'administration Trump. Vu la tournure inattendue des événements, il y a quelques instants Reuters a rapporté qu'au lieu d'être ordonnée par une autre AG, nul autre que Microsoft, allait coopéré avec le Bureau du procureur général de de l'état de Washington (non pas District of Columbia, ou se trouve la capitale mais bien l'état au nord ouest des USA), dans son procès pour arrêter l'ordre d'immigration Trump. Microsoft a indiqué qu'il fournirait des informations sur l'impact de l'ordre "afin d'être solidaire". "Et nous serons heureux de témoigner davantage si nécessaire", a déclaré dans un communiqué le porte parole de la firme, Pete Wootton.
Parmi eux, Bob Ferguson procureur général de l'état ed Washington, qui a déclaré que son état était le premier à poursuivre l'administration de Trump sur l'ordre exécutif décrié. Il demande au tribunal de tenir une audience dans les 14 jours. Les fonctionnaires ont annoncé qu'une copie de la plainte serait disponible sur le site Web du procureur général plus tard dans la journée. Attendez-vous à un flot supplémentaire d'actions d'autres états qui pourrait embourbé Washington et l'administration Trump. Vu la tournure inattendue des événements, il y a quelques instants Reuters a rapporté qu'au lieu d'être ordonnée par une autre AG, nul autre que Microsoft, allait coopéré avec le Bureau du procureur général de de l'état de Washington (non pas District of Columbia, ou se trouve la capitale mais bien l'état au nord ouest des USA), dans son procès pour arrêter l'ordre d'immigration Trump. Microsoft a indiqué qu'il fournirait des informations sur l'impact de l'ordre "afin d'être solidaire". "Et nous serons heureux de témoigner davantage si nécessaire", a déclaré dans un communiqué le porte parole de la firme, Pete Wootton.
On commence a prendre conscience de l'ampleur de l'affaire. Même si pour l'instant, il n'est pas dit que la justice américaine considère nul et irrecevable la plainte, il faudrait que d'autres procureurs généraux d'autres états suivent le mouvement. Mais déjà il y a un écueil car Bob Ferguson est pour l'instant tous seul a engagé une procédure claire nette et précise. On attend de voir ce qui va en découlé. Mais déjà on a un signe clair, envoyer pas seulement par l'état de Washington, mais aussi sans nul doute des états de la cote Ouest, clairement décidé a en découdre. Ce qui a terme, si Trump résiste et fait front, pourrait en effet avoir une conséquence grave pour l'intégrité de l'Union, car les indépendantistes californiens sont déjà à la porte du parlement de de Sacramento pour lancer une offensive pour un "calexit".
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