La situation économique mondiale est telle, que les banques, les assureurs, les fonds d'investissements, comme les gestionnaires de fonds de pensions, sont prêt a tous pour engendré des bénéfices, même si ceux ci ne comblent pas les pertes et trous des bilans, générés par une toxicité et une folie spéculative maladive, dont la plupart ne sont toujours pas soigné. Alors, pour engendré des bénéfices, tout est bon. Même ce qui politiquement, peu posé un problème. Alors il faut faire profil bas, être discret, avoir les bonnes relations, les bonnes influences, et le tour est jouer. Parfois, sa fuite, et Lafarge, par exemple, avec son affaire sur la négociation en Syrie avec l'état islamique, pour ne pas perdre des millions d'euros sur l'exploitations locales, a fait des remous. Mais c'est avant tous, du business. Et son alignement pour décroché le contrat sur le fameux mur de Trump, rajoute médiatiquement un soucis pour l'entreprise française, qui pourtant, n'a semble t-il plus rien a foutre de l'avis des français et de son gouvernement, des ses institutions, et de sa justice. Car si l'on sait lire entre les lignes, le patron de Lafarge a été clair : on fait du business, pas de la politique !
Alors que dire de ces banques, et assureur qui se sont mouillé dans l'aide au financement par des tiers, de colonies israéliennes sur des territoires occupés, voir même palestiniens. Certains y voient là un affront éhonté. Mais comme on le répétera jamais assez : c'est du business......
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