DIALOGUE DE SOURD

Quoiqu'on en dise, voici un exemple de dialogue de sourd, qui reflète une des plus grosse problématique de la France. D'un coté un candidat qui essaye d'expliquer, et de l'autre, des salariés qui exposent légitimement leurs problèmes, mais qui ne veulent pas comprendre la logique économique. Car en effet, pour les soulagés des contraintes de leurs métiers, il faudrait plus de personnel. Mais dés qu'on commence a parlé de "coûts", on sent bien que là, les oreilles se bouche, et on entend plus que l'intérêt individuel qui s'exprime. Car oui, c'est aussi çà la réalité. On peu trouvé légitime de présenté des situations difficiles, contraignantes, voir éprouvantes, mais la solution du "réduire les heures, plus de salaire, plus de personnel" est un dialogue qui n'est pas crédible, tant on ne veut pas prendre en compte aussi les aspects économiques, et que c'est avant tous par là qu'il faut commencer.
Et puis, dites, vous avez remarqué qu'on a quand même bien choisit ces aides soignantes, non ? Ou alors c'est la preuve qu'en France on a bien de la diversité dans l'entreprise.... pas vrai ? Ou çà à juste été organisé pour les caméras ?
Enfin, tous çà pour dire qu'avec tous le respect pour ces aides soignantes, et sans vouloir défendre Fillon, il faut quand même admettre qu'a un moment faudrait avoir un peu les pieds sur terre, et voir les choses de façon un peu plus globale, que juste ce limité a son petit environnement, et ce qu'on en retire en bénéfice, pour son intérêt personnel. Car a se genre de vision individualiste, on peu très vite redescendre de haut, de très haut.
J'attire votre attention sur la femme a qui Fillon répond que son désir, c'est simplement créer encore plus de dette. On voit bien que tous d'un coup, elle comprend ce que cela veut dire, mais qu'elle fait mine de ne pas comprendre en continuant sur son idée, sans prendre en considération ce paramètre pourtant essentiel, que plus de dette, c'est forcément plus de fiscalité a trouver.... et forcément plus d'économie a trouver. Et que du coup, c'est comme se mordre la queue.