L'amérique se scinde de plus en plus. Avec cette histoire de "genoux à terre" durant l'hymne nationale, ce sont les progressistes anti Trump qui profitent de la situation pour légitimer de faire ce que l'on veut, face a ceux qui, par patriotisme ou par respect, veulent qu'on marque un respect envers le symbole de la nation, assimilant même les vétérans pour appuyer leurs arguments. A vrai dire, c'est toute l’ambiguïté américaine qui s'exprime, ou tout est bon pour allumer Trump dans tous ce qu'il fait, allant même jusqu'a remettre en question la valeur même de la nation, histoire de provoqué justement l'amérique fière et patriote, amalgamé comme étant des pro Trump, si tenté qu'ils ne soient pas d'accord sur cette foire qui au départ, tiens d'un acte militant d'un joueur afro américain qui avait simplement exprimer son mécontentement en ne se levant pas sur l'hymne, en solidarité avec les mouvement "Black matter", contre les violences et brutalités policières envers la communauté noire américaine. Autant dire encore une fois, de la récupération idéologique, qui va jusqu'a remettre en question des fondamentaux de la culture américaine, selon si l'on a la fierté ou non de cette nation. Le problème, c'est que certains clubs de football (comme les Panthers de mon coin) préfèrent relativiser et ne pas rentrer dans les polémiques, contrairement a d'autres clubs qui se sont laisser entraîné dans la vague, au risque d'avoir derrière des pertes financières importantes du fait d'aller a contre courant de ce que pense une partie de leurs supporters. Mais autrement, ce sont maintenant des écoles et des universités qui commencent a remettre un peu de l'ordre, pour faire comprendre que le fondement même de la nation, c'est le respect de ses valeurs et de ses symboles. Et on a déjà un lycée qui a prévenu ; tout élève qui s'amuserait a mettre le genoux a terre durant l'hymne, lors des compétitions sportives, s'expose a des sanctions.
À Long Island, le diocèse de Rockville Centre, qui organise un système scolaire privé catholique, a déclaré que les étudiants de ses trois écoles secondaires pouvaient faire face à une «action disciplinaire sérieuse» s'ils s'agenouillaient pendant l'hymne avant les événements sportifs.
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