"Le CETA est bon pour la croissance, bon pour l'investissement, bon pour les emplois... les arguments de ceux qui ont négocié le CETA sont connus, débattus et remis en question par ses opposants qui espèrent encore pouvoir le faire abroger." Pour cela, une seule solution ! Sortir de l'Union.
En réalité, un accord bi latérale comme le CETA peu en effet être un bénéfice pour nos entreprises. Mais la réalité, c'est que ce sont les canadiens, et indirectement les américains, qui ont l'intention de débarquer, tout en demandant de modifier, nos propres marchés a leurs avantages. Allez vendre du fromage de chèvre artisanale ou de saucisson d'âne au Canada, vous allez voir que les canadiens ne changeront pas leurs règles d'hygiènes, tous comme c'était aussi l'écueil avec le TAFTA, ou l'on sentait bien que l'arnaque était que les américains ne feraient aucune concession sur leurs normes, bien au contraire. Ils voulaient nous imposer les leurs. Et le Canada va exactement faire la même chose en, petit à petit, faire en sorte d'exiger a Bruxelles d'obligé les pays membre d'harmonisé leurs normes aux leurs.
A titre d'exemple, dans le cadre du TAFTA, les américains avait prévu de demander a ce que soit cassé l'appellation "château" pour les vins, afin de pouvoir utilisé cette appellation pour leurs vins sur le marché français. Par contre, les groupes vinicoles français n'auraient eut aucune contre partie pour facilité l'exportation de leurs vins aux USA, du fait que si l'accord était signé par Washington, les états de l'unions n'étaient pas obligé d'en respecté les principes, et de ce fait, un état comme la Californie, ou le vin français est prisé, aurait fait blocage pour protégé ses propres vins locaux. Le CETA est a peu prêt sur le même principe. Si l'on vous dit que c'est un chance économique, dans la théorie oui. Mais dans la pratique, les canadiens ont mit des gardes fous pour se protéger de nos possibles développement vers leurs marchés, mais par contre ont fait en sorte d'imposer un open bar en Europe, surtout pour beaucoup de ses partenaires économiques américains, par le biais de leurs filiales canadiennes.
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