mercredi 1 juillet 2020

RELENT

Alors que les autorités commençaient a lancer l'espoir d'un retour à la normale, voilas que les USA sont confronté a une deuxième vague.... mais interdiction d'appeler cela, une deuxième vague.
Mais vu que l'Europe réouvre ses frontières, les USA sont encore en quarantaine sur ce sujet, vu le relent de COVID19 dans le pays.

  • New York qui avait vu une chute de l'épidémie, et qui s’apprêtait a réouvrir l'ensemble de ses acteurs économiques, vient d'annoncer une mauvaise nouvelle. Un retour de l'épidémie de façon local mais suffisant pour dissuader le gouverneur de suspendre la progressions de déconfinement.
  • L'Arizona rapporte un nouveau nombre record de cas. 5000 personnes sont hospitalisées en Arizona, bien que le taux d'augmentation de ce nombre semble ralentir, les cas augmentent depuis des semaines sans interruption
  • La Floride signale des cas quotidiens depuis 24 heures
  • Goldman Sachs annonce une estimation que 40% des États-Unis ont annulé leur réouverture économique ou les ont suspendus
  • Un scientifique d'Oxford met en garde contre un vaccin d'ici la fin de l'année, loin d'être garanti
  • Le titre du vaccin Pfizer fait monter l'avenir
  • Les États-Unis ont signalé 48 000 nouveaux cas hier
  • L'Australie confine 300 000 personnes à Victoria (l’hémisphère sud est en hivers) 
  • Le président brésilien Bolsonaro a imposé une interdiction de voyager aux étrangers entrant dans le pays alors que le nombre de morts dans le pays, le deuxième pire au monde après les États-Unis
  • Tokyo a confirmé mercredi 67 nouveaux cas, un nouveau record depuis la levée de l'ordre d'urgence dans la préfecture.
  • Le taux d'infection par le coronavirus en Allemagne est resté en dessous du seuil critique de "1" pour la 7e journée consécutive mercredi après un pic inquiétant la semaine dernière qui a vu un groupe de nouveaux cas dans une usine de transformation de viande dans l'État le plus peuplé du pays conduire ce taux "R" à un peu moins de 3.

Les États-Unis, quant à eux, auraient acheté pratiquement tous les stocks pour les trois prochains mois de remdesivir, l'un des deux médicaments qui ont montré une certaine efficacité dans le traitement du virus (bien qu'un stéroïde beaucoup moins cher et plus largement disponible se soit avéré efficace pour réduire mortalité chez les patients très malades), rapporte le Guardian . La décision n'en laisse aucune pour le Royaume-Uni, l'Europe ou la plupart du reste du monde.

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