dimanche 28 février 2016

SYMBOLE

On ne change pas les recettes. Surtout quant il y a de la part de marché a prendre. Peu importe qui dirige le pays ou quel système y est instauré.
Pour rappel, le Kazakhstan est une république qui a vu depuis des années le président Noursoultan Nazarbayev être réélu successivement pour des mandats de 7 ans, avant de modifier la constitution pour "assouplir" l'image de régime fort auprès des instances internationales, qui pointe du doigt les libertés de la presse et les droits de l'homme, dans un pays qui est majoritairement musulman, mais imposant par principe la laïcité. Un régime qui n'est pas si éloigné de celui de Bashar Al Assad, dans le principe, c'est à dire, imposé par le totalitarisme, sous couvert de démocratie, la paix dans des pays ou il existe plusieurs ethnies dont certaines d'entres elles sont parfois des ennemis jurées, pouvant provoqué des guerres de clans, voir instauré le chaos dans le pays. Le Kazakhstan comptant une majorité de Kazakhs mais aussi de Russes, des Ouzbeks, des Ukrainiens, des Ouïghours (tribus mongol), des Tatars et aussi des Allemands. Le pays comprend aussi des Kurdes, des Tchétchènes, et des Meskhètes, faisant partie des minorités entre autres, parfois issue des déplacements de populations de l'ère soviétique, parfois pour des raisons démographiques ou politiques.

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