vendredi 28 octobre 2016

REOPEN

Il faut le dire, avec les mails qui pleuvent de chez Wikileaks, et le fait que du coté de chez Hillary, personne ne contredit ses mails, cela suscite de plus en plus de mal à l'aise du coté de Washington. Car du coup, le fait que chez les démocrates, on a été cherché l'argument d'une complicité russe derrière la campagne de diffamation de Trump envers Clinton (ce qui aux yeux de certains américains, ne fait qu'augmenté le ridicule et la comédie de cette campagne), les autorités ne peuvent pas passer a coté de certains propos, arguments, voir informations qui devraient logiquement faire état d'enquêtes afin de déterminé si oui ou non, la dame peut être blâmer pour cela, ne serait ce que par rapport a des protocoles bien précis, dans les institutions fédérales. Car même si en matière de communication, les démocrates tente de détourné l'attention sur le fait qu'elle a quand même tenu des propos, et exprimé des opinions qui mettent en cause des minorités dans la population américaine, il n'en est pas moins évident, que les médias alignés les aident dans cette tâche en accentuant la misogynie et le harcèlement sexuel probable de Trump. Mais le FBI qui a été plus ou moins tenu en la laisse du chien jusqu'a maintenant, ne peu plus contenir son devoir d'investigation. Déjà, ayant tenté de lancer une enquête, celle ci a été volontairement atténué de moyens pour qu'elle n'aboutisse pas d'ici un ou deux ans. Mais là, après les dernières révélations sur les comptes de la fondation, le conflit d'intérêt lorsqu'elle était secrétaire d'état, et les liens troubles avec certaines personnalités peu recommandable, amène obligatoirement le FBI a devoir jouer sa crédibilité envers le peuple américain, les institutions, en réouvrant une enquête sur les activités de la fondation et de Clinton. Mais le plus grave dans l'histoire, c'est Julian Assange a promis de révélé plusieurs vagues de mails concernant la dame, jusqu'au 8 Novembre. Et connaissant l'art et la manière de faire du bonhomme, il y a fort à parié qu'il a du faire comme un feu d'artifice : c'est à dire garder le pire pour le bouquet finale. Ce qui va sans doute obligé d'une façon ou d'une autre des responsables a réagir très vite pour faire en sorte que ce bouquet final n'arrive pas. Déjà, la mort du directeur de Wikileaks, l'accès internet d'Assange coupé, et l'accent médiatique sur la responsabilité de la Russie dans cette foire, prouve que du coté de l'establishment américain, c'est la grosse panique du fait des early vote qui commencent a donné une tendance qui démontre que la bataille n'est pas gagné d'avance.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire